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ENSEMBLE 05 - Page 246

  • GAP: dernière séance du conseil municipal de la mandature

    mairie_de_gap.jpgLIRE l'article du DL du 15 février

    LIRE l'article du DL du 16 février

    Voir le site de DICI radio http://www.dici.fr/actu/2014/02/14/hautes-alpes-budget-primitif-et-coup-de-gueule-au-conseil-municipal-de-gap-236001

    Voir le site le média 05 http://www.lemedia05.com/2014/02/gap-un-beau-consensus-preelectoral/

    http://www.lemedia05.com/2014/02/alparena-le-deficit-de-fonctionnement-a-atteint-318-000-e/

  • Procés verbal du conseil communautaire du gapençais, séance du 8 janvier 2014

    20130922_125232.JPGLIRE le PV du 8 janvier 2014

  • Tous Capables-notre ADN en images

    Tous Capables-notre ADN en images

    Ces photos ont été prises pendant une des assemblées citoyennes « Tous Capables » au CMCL, réunions lors desquelles nous définissons notre programme électoral. Vous êtes chaleureusement invités à participer à notre prochaine réunion Tous Capable, le samedi 22 février : notre prochaine assemblée citoyenne « Tous Capables pour Gap ».

  • Plaidoyer "Pour une commune solidaire, coeur du vivre ensemble"

    A l’approche des élections municipales c’est un plaidoyer "Pour une commune solidaire, coeur du vivre ensemble" que le réseau Uniopss-Uriopss et ses associations de solidarité adhérentes ont rendu public lundi 10 février.

    Le Communiqué :

    A l’approche des élections municipales et intercommunales des 23 et 30 mars prochains, le réseau Uniopss-Uriopss et les associations de solidarité se mobilisent pour faire entendre la voix collective des acteurs privés non lucratifs engagés dans les champs sanitaire, social et médico-social.

    Dans un climat social sous tension, marqué par la hausse du chômage et l’augmentation des inégalités, les élus de proximité sont l’un des vecteurs de la solidarité sur les territoires.

    L’Uniopss et ses adhérents comptent sur leur mobilisation attentive aux actions développées par les citoyens pour consolider la cohésion sociale. Ils invitent également les élus à poursuivre leurs efforts en matière d’emplois aidés et d’insertion économique par l’activité, ainsi qu’à promouvoir les acteurs de l’économie sociale et solidaire, source de dynamisme et d’attraction pour un territoire. Cette élection rappelle aussi l’importance de la solidarité entre les communes, en mutualisant leurs moyens, ainsi que la nécessité de renforcer les services à la population, de développer la cohérence des actions et des politiques publiques sur un territoire.

    Ce plaidoyer, intitulé « Pour une commune solidaire, coeur du vivre ensemble », est le fruit du travail collectif des membres de l’Uniopss (adhérents nationaux et unions régionales).

    S’inscrivant dans la continuité des propositions portées par l’Union dans sa plateforme pour les élections présidentielles 2012, ce plaidoyer s’articule autour de trois idées force :

    - Pour une commune accessible à tous : Logement, santé, services…L’Uniopss défend un égal accès aux droits pour tous afin de lutter contre les phénomènes de discrimination trop souvent à l’oeuvre.

    - Pour une commune au coeur du vivre ensemble : L’Uniopss attend des communes qu’elles se mobilisent pour améliorer le quotidien des personnes les plus fragiles, lutter contre toute forme d’exclusion et renforcer le tissu social en encourageant la participation à la vie sociale.

    - Pour une commune territoire de solidarité : L’Uniopss soutient les initiatives citoyennes en matière de solidarité. Agir ensemble, entre acteurs associatifs et décideurs publics mais aussi entre communes, développe une dynamique qui rend le territoire attractif, tant par les services à la population que par les liens sociaux qui s’y inscrivent.

     

  • Accessibilité : des progrès en 2013, mais encore insuffisants

    Les villes ont fait des progrès dans l'accessibilité aux personnes handicapées, mais le constat reste « accablant » avec à peine plus de la moitié des écoles et seulement 42% des réseaux de bus accessibles, estime aujourd’hui l'Association des Paralysés de France (APF) en publiant son baromètre annuel. Les commerces de proximité, ainsi que les cabinets médicaux et paramédicaux sont également loin du compte, alors que la loi de 2005 avait fixé l'objectif de rendre accessibles d'ici à 2015 les bâtiments recevant du public et les transports.
    Dans cette 5e édition du baromètre de l'accessibilité, Grenoble conserve la tête du classement avec une moyenne de 18,7/20, suivie de Nantes avec 18/20, tandis que Caen prend la 3e place avec 17,6/20. Aucune ville n'est en dessous de la moyenne en 2013. En fin du classement, on trouve Digne-les-Bains avec 10,2/20, précédée de peu par Alençon et Chaumont (10,3).
    Certaines villes ont connu « des évolutions significatives », reconnaît l'APF en louant le dynamisme de Poitiers et Mont-de-Marsan (+4,5 points de moyenne chacune), Dijon (+3,9), Nîmes (+3,6 points), Besançon (+2,9), Laval et Saint-Etienne (+2,7). Parmi les points positifs, l’association note l'accessibilité des centres commerciaux, ainsi que des progrès pour les bureaux de poste, et dans l'accès aux piscines et aux cinémas.
    Un total de 95 chefs-lieux départementaux de France métropolitaine ont répondu, Paris ne l'ayant pas souhaité, précise l'APF. Sa note de 2012 (13,2/20) la place en 64e position du classement 2013. La note moyenne nationale n'a cessé de s'améliorer en cinq ans, passant de 10,6 en 2009 à 13,04 en 2012 et 14,14 en 2013.
    Cependant, l'APF estime qu'un tel niveau, à quelques mois de l'échéance de 2015, est « un grave échec de la politique de mise en accessibilité de la France ». Elle demande que cet « enjeu primordial » soit inscrit dans les programmes des candidats aux élections municipales.
    Rappelons qu'à la suite du rapport de la sénatrice Claire-Louise Campion et du Comité interministériel du handicap de septembre 2013, des travaux ont été conduits sous la direction de Marie Prost-Coletta, déléguée ministérielle à l'accessibilité, en partenariat avec les associations représentatives des personnes handicapées et des secteurs privé (commerçants, etc.) et public (associations d'élus). Ces travaux devraient aboutir à la création, par voie d'ordonnance, des Agendas d'accessiblité programmée (ERP et transports). Il s'agit de documents facultatifs qui doivent permettre, après leur validation par le préfet, de poursuivre les travaux d'accessibilité, tout en suspendant sur leur durée, les sanctions pénales prévues par la loi de 2005.
     
    Télécharger le baromètre 2013.