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ENSEMBLE 05 - Page 524

  • CONNAISSEZ-VOUS LA LOI NOME ?


    Pour les fameux compteurs qui devraient être installés bientôt et qui devraient nous être facturés
    au prix très très fort (vers les 300 € ) , et qui, de surcroit, ne seraient pas fiables § /
    IL NE FAUDRA RIEN SIGNER
    On ne peut pas refuser à EDF d’accéder aux compteurs, et de les changer : par contre , comme nous
    n’avons rien demandé, nous n’avons aucune obligation de signer quelque document que ce soit, et,
    du moment que nous n’aurons rien signé, EDF ne pourra pas nous obliger à payer ces compteurs….
    Attention aux signatures anodines : aucune signature , même pour la réception de travaux etc…
    LES TARIFS D’ÉLECTRICITÉ VONT AUGMENTER POUR PERMETTRE LA CONCURRENCE
    À TERME, L’USAGER PEUT S’ATTENDRE À DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE,
    COMME CELA S’EST DEJA PRODUIT POUR LE GAZ. NE LAISSONS PAS FAIRE !
    C'est la loi Nome , soit la Nouvelle Organisation du Marché de l’ Électricité, concoctée par le
    gouvernement.
    Le principe en est simple : constatant que la concurrence normale ne fonctionne pas, [plus de 96 %
    des Français restent fidèles à l’opérateur historique (EDF)] le gouvernement a décidé de la créer…
    artificiellement. La loi étant passée dans une relative indifférence.
    Un véritable hold-up ! A partir du 1er janvier 2011, EDF aura obligation de revendre à ses
    concurrents jusqu’à 25 % de sa production d’électricité. Les fournisseurs d‘électricité vont se voir
    offrir un quart de la production, que les Français ont déjà payé avec leur facture, pour qu’ils puissent
    réaliser des profits, au seul bénéfice de leurs actionnaire.
    C’est une première que d’obliger une entreprise, dans le monde de la "concurrence libre et non
    faussée", à céder une partie de ses atouts à des concurrents qui produisent peu ou pas du tout
    d’électricité.
    Pour les « ceux qui n’ont pas encore compris »
    www.poursavoir.frhttp://www.mondediplomatique.fr/2004/06/ANTOINE/11276
    http://www.sudptt44.org/e107_files/public/1217412610_1_FT0_page3.pdf
    http://www.partagedeseaux.info/article300.htmhttp://www.europe
    solidaire.org/spip.php?article7886
    Si vous êtes scandalisé, diffusez ce message ! Une fois livré à la concurrence et surtout au "privé " ce
    sera trop tard. Le prix de l'électricité sera fixé par des « entreprises privées qui , en fait , seront des
    filiales d'un seul et unique groupe ! .... ...
    Vous n'y croyez pas ? Alors remettez vous dans le contexte de nos chères autoroutes Françaises
    que nos parents et grands- parents ont payées avec leurs impôts. Cela profite à qui ? Et le prix à
    payer pour y circuler ? N'est-ce pas scandaleux ? Mais c'est trop tard, car ce réseau routier
    n'appartient plus en totalité à l'état ! Et pour le reste ce sera pareil ! Aujourd'hui le service public a
    un prix collectif social , mais il ne le sera plus si nous laissons faire et deviendra un prix individuel
    lucratif pour les actionnaires . Ne bradons pas nos acquis sociaux à des groupes privés .
    Entrons dans la résistance citoyenne de l’intérêt de tous au profit de chacun.
    Première action, faire circuler sans modération autour de vous ce message : il ne faut rien signer !
    La DOCADOC est une publication de Union Régionale des Syndicats CGT des Établissements d' Enseignement
    Supérieur de l' Académie de Lille Bât MAS porte N° 6 Campus USTL 59655 Villeneuve d' Ascq cedex 0320336144

  • Mes 2 petites filles sont nées.

    Romane et Lily - Jeannne.JPGLily-Jeanne 2,4 Kg et

    Romane 2,7 Kg

     

    JC Eyraud

  • « Pas de demi-mesures, l’heure est à la radicalité concrète »

    clem2.pngClémentine Autain,elle est membre de la FASE (Fédération pour une alternative sociale et écologique) et directrice du mensuel Regards. Pour elle, la mobilisation sur les retraites traduit « une exaspération globale ».

    Comment caractérisez-vous la crise sociale que nous traversons ? S’est-t-elle transformée en crise politique ? Nous traversons une grave crise de légitimité. Le gouvernement, les institutions nationales et internationales, le système politique lui-même ont perdu de leur sens. Les règles du jeu de l’actuelle République sont à bout de souffle. Le bien commun est menacé. L’intensité de la mobilisation sur les retraites traduit une exaspération globale. Nous avons gagné la bataille des idées. Nous pouvons encore arracher le retrait du projet. Nous avons ensuite le devoir d’ouvrir une perspective de changement. Ce mouvement est une vraie moisson politique. Ce qui s’est exprimé aide à dégager des priorités : desserrer la contrainte de la finance, inventer un nouveau statut salarié, relocaliser les productions, lutter contre les inégalités par une nouvelle distribution des richesses, penser les temps de la vie, etc. L’heure n’est pas aux demi-mesures mais à la radicalité concrète.

