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ENSEMBLE 05 - Page 606

  • La Nuit du conte à Gap sera cette année une Journée du Conte, le samedi 23 janvier.



    En voici le programme :

    10 h : Agnès Dumouchel à E'changeons le Monde : Contes et crêpes (tout
    public, gratuit)
    15 h : Florence Férin au Centre Social de Fontreyne : Contes à musette
    (à partir de 7 ans, payant)
    17 h : Agnès Dumouchel à E'changeons le Monde : Contes et goûter (tout
    public, gratuit)
    17 h : Anne Lopez au CMCL : Lou Poulette (à partir de 18 mois, payant)
    20 h 30 : Luigi Rignanese au CMCL : Le Bal du spaghetti (tout public**,
    payant**
    Renseignements : CMCL : 04 92 51 55 28

    Au plaisir de vous rencontrer,
    Agnès Dumouchel
    12 rue des hirondelles
    05000 Gap
    06 60 86 17 20
    www.agnes-dumouchel.com

     

  • Cinémas le Club et le Centre à Gap

    Pétition : SAUVONS LES CINEMAS LE CLUB ET LE CENTRE A GAP

    HAUTES-ALPES GAP Les cinémas Le Centre et Le Club (le seul art et essais de la ville et dans un périmètre de 40KM) risquent de fermer dans les prochains mois. Les locaux propriétés du diocèse vont être vendus. L’évêque de Gap et d’Embrun, Monseigneur Di Falco, a annoncé la décision qui entre dans le cadre de la rationalisation de l’immobilier de l’église dans le département. Aucune date n'a été donnée mais le diocèse de Gap a déjà informé l'association gestionnaire des cinémas de son obligation de quitter les lieux prochainement.

    NOUS VOULONS TROUVER UNE SOLUTION ET SAUVEZ NOS CINEMAS

    Il s'agit ici de défendre la culture en milieu rural et de sauvegarder plusieurs emplois ! Nous ne pouvons pas laisser faire ça sans agir, l'accès au cinéma d'auteur est un droit pour tous, alors aidez-nous, signez, et faites circuler cette pétition au plus grand nombre pour que nos voix soient entendues

    Merci à toi.

    Cliquer sur le lien ci-dessous

    http://www.lapetition.be/petition.php?petid=6019

  • Pauvreté et précarité : le monde rural est aussi touché

    L’Inspection générale des affaires sociales et le Conseil général de l’agriculture, de l’alimentation et des espaces ruraux ont récemment rendu public un rapport sur la pauvreté et la précarité en milieu rural. Ce rapport fait suite à une enquête réalisée entre avril et juillet 2009 et destinée à donner plus de visibilité à un phénomène bien moins visible que celui de la pauvreté en milieu urbain, alors que 20% de la population vit en milieu rural.

    Les populations concernées sont très diverses : population rurale ancienne (petits exploitants agricoles, salariés précaires de l’agriculture et de l’artisanat, veuves âgées, ex-salariés d’une industrie disparue, etc.) et neo-ruraux (urbains reconvertis dans l’agriculture, familles modestes ayant fui les prix urbains mais confrontées aux contraintes de transport, de garde d’enfants ou de rareté de l’emploi, sans domicile fixe subsistant de petits travaux, etc.). La pauvreté en milieu rural concerne largement des ménages avec enfants, les jeunes adultes constituant 45,1% de la population pauvre. Le taux moyen de pauvreté, selon les critères de l’INSEE, était en 2004 de 13,7% dans l’espace rural (contre 11,7% au niveau national).

    Dans leurs propositions, les rapporteurs insistent sur la nécessité de mettre en place des outils permettant de mieux appréhender des phénomènes qui, bien que connus, sont peu pris en compte au niveau national. La création d’un Ministère placés sous la responsabilité d’un ministre de l’espace rural et de l’aménagement du territoire est présentée comme allant dans cette voie. L’importance du soutien aux initiatives des collectivités locales (régions notamment) et intercommunalités est soulignée, de même que la nécessité de développer l’effort de formation en direction des jeunes ruraux.

  • 21 JANVIER 2010 : ENSEMBLE DANS L’ACTION !

