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  • FORUM de l'économie sociale et solidaire

    Mesdames, Messieurs,

    Denis PHILIPPE, président de l'UDESS 05, vous invite à participer au 5ème
    forum de l'économie sociale et solidaire qui aura lieu le jeudi 25 novembre
    au Conseil Général.

    LIRE l'invitation.

    Très cordialement

    Claudine QUERO MASUREL

  • Conseil municipal ville de Gap du 5 novembre 2010

    foyer_bellevue_-_Gap.jpgLe Foyer Bellevue.

    Lors de la présentation du bilan du CCAS, Jean-Claude Eyraud se félicite du bon travail réalisé et de l’importance de ce secteur en cette période de crise. Il souligne qu’il a demandé que soit mis en place un groupe de travail sur l’avenir de Foyer Bellevue. Il ajoute qu’il faudrait élargir la réflexion sur les solutions alternatives pour les personnes âgées (au vu de l’augmentation constante du nombre de celles-ci).

    Le maire l’attaque très violemment lui reprochant l’information qu’il a mise dans les boites aux lettres des résidents (voir le texte), qu’il qualifie de « bout de torchon », l’accusant de faire de la « démagogie politicienne », l’enjoignant de « laisser ces personnes âgées tranquilles » et de « ne pas les perturber alors qu’elles sont en fin de vie » ! Il affirme que tout ce qui a été dit est faux (alors que la fermeture du foyer est programmée en 2015). Donc à l’occasion des 100 ans de 4 résidents, il est allé les rassurer et leur dire que le maire est là pour les protéger…Et il termine en disant que la politique est quelque chose de noble…Quand on l’entend manier l’invective et l’injure au cours de cette séance (et des autres) on en doute…On en vient à se demander si le choix qui a été fait par les habitants de Gap de permettre à cet homme de porter l’écharpe tricolore de maire, est le bon.

    Rappelons les faits : Jean Claude Eyraud (qui a son père dans ce foyer) a été contacté courant août par des résidents, des parents de résidents et des membres du personnel tous inquiets suite à une information émanant de Madame DUSSERRE, vice présidente du CCAS (membre de la majorité municipale), au Conseil de la Vie Sociale de l’établissement (composé des représentants du personnel, des familles et des résidents) le MARDI 6 JUILLET 2010 selon laquelle le foyer Bellevue ne serait plus aux normes EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour personnes âgées dépendantes) et qu’un déplacement vers l’Adret était envisagé. Les personnes qui résident dans cet établissement occupent, soit des chambres de 20m2, soit des petits appartements de 36 m2 où ils vivent de façon plus ou moins autonome, accompagnés par du personnel spécialisé. Ce sont des citoyens à part entière ! Ils ont du quitter leur logement parce qu’ils ne pouvaient plus y vivre seuls, mais ils ont des souhaits, des idées, des désirs sur leur vie dans ce foyer.

    Jean-Claude Eyraud a mis dans les boites aux lettres la déclaration qu’il a faite au conseil d’administration du CCAS le 6 SEPTEMBRE 2010 (soit 2 mois jour pour jour après l’information donnée par Madame Dusserre). Il y rappelle l’attachement des gapençais au Foyer Bellevue, le bien être des personnes hébergées dans un lieu familial et convivial, au prix de journées assez souple et accessible au plus grand nombre.
    En tant que parent, conseiller municipal, membre du CCAS il a demandé des explications et a souhaité être associé à l’étude de ce dossier avec des membres du conseil de la vie sociale du Foyer.
    Les résidents, très contents d’être informés ont adressé au Maire, sous couvert de la Directrice du Foyer, une lettre pétition signée par 80 personnes. Ils ont par ailleurs mené une enquête à l’Adret et ont constaté que cette bâtisse était très ancienne, sans doute pas plus aux normes que le Foyer Bellevue et que les chambres étaient minuscules. Ils estiment être les premiers concernés et affirment leur volonté de rester à Bellevue où ils se sentent bien ! Enfin, ils remercient Jean-Claude Eyraud de les avoir informés et d’avoir développé des arguments avec lesquels ils sont entièrement d’accord.


