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ENSEMBLE 05 - Page 249

  • la France compte au total 3,5 millions de personnes mal logées, selon le19e rapport de la Fondation Abbé Pierre

    La Fondation Abbé Pierre a présenté le 31 janvier son 19e rapport sur l’état du mal-logement en France.

    Avec 3,5 millions de personnes non ou mal logées et plus de 5 millions de personnes fragilisées par rapport à leur logement, la situation est "infiniment préoccupante", assure la fondation, qui souligne que "la progression du chômage et l’augmentation de la pauvreté" fragilise encore plus la population.

    Ce rapport explore les liens entre logement et emploi, soutenant la thèse selon laquelle le logement (ou leur absence) et l’habitat peuvent générer d’importantes — et parfois graves — conséquences sociales dans la vie quotidienne des ménages. Mais ces liens peuvent, a contrario, constituer des éléments de développement et de stabilité. Un message que pourraient entendre les collectivités locales, qui disposent de leviers en l’espèce, à quelques semaines d’une élection municipale aux enjeux conséquents.

    Au-delà, un focus est mis sur un phénomène trop peu considéré : la dégradation massive de très nombreuses copropriétés. Ces ensembles ont une fonction sociale essentielle, puisque ces logements accueillent aussi bien des personnes isolées, des locataires aux ressources contraintes ou des propriétaires modestes, autant d’occupants qui n’ont bien souvent pas d’alternative dans d’autres fractions du parc existant… Soucieuse de montrer à la puissance publique l’urgence de ce contexte, la Fondation a tenu a insister sur la connaissance des habitants et de leurs conditions de vie.

    Enfin, comme c’est le cas chaque année, l’action gouvernementale est analysée. Cet exercice a pris une dimension particulière depuis l’engagement de François Hollande, le 1er février 2012. Ce rapport revient donc sur la politique du logement conduite par la puissance publique, mais aussi sur le respect (ou non) du « Contrat social pour une nouvelle Politique du Logement », à travers une lecture sans concession — mais sans outrance — des efforts et des insuffisances constatés depuis le début de la législature.

    - En savoir plus (rapport, synthèse, analyse...)

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  • Conseil communautaire du 7 février

    20130318_105119.JPGLa prochaine séance du conseil communautaire de la communauté d'agglomération du gapençais se tiendra le vendredi 7 février à 18h15 à l'hôtel de ville. La séance est ouverte au public. ( A l'ordre du jour le budget primitif 2014)

    Nous vous invitons à participer à la réunion préparatoire le Mercredi 5 février à 17 h au local 21 rue Jean Eymar à GAP.
     
    Amicalement,
     
    Jean-Claude EYRAUD

  • Le 6 février:RASSEMBLER (Rassemblement 12h00 à la Préfecture de GAP)

     CONTRE LE LIBERALISME POUR UNE ALTERNATIVE

     Le 6 février, les salariés se mobilisent pour l'emploi, le pouvoir d'achat et les salaires, contre les politiques d'austérité et le pacte de responsabilité annoncé par François Hollande le 14 janvier. Le Front de gauche appelle les salarié-es, les sans-emploi et les retraités à soutenir ces manifestations et à y participer.

    Hollande fait la politique du Medef

    Le Président de la République accélère les choix politiques qui, partout en Europe, depuis de longues années, ont imposé misères et régressions aux populations. On ne sortira pas ainsi de la crise provoquée par le libéralisme.

    François Hollande avait promis l'inversion de la courbe du chômage; celui-ci continue d'augmenter. Avec le pacte de responsabilité, les cadeaux au Medef continuent. En proposant la fin des cotisations familiales patronales, il a répondu à une vieille exigence de classe du MEDEF et fait un nouveau cadeau de 30 milliards au patronat après les 20 milliards du CICE. On connaît les résultats de cette politique: les dividendes ont été multipliés par 7 en 20 ans. La part des profits dans la richesse nationale ne cesse d’augmenter.

    Dans le même temps, pas un emploi n’a été ainsi créé, des dizaines de milliers de salariés ont été jetés à la rue. Les contreparties exigées ne relèveraient que de négociations de branche que le Parlement est déjà appelé à entériner. Autrement dit, c’est la fin de toute législation sociale nationale !

    C’est une attaque profonde, un dynamitage en règle du modèle social et républicain français.

    Moins de droits pour les salariés

    Cette attaque contre nos vies se déroule simultanément à des atteintes aux droits des salariés. Après le refus de l'amnistie sociale, le parquet général de Lyon fait appel de la relaxe prononcée par le tribunal correctionnel envers les 5 militants syndicalistes de Roanne. Le gouvernement envisage de supprimer les élections prud’homales et Michel Sapin, ministre du travail annonce qu'il étudie l'abaissement des seuils de représentativité syndicale dans les entreprises ; encore une atteinte aux droits des salarié-es pour répondre à une ancienne revendication du Medef !

    C'est le peuple qu'il faut entendre

    Les salarié-es ont raison de se mobiliser contre ses nouvelles atteintes à leur vie et à leurs droits. Ce n'est pas en augmentant les dividendes des actionnaires que l'on créera de l'emploi, que l'on renforcera notre protection sociale ou le pouvoir d'achat. Pour changer la donne il faut inverser les logiques actuellement à l'œuvre. L'accélération libérale assumée du gouvernement trouble et révolte tous ceux qui ont le cœur à gauche. Le Front de gauche s'oppose à cette politique Il est déterminé à rassembler pour combattre le pacte de responsabilité présidentiel et pousser en avant une alternative utile socialement et écologiquement soutenable.

    QUELQUES CHIFFRES

    312 milliards de revenus financiers non soumis à cotisations sociales
    30 milliards d'exonération de cotisations patronales
    50 à 60 milliards d'évasion fiscale
    220 milliards de subventions patronales

    80 milliards de bénéfices pour les entreprises du CAC 40

    RAPPEL : Rassemblement 12h00 à la Préfecture de GAP.