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  • 21 JANVIER 2010 : ENSEMBLE DANS L’ACTION !

    SOCIAL 210 fonctionnaires dans la rue hier, à l'appel de la CGT, FSU et Solidaires

    par La Rédaction du DL

    GAP

    Le petit groupe de 40 manifestants à 10 heures devant la cité Desmichels s'est bien étoffé au terme de la matinée d'hier, avec 210 personnes bloquant le rond-point du Cèdre pendant environ une heure à l'appel de la CGT, FSU et Solidaires. Les manifestants avaient formé deux groupes : l'un composé d'enseignants devant l'inspection académique, l'autre composé de fonctionnaires de tous horizons devant Desmichels. Avec comme point de ralliement le rond-point du Cèdre avant de terminer devant le conseil général.

    Les salaires, la retraite,

    la RGPP, la réforme des collectivités, la suppression

    de la taxe professionnelle...

    Leurs revendications concernaient « les suppressions d'emplois dans la fonction publique, les salaires qui n'augmentent pas, la question de la réorganisation des services qui a abouti à la disparition de services départementaux », résume le secrétaire départemental de la CGT, Philippe Cottet. Postiers, enseignants, cheminots, personnel hospitalier, du Trésor et des Impôts étaient là. Tout comme les fonctionnaires territoriaux venus « par rapport à la réforme des collectivités et la suppression de la taxe professionnelle. Elle va d'ailleurs être compensée par l'Etat qui va donc avoir la main-mise et imposer sa politique en matière de recrutement aux collectivités territoriales », pense Philippe Cottet. Et la retraite alors ? « Les fonctionnaires risquent de la voir calculée en fonction des 25 dernières années et non plus des six derniers mois, craint le secrétaire départemental. Et on parle aussi de repousser l'âge de la retraite à 62 ans...»

    Personnels hospitaliers

    et enseignants en force

    Valérie Clément (CGT) n'a pas manqué à l'appel pour défendre le Chicas, tracts en mains. « Les soins sont assurés mais les conditions de travail sont mauvaises : on constate d'ailleurs des départs et des dépressions. Soins qui doivent être pratiqués qu'ils soient rentables ou non. On veut du personnel pour faire notre travail en respectant l'écoute du patient et la qualité des soins », martèle-t-elle.

    Ils manifestent un verre

    à la main et en musique

    Plus loin, Emmanuel Maigret (SUD Education/Solidaires) installe ses tracts sur une table devant le rond-point du Cèdre. « On bascule vers un système de classes plus chargées avec une aide personnalisée qui ne concerne que quelques élèves. » Emmanuel Maigret dit aussi militer pour « un droit à la visite médicale du corps enseignant ».

    Et pendant ce temps, les autres manifestants installent "leur village" en plantant leurs drapeaux sur le rond-point et en buvant un verre en musique.


    Marie-France BATARD
    Paru dans l'édition 05A du 22/01/10
  • 21 JANVIER 2010 : ENSEMBLE DANS L’ACTION !

    20100121_13_9_1.JPGDans la Fonction publique, les organisations CGT, FSU et Solidaires appellaient les agents à une journée de grève ce 21 janvier, jour de l’examen par le Sénat du projet de réforme territoriale.

    20100121_07_4_1.JPGA Gap plusieurs centaines de personnes ont participé à la manifestation.

     

     

     

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    20100121_30_19_1.JPGDont 2 conseillers municipaux d'opposition de la ville.

  • Communiqué

    Les informations transmises ces derniers jours au sujet de la vaccination contre la grippe H1N1 conduisent, si elles sont avérées, à un constat accablant :

    -Achat global de 94 millions de doses de vaccin pour environ 5 millions utilisées à ce jour,

    -Absence dans le contrat de clauses permettant d’adapter le volume et l’échelonnement des commandes en fonction des besoins et de le réduire dans l’hypothèse d’une injection unique,

    -Résiliation unilatérale, dans l’urgence, de la commande de 50 millions de doses,

    -Achat de 33 millions de doses de tamiflu et de 1,5 milliards de masques stériles sans dispositif prévisionnel de diffusion et d’utilisation,

    -Organisation rigide et inadaptée des centres de vaccination,

    -Réquisitions d’internes mettant ponctuellement en péril le fonctionnement de services hospitaliers, réquisition des élèves IDE au détriment de l’obtention de leur diplôme (stage, problèmes financiers…),

    -Absence totale de dialogue avec les professionnels de santé,

    -Campagne de communication présentant sans réel fondement scientifique un scénario catastrophe et utilisant la peur comme levier de décision de vaccination,

    -Montant initial des achats de 2,2 milliards d’euros et pertes sèches à la charge du contribuable d’ores et déjà estimées entre 800 millions et un milliard d’euros selon les sources, ce qui représente la quasi-totalité des déficits des hôpitaux publics.