    Voilà ce qui, pour nous, fait la noblesse de la politique :
    - C’est être attentif à tous les citoyens, quel que soit leur âge, même et surtout s’ils ne sont pas du même avis que nous.
    - C’est consulter les personnes chaque fois qu’il y a une décision municipale à prendre sur leur mode de vie, leur habitat, leur ville…
    - C’est donner sa place à l’opposition pendant les séances du conseil municipal : ce n’est pas l’attaquer sans arrêt avec un arrière fond de conseillers municipaux de la majorité qui ricanent, qui rigolent ou jouent avec leur Ipod. (Nous osons espérer que quelques uns ont honte de leur chef de file).
    - C’est prendre le temps de la réflexion pour tous les gros dossiers qui engagent les finances locales.
    - C’est être modeste et au service des habitants.

  • Fin de la rétroactivité des aides au logement

    Dans sa chasse aux économies, le gouvernement s'en prend une fois encore aux plus faibles. Dans l'œil du viseur: les quelques six millions de personnes allocataires des aides au logement. Il y a huit jours, un vendredi en fin de soirée, les députés ont adopté en catimini une disposition mettant fin à la rétroactivité des aides au logement. Si le projet de loi de financement de la Sécurité sociale est définitivement adopté en l'état, la plupart des nouveaux allocataires pourrait pâtir de cette mesure.

    Prenons un exemple concret. Vous avez emménagé dans un nouvel appart le 1er septembre, mais entre les cartons et les papiers, vous ne déposez votre demande d'allocation qu'aujourd'hui. Votre Caisse d'allocations familiales (Caf) en tient compte et remonte jusqu'à trois mois en arrière dans le calcul de vos droits. Vous toucherez donc début décembre quatre mois d'un coup. Et bien, si le projet de loi est adopté, vous ne percevrez l'allocation qu'à partir du mois suivant le dépôt de votre dossier, décembre dans notre exemple si vous avez suivi.

     

    240 millions d'économie, avance le gouvernement

    Ce n'est pas la première offensive du gouvernement en la matière. On se souvient cet été de la colère des associations familiales et des syndicats étudiants quand François Baroin, ministre du Budget, annonçait son intention d'interdire le cumul de l'APL (aide personnelle au logement) avec la demi-part fiscale. Cette mesure qui visait essentiellement les étudiants, a finalement été abandonnée devant le tollé. Cette fois, ce ne sont pas seulement les étudiants qui vont être pénalisés mais tous les ménages modestes, premières victimes de la crise du logement. En guise de justification, le gouvernement avance une économie de l'ordre de 240 millions d'euros.

    La Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf), consultée pour avis début octobre, s'est prononcée contre cette mesure. Joint par téléphone, Jean-Louis Derroussen, président du conseil d'administration de la Cnaf, explique : «Si c'était si simple de savoir à quelle aide on peut prétendre et d'en faire la demande, on pourrait l'accepter. Mais force est de reconnaître que ça ne l'est pas. Un déménagement, on sait tous comment cela se passe. On pense d'abord aux casseroles et aux biens matériels avant de se plonger dans les formulaires des aides !». Et de rappeler : «Dans le temps, on pouvait remonter jusqu'à deux ans en arrière dans le versement des aides. Petit à petit, on a réduit ce délai qui permettait aux gens de pouvoir prétendre à leurs droits et à tous leurs droits.»

    Pour limiter les dégâts, la Cnaf envisage de généraliser un logiciel, expérimenté depuis quelques années dans le Pas-de-Calais, permettant d'automatiser, en partie, la demande d'aide de logement (APL, ALS, ALF). En pratique, les organismes HLM avertissent directement la Caf de l'arrivée d'un nouveau locataire pour lui ouvrir directement des droits sans qu'il ait à en faire la demande.

     

    Embouteillages carabinés à prévoir à la Caf

    Ce dispositif, s'il se généralise, ne résoudra quand même pas le problème pour les locataires du parc privé. «Il faudrait peut-être envisager une mention dans le contrat de bail pour alerter le locataire de ses droits», ajoute Jean-Louis Derroussen. «Mais encore faut-il qu'ils aient leur bail tout de suite! C'est l'un des problèmes: les bailleurs ne délivrent pas systématiquement la bail dans la seconde, ça peut prendre du temps et donc priver la personne de ses aides», s'indigne une juriste travaillant dans une agence départementale pour l'information sur le logement (adil).

    Autre problème pratique: les embouteillages carabinés à prévoir devant les guichets des Caf en période de rentrée universitaire quand tous les nouveaux étudiants vont se ruer pour déposer leur dossier au plus vite. La fédération Sud étudiant a exigé dans un communiqué «la suppression pure et simple de cette mesure anti-sociale qui va priver encore plus d'étudiants d'un logement autonome.»