    Certes unie dans les luttes, la gauche peut-elle être crédible quand elle affiche des divergences essentielles sur des propositions alternatives au projet gouvernemental sur les retraites ? La gauche ne doit pas mollir et se montrer unie autour de l’exigence de retrait du projet. Là se joue aujourd’hui notre responsabilité et notre crédibilité. Cela n’enlève rien aux désaccords sur l’alternative. Sur les retraites comme sur de nombreux sujets, il y a deux grandes orientations à gauche. Ce qui nous rendrait crédible, c’est qu’elles s’incarnent dans deux forces clairement identifiées, l’une d’accompagnement, l’autre de transformation. La gauche toute entière sera d’autant plus dynamique que la force d’alternative aura pris toute sa place.

    Peut-on infléchir la politique du PS sur cette question sans attendre 2012 ? Ce n’est pas l’enjeu. Pour ma part, je ne milite pas pour aiguiller le PS ! Faisons valoir nos propres propositions et mettons-nous en situation de construire une nouvelle force capable de battre la droite dans les urnes, d’être en tête à gauche. Cela suppose un effort inédit d’unité et un travail de rénovation, sur le fond comme sur la forme. L’éparpillement et la répétition sont nos pires ennemis.

    La Fédération (FASE) envisage-t-elle d’être partie prenante du « programme partagé » que le Front de Gauche a lancé à la Fête de l’Humanité ? Oui. Nous avons toujours dit notre disponibilité à participer aux cadres unitaires de l’autre gauche. Mais le Front de Gauche est-il prêt à se transformer en s’élargissant à de nouvelles forces et à de nouvelles implications citoyennes ? Nous attendons cette ouverture.

    Vous avez participé aux listes élargies du Front de Gauche aux régionales. Etes-vous prêt à renouveler la démarche pour les élections présidentielle et législatives de 2012 ? Ce fut le cas dans certaines régions, malheureusement pas dans toutes. Une dynamique rassemblant plus largement que l’actuel Front de gauche est nécessaire pour 2012. Tout l’arc des forces de la gauche décidée à affronter la logique capitaliste et à donner corps à l’exigence de souveraineté populaire doit faire cause commune. Je suis convaincue qu’une grande partie des gens qui descendent dans la rue attendent de nous cette convergence ainsi qu’une refondation idéologique, stratégique et organisationnelle.

    La candidature du Front de Gauche aura-t-elle votre soutien à la présidentielle ? Quelle drôle de formulation ! Nous ne voulons pas seulement soutenir mais participer à l’élaboration de candidatures à la présidentielle et aux législatives sur la base d’un projet partagé, à gauche, bien à gauche, entre tous ceux qui veulent la franche rupture avec les logiques dominantes depuis près de trente ans.

    Entretien réalisé par Mina Kaci et à retrouver sur le site de l’Humanité.fr par ici.

  • Retraites

    005.jpg    Entre 1 000 et 1 500 manifestants dans les rues de Gap

    Contre la réforme des retraites, la huitième journée de mobilisation en un peu plus de deux mois a rassemblé aujourd'hui entre 1 000 et 1 500 personnes dans les rues de Gap et autour de 300 à Briançon.

  • "4 heures pour les droits de l'homme"

     

                                                                                               Gap et pays gapençais

     

    La Ligue des Droits de l'Homme Gap et pays gapençais vient de se créer à un moment où les urgences sont nombreuses :

    • Urgence de lutter contre la destruction de nos acquis sociaux nés, entre autres, du programme du Conseil National de la Résistance (retraites, sécurité sociale ...).

    • Urgence de lutter contre la remise en cause de nos libertés publiques : liberté de la presse, droit de grève et de manifestation, société de surveillance (vidéosurveillance, biométrie ...).

    • Urgence d'être avec ceux qui, étrangers ou non, avec des papiers ou pas, d'Europe ou d'Afrique, subissent de plus en plus violemment la politique ouvertement raciste de ce gouvernement.

    • Urgence de lutter avec les femmes qui se voient remettre en cause un droit acquis de haute lutte à disposer librement de leur corps : le droit à l'avortement par la fermeture des centres IVG dans les hôpitaux (Loi Bachelot).

    • ...

    Nous vous invitons à nous rencontrer le

    17 novembre 2010

    de 18 heures à 22 heures

    salle Le Royal 13 bis rue Pasteur à Gap

    (entrée libre et gratuite)

    avec Pierre Tartakowsky

    vice-président de la Ligue des Droits de l'Homme, journaliste

     

                   18h - 19h : projections de films, déambulation, présentation de la LDH Gap...

             19h à 20h30 : projection du film "Walter, retour en résistance" de Gilles Perret
             
    20h30 : débat avec la salle

     

    Ligue des Droits de l'Homme Gap et pays gapençais gap@ldh-france.org 06 84 84 85 10

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