    Le Gouvernement continue à s’attaquer frontalement à la Fonction publique et aux services publics. Le Président de la République revendique clairement cette politique qui a amené à supprimer plus de 100 000 emplois dans la fonction publique d’Etat depuis 2007.
    Cette politique est aggravée par les attaques contre le statut, l’individualisation des rémunérations et la mise en concurrence des agents, les effets de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) et de la Réorganisation administrative territoriale de l’Etat (RéATE) qui ont des conséquences néfastes sur les conditions de travail des personnels et sur la qualité du service public rendu à la population.
    L’Education nationale, déjà mise à mal par une saignée sans précédent de ses effectifs, l’Enseignement Supérieur et la Recherche, sont frappés de plein fouet par des réformes plus régressives les unes que les autres.
    L’hôpital public, asphyxié par une pénurie gravissime d’emplois et une recherche de rentabilité à tous crins, est en danger.
    Le Gouvernement fait pression sur les collectivités territoriales pour qu’elles appliquent scrupuleusement le même dynamitage de la fonction publique. De plus, le projet de loi sur les collectivités territoriales constitue un recul démocratique important.
    Face à la politique destructrice du Gouvernement, les personnels organisent la résistance. Depuis des mois, les mobilisations se succèdent (agents territoriaux, hôpitaux publics, la Poste 18 mois de lutte, l’éducation, la culture, l’ONF, la DGCCRF, les finances publiques, l’équipement…) que nous soutenons totalement.
    Alors que, pour répondre aux exigences de la situation sociale, le rôle de la fonction publique et des services publics n’a jamais été aussi important, il est urgent notamment :
    • de créer les emplois nécessaires et de donner les moyens aux services publics de répondre aux besoins croissants de la population partout sur le territoire ;
    • de revenir sur les suppressions au budget 2010 et pourvoir aux remplacements des départs en retraite ;
    • d’assurer le maintien et la progression du pouvoir d’achat de tous les personnels par l’augmentation du point d’indice et une reconstruction de la grille ;
    • de revenir sur toutes les réformes régressives ;
    • d’abroger la loi dite de « mobilité » ;
    • de prendre des mesures pour combattre la précarité
    .
    Sur ces revendications, nous appelons à débattre et à agir dès la semaine du 11 janvier pour permettre de faire converger les mobilisations et de construire un temps fort, de grèves et de manifestations, le 21 janvier 2010.

    La CGT 05, la FSU 05 et l'union syndicale SOLIDAIRES 05 appellent à la tenue d'assemblées générales et de réunions d'information syndicale dans les différents services publics (éducation, santé, territoriaux, poste, impôts....) pour préparer la mobilisation du 21 et ses suites.
    Le jour-J : Jeudi 21/01
    A 10H RASSEMBLEMENT
    S devant l'Inspection Académique ( pour l’ éducation) et la cité Desmichel (pour les autres fonctionnaires).
    À 10h30 : regroupement et CONSTRUCTION D'UNE ZONE-FRANCHE ANTI-RGPP (révision générale des politiques publiques) sur le Rond point du Cèdre. Dans la forteresse de bric et de broc (amener cartons, pancartes, peinture...) des stands des divers secteurs en lutte, des prises de paroles, des animations et une réflexion sur les moyens de remporter des victoires.
    A 11h30 MANIFESTATION vers l'esplanade du conseil général (Assemblée des secteurs en lutte, prises de paroles, mise en commun des actions et revendications…)

    IMGP0010.jpg
    Gap, le 13 01 2009

  • Communiqué Fondation Copernic – Daniel Bensaïd

    www.fondation-copernic.org

    Daniel Bensaïd est toujours présent !


    Pour évoquer Daniel - qui signa l’appel à la création de la Fondation Copernic et restait membre de son Conseil d’orientation - le mieux est de l’écouter. Qui l’écoutait  ne se lassait jamais. L’écouter, entre autres, quand il écrit :

    « Je ne partage pas la nostalgie du grand homme qui hante les biographies (…). On ne va pas se plaindre de l’effacement de l’homme providentiel et de la crise des « sauveurs suprêmes ». A condition qu’il en sorte un nouvel âge démocratique, où « les masses », comme on disait jadis, fassent davantage leur propre histoire et où le « sauvons-nous nous-mêmes » de la chanson devienne réalité. (…) Quant à l’admiration, je la garde pour les rebelles anonymes et pour les héros ordinaires de la résistance à l’irrésistible (…) c’est la loyauté envers ces inconnus qui fait la grandeur de la politique ».

    Daniel Bensaïd, Eloge de la résistance à l’air du temps, Textuel, 1999, p.125-126.

    De Daniel, nous parlerons plus tard, son œuvre théorique est cardinale, son engagement a fait l’histoire de la gauche de gauche. Un hommage public lui sera rendu le 23 janvier. Aujourd’hui les mots ne sont pas capables de dire notre peine. Pas capables de dire son dévouement, une vie entière, au service du mouvement social. Qui l’a approché le sait, qui le lit le sait, Bensaïd ne disparaît pas. Nous savons que beaucoup ont fait la même expérience : parfois, on doute de ses engagements, on n’a plus envie. Penser à Bensaïd, y penser seulement, chaque fois, a donné l’envie de s’engager encore, de s’engager davantage, de résister. C’était peut-être son rire, sa joie, sa rigueur, il donnait envie. Personne, paraît-il, n’est irremplaçable. Malheureusement, si !