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ENSEMBLE 05 - Page 521

  • pour répondre à la dépendance, il faut une réponse de haut niveau collective, solidaire et publique

     Le nombre croissant de personnes en perte d’autonomie est un enjeu de société. L’État doit

    prendre ses responsabilités par une réponse publique correspondant à un choix de société.

     

    Parce que ce risque peut frapper chacun de nous :

    ·          la réponse est une gestion collective de ce risque au sein de la Sécurité sociale ;

    ·          son financement doit se faire dans le cadre de la solidarité nationale, avec un

     engagement de l’État.

     

    Ø NON aux restrictions dans la prise en charge publique.

    Ø NON au transfert de ce risque vers les assurances privées.

    Ø NON aux recours sur successions qui frappent injustement les personnes

           dépendantes et leur famille.

     

     

    Année après année, les retraités constatent une baisse continue de leur pouvoir d’achat.

    La revalorisation des pensions basée sur l’inflation est insuffisante pour maintenir le pouvoir

    d’achat des retraités face aux augmentations auxquelles ils doivent faire face (moins 20%

    depuis 1993 selon les chiffres de la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse - CNAV).

     

     

    Ø   Pour une réponse collective et solidaire

    à la perte d’autonomie

    Ø   Pour l’augmentation immédiate des retraites

     

    Manifestons ensemble le
    jeudi 25 novembre 2010

     

     

    Rassemblement

    Esplanade du Conseil Général

     à GAP à 10 H 30

     

     

  • Avenir des maisons d'enfants à caractère sanitaire

    Hautes-Alpes - Les Maisons d’Enfants à Caractère Sanitaire pourraient délocaliser leur activité, dans le cadre de l’application du Schéma régional de l’offre de soins. Les MECS doivent se reconvertir en se spécialisant dans le domaine médico-social, dans les soins de suite spécialisé ou dans la psychiatrie. Dans les Hautes-Alpes, neuf établissements spécialisés sont concernés par cette réorganisation. Alors que certaines structures vont pouvoir s’adapter d’autres vont fermer leurs portes, c’est le cas à Embrun, Briançon et Abriés. 75 salariés sont concernés.

    Cette vaste réorganisation a pour objectif de rapprocher les adolescents de leurs familles. Mais les structures doivent également se spécialiser. Fini l’appellation Maisons d’Enfants. Désormais, il faut parler d’établissements de soins de suite et de réadaptation pédiatrique. Dans le briançonnais, sur les quatre établissements, spécialisés dans les infections respiratoires, seul « La Grand’Maye »  doit fermer ses portes le 31 juillet prochain. Sans surprise pour la directrice Sandrine Fabre, « c’est toujours difficile de supprimer des emplois et nos patients sont mécontents que cette offre de soins disparaissent », nous a-t-elle confiée.

    Les établissements « La Guisane », « Les Hirondelles » et « Les Jeunes Pouces » ont de leur côté reçu l’autorisation de fonctionner en tant que « Établissement de Soins de Suite et de Réadaptation Pédiatrique ». A Orpierre dans le Buëch, la direction de la maison « Les lavandes » a une année pour se réorienter dans le champ médico-social. L’établissement de soins de suite à Abriés « Val pré vert », spécialisé dans le traitement de l’obésité et du diabète, a reçu une autorisation de fonctionner jusqu’au 31 décembre 2011. Date à laquelle la structure sera délocalisée dans le nord des Bouches-du-Rhône. La direction et la communes d’Abriés sont désormais dans l’attente d’un éventuel repreneur privé ou institutionnel. Dans l’Embrunnais, l’établissement « Futur Antérieur » va continuer à accueillir des adolescents atteints de troubles psychiques. Mais l’issue parait inévitable pour la structure de « Dormillouse ». La fermeture est prévue avant la fin décembre. Seul espoir pour les salariés, un référé est toujours examiné devant le tribunal administratif de Marseille.

    Source Alpes 1

  • Réforme territoriale

    Bonjour,
      
    Retenez votre soirée du 2 décembre 2010 pour venir à un débat qui concerne la démocratie de proximité avec le passage au crible de la réforme des communautés de communes à la lumière des mesures annoncées. Cela va être un vrai régal.
     