    Au vu de ces faits, les populations sont conduites à penser que le gouvernement, en particulier les ministres de l'Intérieur et de la Santé, ont, en l’espèce, fait preuve d'incompréhensible précipitation, voire d’incompétence, et pris des décisions visiblement inadaptées sur la base de connaissances incomplètes et d’analyses erronées.

    Comment, dans ces conditions, croire à la pertinence de leur politique de restructuration hospitalière quand on constate à ce sujet qu’ils font preuve de la même ignorance des réalités de terrain, du même autisme vis-à-vis des acteurs locaux (les principaux intéressés : usagers, personnels et élus), et du même mépris des conséquences néfastes de ce qu’ils veulent imposer sur l’ensemble du territoire national, tant pour l’accès aux soins que pour la sécurité des prises en charge, les conditions de travail des personnels, l’équilibre financier des hôpitaux ou le développement des territoires concernés ?

    Nous demandons au Président de la République de mettre fin à cette dictature technocratique aveugle pour permettre, dans la concertation et le dialogue, l’égalité de droits et de devoirs des citoyens inscrite dans notre constitution et dont il est le garant.

    Nous demandons enfin une vraie politique de santé qui parte des besoins des personnes et des territoires, et qui ne voit plus la santé comme une marchandise et l'hôpital comme une entreprise et donc qui privilégie les services publics, seuls aptes à répondre aux exigences d'égalité et de solidarité. Avant toute énième réforme, il faudrait analyser les dégâts occasionnés par les précédentes, aux dépens d'une santé humaine et égalitaire, et nous exigeons le retrait des aspects les plus néfastes de la politique actuelle, notamment le centralisme autocratique des ARS, la T2A, la loi dite Bachelot, l'autorisation de tout dépassement d'honoraires…

    Le Conseil d'Administration de la Coordination - Paris le 20 janvier 2010

    COORDINATION NATIONALE des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité

  • DECLARATION DES ADMINISTRATEURS CGT et INDECOSA CGT


    Nous avons appris par la presse que madame la maire d’Embrun envisageait de vendre la SECILEF, société créée en 1955 par la commune d’Embrun et la Caisse d’Epargne dans le but de construire et de gérer des logements sociaux.
    Dans cette optique La SECILEF gère actuellement 351 logements sociaux dans les hautes alpes dont 197 à Embrun.
    Cette société permet de loger les familles avec enfants, les jeunes couples et les retraités à des coûts abordables.
    Il est évident que le patrimoine détenu par cette société haute alpine d’économie mixte ne doit pas être vendu mais bien au contraire doit être développé grâce à l’implication de la ville d’Embrun qui détient 56,6 % du capital social.
    Ce développement doit se faire avec l’objectif de répondre aux besoins de la population la moins aisée qui rencontre des difficultés à se loger dans le parc privé.
    L’esprit qui a présidé à la création de la SECILEF doit être préservé avec entre autre la proximité avec chaque attributaire et la pérennisation du fonctionnement des  commissions  qui prennent  en compte l’avis des élus.
    La CGT qui revendique au plan national la production de 120 000 logements sociaux pendant 5 ans et la création d’un service public de l’habitat et du logement exige le droit et l’accès au logement pour tous.

    Aujourd’hui il est impératif que l’OPH 05 fasse une offre de collaboration et de rapprochement afin que le patrimoine de la SECILEF reste géré par un organisme haut alpin  pratiquant une politique sociale et de proximité.


    Gap le 21 janvier 10

  • Conseil municipal ville de Gap

    details-gap-france-2325708271-894037.jpgLaïla BOUHBOUH conseillère municipale du groupe G.A.U.C.H.E. a été mutée le 1er septembre 09 en région parisienne.
    Laïla a essayé de trouver une solution pour concilier son activité professionnelle et son mandat municipal de la ville de Gap.
    Malgré sa bonne volonté, elle s'est trouvée dans l'incapacité d'assister aux réunions de commissions et aux séances du conseil municipal.
    De plus, le retour de Laïla en région PACA ne sera pas possible dans l'immédiat.
    Face à cette situation, elle a décidé à regret de présenter sa démission à Monsieur le maire.
    Françoise PERROUD a été nommée pour siéger à sa place.
    Françoise intègre le groupe G.A.U.C.H.E.
    Elle remplace Laïla dans les commissions municipales.