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ENSEMBLE 05 - Page 610

  • La mort du juge d'instruction...pour quelle justice ?

    Chers amis,

    En général je m’abstiens de faire signe pour indiquer la diffusion de mes documentaires.

    Mais cette fois-ci, pour démarrer l’année 2010 dans un esprit déterminé, pour vous souhaiter à tous une bonne année et nous la souhaiter collectivement aussi positive que possible, je vous invite devant votre écran de télévision, jeudi 7 janvier à 22h50  (si les horaires sont tenus) sur France 2 pour mon dernier documentaire :

    Dans la série « Dans le secret de… »,  la mort du juge d’instruction… Pour quelle justice ?

    Si l’an dernier « dans le secret de l’accès aux soins en danger » tentait de porter un éclairage sur la politique réelle de Nicolas Sarkozy qui s’applique au détriment des intérêts vitaux de millions de nos concitoyens sur la question de la santé, des soins, du financement, de l’hôpital, de la sécurité sociale, « Dans le secret de la mort du juge d’instruction… Pour quelle justice ? » tente d’éclairer les raisons politiques profondes pour lesquelles le gouvernement en place veut supprimer le seul juge indépendant du pouvoir et donner toutes ses attributions à ceux qui sont sous l’autorité directe du ministère de la justice et donc du gouvernement. Il en va d’une question majeure, l’indépendance de la justice, qui concerne la démocratie, l’égalité de tous devant la loi, les valeurs élémentaires de la République

    A jeudi donc j’espère,

    France 2 – 22h50

    Dans la série « Dans le secret de… »,  la mort du juge d’instruction… Pour quelle justice ?

    Bien à vous tous,

    Jacques Cotta

  • Pauvreté dans les Hautes Alpes

    PAUVRETE DANS LES HAUTES ALPES
    Seuls, âgés et en zone rurale, ils sont les plus touchés

    par La Rédaction du DL | le 05/01/10


    Une récente étude de l'Insee Paca (Institut national de la statistique et des études économiques de Provence-Alpes-Côte d'Azur) sur l'état de pauvreté de la région met en relief les caractéristiques de la population des Hautes-Alpes.

    Premier constat : « Dans tous les départements de Paca, la pauvreté est plus forte qu'au niveau national ». Avec un taux de 13,2 % en France métropolitaine, les Hautes-Alpes affichent un taux de 13,4 % et les Alpes-de-Haute-Provence sont à 15,8 %. Avec une pauvreté touchant davantage les jeunes et les familles monoparentales mais également les personnes âgées.

    L'étude Insee stipule : « Comme certains départements du centre de la France, le département des Hautes-Alpes se caractérise par une pauvreté "ciblée", qui concerne davantage les personnes âgées et les personnes seules et se concentre au sein de l'espace rural. »

    Autre constat : C'est dans les zones à forte composante touristique qu'on trouve le plus grand nombre de salariés ayant un bas revenu : 28 %.

    Souvent des travailleurs
    à temps partiel

    C'est notamment le cas dans la zone d'emploi de Briançon. Ces salariés se retrouvent surtout dans les secteurs des services aux particuliers, du commerce et de la construction.

    Enfin, dans la zone d'emploi de Gap, les personnes à bas salaire sont souvent âgées de plus de 50 ans.

    « Plus qu'ailleurs, souligne l'Insee, les salariés travaillent à temps partiel et ceux des secteurs de l'éducation, la santé, l'action sociale et l'administration sont concernés. La rémunération horaire y est particulièrement faible. »


    F.F.
    Paru dans l'édition 05A du 05/01/2010
  • Eau, bien commun ou marchandise

    autres-paysages-gap-france-1073373247-1154374.jpgUn conférence débat au ROYAL à GAP le 22 janvier à 20h30 avec Marc LAIME.

    LIRE le TRACT

  • Interruption de la grève de la faim à EDF et GDF-Suez





    Communiqué SUD Énergie


    Paris, le 1er janvier 2010

    Au 18ème jour de grève de la faim, Yann COCHIN a dû être hospitalisé en urgence, son état de santé s’étant brutalement dégradé. Devant les risques encourus, la Fédération SUD Energie a demandé aux deux grévistes de la faim de se réalimenter.


    Jusqu’à présent, malgré l’évidence du caractère injuste du licenciement, malgré la position des salariés et de l’ensemble syndicats des agences concernées, du mouvement politique (PS, Verts, Parti de Gauche, NPA, Gauche Unitaire, Alternatifs), syndical et associatif, la direction de GrDF comme celle de GDF-Suez refuse toujours de rouvrir le dossier et d’entamer de véritables négociations.


    Après avoir « hérité » d’une entreprise publique, ces directions pensent n’avoir de comptes à rendre ni aux salariés, ni aux représentants des citoyens. Comme après les grèves du printemps dernier, elles n’entendent rien.


    Elles se cantonnent à proposer des mesures d’accompagnement dérisoires et renvoient vers les recours internes et externes. Or le recours interne consiste en un réexamen du dossier par une commission dont la décision appartient au final aux dirigeants qui ont procédé au licenciement.


    Quant aux recours externes (les Prud’hommes), ils retournent la charge de la preuve sur le salarié et engagent une procédure longue (souvent plusieurs années), qui ne résout pas la situation immédiate de Nordine.


    Néanmoins, nous engagerons l’ensemble des démarches et recours juridiques pour démontrer l’injustice qui est faite à Nordine, et mettre en évidence les différents délits dont s’est rendue coupable la direction de GrDF (délit d’entrave à l’exercice syndical, harcèlement envers Nordine, mise en danger de sa vie …).


    Par ailleurs, la grève de la faim de Yann Cochin et René-Michel Millambourg autour du cas emblématique de Nordine et de la vague de sanctions ayant fait suite au mouvement social du printemps dernier à EDF et GDF-Suez, a permis de mettre en lumière les pratiques managériales en vigueur dans ces entreprises, pratiques bien différentes de l’image sociale qu’elles se donnent, et bien proches de celles d’une entreprise « jumelle » - France-Télécom.


    Le large soutien politique, syndical et associatif suscité par ce mouvement, la participation de militants d’autres entreprises subissant les mêmes attaques, montrent que l’atteinte aux libertés syndicales et au droit de grève devient une question majeure, à traiter d’urgence.


    La grève de la faim se termine, mais l’action va se poursuivre sous d’autres formes, à partir de cette solidarité politiques et citoyenne qui a accompagné la lutte des dernières semaines et qui continue à croître : mobilisations, campagnes d’information, interpellation des directions de GDF-Suez par les élus…



    Eric Beynel

    eric.beynel@wanadoo.fr
    Union syndicale Solidaires
    06 82 28 91 81
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