    Réveillons la Démocratie

     

  • Le coup de force contre la médecine du travail a échoué, mais ils menacent de le recommencer



    97 % de nos frais de santé sont d’ordre curatif, 3 % de l’ordre de la prévention. Nous avions, dans la foulée du programme du Conseil national de la Résistance, après 1945, conçu deux magnifiques médecines de prévention, l’une scolaire, l’autre au travail. La médecine scolaire a été tuée. La médecine du travail a été laissée progressivement à l’abandon, le patronat n’en ayant jamais voulu. Sur 6500 médecins du travail, plus de 600 postes sont vacants, 1700 médecins vont partir à la retraite d’ici 5 ans. Dénigrement, sous estimation, routine ont diminué les vocations. De plus, le Medef a été pris la main dans le sac en novembre 2007 (par Rues 89, France inter, et le Canard enchaîné) alors qu’il volait tout ce qu’il pouvait dans les caisses des centres de santé au travail.
    En 2009, il y a eu 8 réunions nationales entre 8 syndicats et le Medef qui n’ont abouti à rien. Le Medef voulait supprimer les médecins spécialisés, espacer les visites tous les 4 ans, prendre encore davantage le contrôle des « SST » (« services de santé au travail »). Comme tous les syndicats unanimement s’y opposaient, le Medef par le canal de quelques parlementaires UMP stipendiés a tenté le 15 septembre dernier à l’Assemblée nationale, avec « l’amendement » 730, de faire passer en force son projet.
    Nous, 20 000 syndicalistes de tous les syndicats, et 1100 médecins et inspecteurs/contrôleurs du travail avons tenté d’empêcher ce sale coup par un appel lancé au début de 2010 et nous avons rencontré, à notre demande,  le représentant du ministre du travail, le DGT, (directeur général du travail), Combrexelle, le 24 septembre 2010 pour lui demander de retirer le « cavalier parlementaire » introduit dans la loi de pillage des retraites supprimant de facto la médecine du travail conformément à la volonté du Medef. Un « cavalier législatif » c’est un article de loi qui est introduit dans une loi qui parle d’autre chose et qu’on fait voter en même temps… En nous recevant, le DGT a refusé de reconnaître qu’il exécutait les volontés patronales et a refusé de retirer ce « cavalier ».
    Mais voilà, pour une fois, le Conseil constitutionnel s’en est aperçu et a censuré les articles liés à la médecine du travail. Chou blanc pour le Medef, le DGT et son ministre Woerth.
    Mais ledit ministre du Travail a aussitôt déclaré que "compte tenu du caractère indispensable de la réforme de la médecine du travail pour la santé des salariés, les articles censurés feront l’objet d’un projet de loi spécifique dans les meilleurs délais". Comme s’il s’agissait vraiment de la santé des salariés ! Le mensonge permanent de ce gouvernement pour détruire la médecine du travail, c’est le même que pour la retraite : « - C’est pour la sauver ».
    Ce combat est donc devant nous, et nous suggérons que tous les syndicats, tous les salariés, le prennent en main avec toute la gauche : une information a déjà commencé avec l’appel des médecins et inspecteurs du travail, (http://www.non-mort-medecine-travail.net)./ Elle doit se développer, réaliser une unité plus vaste encore, mobiliser pour une vraie médecine du travail, indépendante, financée par les patrons mais échappant totalement à leur contrôle !
     
    Gérard Filoche


    (http://www.non-mort-medecine-travail.net)./
     

  • MANIFESTATION DEPARTEMENTALE GAP le MERCREDI 17 NOVEMBRE DEVANT LA PREFECTURE (Rdv à11 heures)


    LES ATELIERS ET CHANTIERS D’INSERTION SONT EN DANGER
    Les associations du secteur de l’Insertion par l’Activité Economique qui ont pour mission la
    lutte contre l’exclusion sociale et professionnelle sur notre département se trouvent
    aujourd’hui dans une situation difficile voire dramatique pour certaines d’entre elles.
    L’Etat, par l’intermédiaire de son représentant, Monsieur le Préfet de Région, bloque la
    signature de nouveaux contrats CUI/CAE sur cette fin d’année 2010, interdisant ainsi l’accès
    au travail des demandeurs d’emploi les plus fragiles.
    La gestion budgétaire des fonds publics ne peut se faire au détriment des plus démunis.
    L’Etat doit nous entendre :
    - Parce que les personnes que nous salarions ne peuvent voir leur contrat de travail
    ou leurs projets sacrifiés en raison de politiques publiques fluctuantes
    - Parce qu’il doit permettre à ses services d’honorer les engagements signés avec lui
    - Parce que c’est de son devoir de s’occuper des plus démunis
    - Parce que des solutions existent
    Salariés, bénévoles, citoyens venez nombreux nous soutenir


    Le Collectif 05 : LA PETITE OURSE - LRS - Les Environneurs - Les Fils d’Ariane Le Gabion - CPIE -
    Jardins du Buech - Villages des Jeunes - Le Nez au Vent -