    «Et que va-t-il se passer quand le dossier sera incomplet ? Quelle date de dépôt sera pris en compte?», s'inquiète François Fondart, le président de l'Unaf, l'Union nationale des associations familiales. «Bien évidemment opposé à cette disposition», il ne se fait guère d'illusion sur l'adoption définitive de cette disposition. Dans tel cas, elle entrerait en vigueur dès janvier prochain.


     

    Par Collectif Logement CGT  
  • CONNAISSEZ-VOUS LA LOI NOME ?


    Pour les fameux compteurs qui devraient être installés bientôt et qui devraient nous être facturés
    au prix très très fort (vers les 300 € ) , et qui, de surcroit, ne seraient pas fiables § /
    IL NE FAUDRA RIEN SIGNER
    On ne peut pas refuser à EDF d’accéder aux compteurs, et de les changer : par contre , comme nous
    n’avons rien demandé, nous n’avons aucune obligation de signer quelque document que ce soit, et,
    du moment que nous n’aurons rien signé, EDF ne pourra pas nous obliger à payer ces compteurs….
    Attention aux signatures anodines : aucune signature , même pour la réception de travaux etc…
    LES TARIFS D’ÉLECTRICITÉ VONT AUGMENTER POUR PERMETTRE LA CONCURRENCE
    À TERME, L’USAGER PEUT S’ATTENDRE À DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE,
    COMME CELA S’EST DEJA PRODUIT POUR LE GAZ. NE LAISSONS PAS FAIRE !
    C'est la loi Nome , soit la Nouvelle Organisation du Marché de l’ Électricité, concoctée par le
    gouvernement.
    Le principe en est simple : constatant que la concurrence normale ne fonctionne pas, [plus de 96 %
    des Français restent fidèles à l’opérateur historique (EDF)] le gouvernement a décidé de la créer…
    artificiellement. La loi étant passée dans une relative indifférence.
    Un véritable hold-up ! A partir du 1er janvier 2011, EDF aura obligation de revendre à ses
    concurrents jusqu’à 25 % de sa production d’électricité. Les fournisseurs d‘électricité vont se voir
    offrir un quart de la production, que les Français ont déjà payé avec leur facture, pour qu’ils puissent
    réaliser des profits, au seul bénéfice de leurs actionnaire.
    C’est une première que d’obliger une entreprise, dans le monde de la "concurrence libre et non
    faussée", à céder une partie de ses atouts à des concurrents qui produisent peu ou pas du tout
    d’électricité.
    Pour les « ceux qui n’ont pas encore compris »
    www.poursavoir.frhttp://www.mondediplomatique.fr/2004/06/ANTOINE/11276
    http://www.sudptt44.org/e107_files/public/1217412610_1_FT0_page3.pdf
    http://www.partagedeseaux.info/article300.htmhttp://www.europe
    solidaire.org/spip.php?article7886
    Si vous êtes scandalisé, diffusez ce message ! Une fois livré à la concurrence et surtout au "privé " ce
    sera trop tard. Le prix de l'électricité sera fixé par des « entreprises privées qui , en fait , seront des
    filiales d'un seul et unique groupe ! .... ...
    Vous n'y croyez pas ? Alors remettez vous dans le contexte de nos chères autoroutes Françaises
    que nos parents et grands- parents ont payées avec leurs impôts. Cela profite à qui ? Et le prix à
    payer pour y circuler ? N'est-ce pas scandaleux ? Mais c'est trop tard, car ce réseau routier
    n'appartient plus en totalité à l'état ! Et pour le reste ce sera pareil ! Aujourd'hui le service public a
    un prix collectif social , mais il ne le sera plus si nous laissons faire et deviendra un prix individuel
    lucratif pour les actionnaires . Ne bradons pas nos acquis sociaux à des groupes privés .
    Entrons dans la résistance citoyenne de l’intérêt de tous au profit de chacun.
    Première action, faire circuler sans modération autour de vous ce message : il ne faut rien signer !
    La DOCADOC est une publication de Union Régionale des Syndicats CGT des Établissements d' Enseignement
    Supérieur de l' Académie de Lille Bât MAS porte N° 6 Campus USTL 59655 Villeneuve d' Ascq cedex 0320336144

  • Mes 2 petites filles sont nées.

    Romane et Lily - Jeannne.JPGLily-Jeanne 2,4 Kg et

    Romane 2,7 Kg

     

    JC Eyraud