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ENSEMBLE 05 - Page 527

  • Guide du logement aidé pour les salariés saisonniers du tourisme à l’usage des élus locaux


    Sommaire :

     

    Conclusion


    La convention État - UESL du 15 juillet 2004 assouplit considérablement les règles de financement pour le logement des saisonniers et permet une plus grande intervention du 1 % Logement, y compris lors d’opérations dont le maître d’ouvrage est privé.


    Elle permet de financer un plus grand nombre de types d’opérateurs publics ou privés et de type d’opérations en sous-location « meublés ». Elle instaure un véritable « kit » de financement associant PLS et fonds du 1 % Logement plus adapté.

    Par ailleurs, la durée d’inoccupation, caractéristique des logements pour les saisonniers et principale pierre d’achoppement pour équilibrer les opérations, ne devrait plus être un obstacle car le déficit annuel d’exploitation est facilement pris en charge par les entreprises ayant des droits de réservation lorsque le coût de ces derniers est inférieur au coût des logements disponibles sur le marché.

    En effet, les entreprises adhèrent au dispositif des droits de réservation lorsque celui-ci garantit :

    • la libre disposition du logement en début de saison,
    • la mise à disposition d’une solution substitutive en cas de rupture du contrat de travail,
    • un coût maîtrisé pour un logement de qualité.

    De plus, les règles d’occupation, hors périodes d’occupation réservées aux travailleurs saisonniers, ont été aménagées pour permettre une plurifonctionnalité d’occupation facilitant l’équilibre financier d’exploitation.

    Les avantages de ce nouveau dispositif, plus souple et plus adapté, doivent ainsi permettre de dynamiser la production de logements en faveur des salariés saisonniers.

    Pour obtenir les coordonnées des CIL/CCI dans votre secteur, consulter le site internet de l’UESL : www.uesl.fr (espace « professionnels »)

  • Millau a renégocié à la baisse son tarif de l’eau avec Veolia


    L. Lafosse | 18/10/2010 | Publié dans : Régions

    La commune millervoise du Sud-Aveyron a obtenu auprès de Véolia-eau une baisse de 32% de sa facture d’eau. La baisse sera répercutée sur le prix au m3 suivant un système dégressif, pour favoriser les petits consommateurs et les ménages à faible revenu.

    Engagement de campagne des dernières municipales, l’équipe de Guy Durand, maire (PS) de Millau, vient d’aboutir à la re-tarification de son contrat d’affermage avec le groupe Veolia-eau. La baisse officialisée par le conseil municipal du 1er octobre assure à la ville une économie de 32%, équivalent à 120.000 euros d’économie par an. Géré en délégation de service public par contrat d’affermage depuis 1972 par Véolia-eau (ex CGE), le contrat avait été prolongé jusqu’à 2020 par le jeu d’avenants successifs. La ville s’est appuyée sur une clause lui permettant de renégocier son contrat tous les cinq ans.

    Pour les usagers, le report de la baisse du prix de l’eau sera variable en fonction de la consommation avec la mise en place d’une baisse maximale de 0,30 euros pour les 60 premiers m3 consommés. « Nous avons fait le choix d’une système souple qui favorise les petits revenus et les faibles consommateurs, un système de tarification à la fois social et éco-responsable », explique Guy Durand.

    Contrat commun

    Un fonds social de l’eau sera créé rapidement. Géré par le Centre communal d’action social et doté 15.000 euros chaque année, il assurera une aide financière spécifique à l’alimentation en eau des personnes en difficulté. Une dizaine de familles serait aujourd’hui susceptible de recevoir cette aide. « Il existe des aides aux logements, à l’énergie, mais rien pour l’eau qui reste une source vitale », précise Guy Durand.

    Troisième volet de la renégociation, la délégation de service public cessera en 2017 au lieu de 2020, par anticipation, en même temps que le contrat de la ville voisine de Saint-Affrique. Les deux communes souhaitent d’ici là étudier les possibilités de mutualiser leurs services des eaux et d’assainissement. Les deux bassins de vie représentent 15.000 habitants, un seuil suffisamment critique pour mieux renégocier leur contrat commun.

  • Retraites

    Samedi 6 novembre 2010

    Pour nos Retraites, Public et Privé :

    Le combat continue

    Les Français ont largement exprimé leur opposition à la contre-réforme gouvernementale que le parlement vient de voter. Un mouvement social d’une ampleur exceptionnelle s’est développé depuis le mois de juin pour dire son ambition d’une autre réforme sur les retraites qui serait juste, solidaire et efficace.

    Face à cela le gouvernement continue à imposer sa vision réductrice du dossier.

    En repoussant l’âge de la retraite à 62 ans et celui du taux plein à 67 ans, cette loi profondément injuste, loin d’assurer l’avenir du système de retraites par répartition, encourage tout un chacun à se tourner vers l’épargne privée.

     

    Toujours aussi déterminés, collectivement, exigeons :

    Ø LA NON PROMULGATION DE CETTE LOI INIQUE

    Ø L’OUVERTURE DE NÉGOCIATIONS POUR UNE AUTRE RÉFORME DES RETRAITES

    La France est assez riche pour assurer une retraite digne, à 60 ans pour tous, pour prendre en compte la pénibilité et les carrières longues par un départ anticipé.

    Les richesses produites par les salariés doivent aller au progrès social !

    A GAP MANIFESTATION 10h30

    Esplanade du Conseil Général

    Arrivée à la Bourse du Travail suivi d’un apéritif

     

  • RGPP : quel bilan au niveau des préfectures ?

    Le Sénat a rendu public le 13 octobre 2010 un rapport d’information qui dresse un bilan contrasté de la mise en oeuvre de la révision générale des politiques publiques (RGPP) dans les préfectures. Cette politique prévoit la réduction des effectifs et la réorganisation des activités préfectorales (délivrance des titres d’identité, contrôle de légalité, gestion des fonctions support) entre 2009 et 2011.

    Le bilan à mi-chemin réalisé par le rapport met en lumière des résultats décevants, voire préoccupants. Le passage aux passeports biométriques et l’entrée en application du nouveau système d’immatriculation des véhicules auraient induit, dans un premier temps, une dégradation des délais de délivrance, sans permettre de dégager les gains de productivité attendus. Le « resserrement » du contrôle de légalité sur les actes les plus sensibles ou prioritaires (urbanisme et environnement, commande publique, compétences des différentes collectivités territoriales) ferait craindre une certaine insécurité juridique. Enfin, les mutualisations des fonctions support des préfectures ne s’accompagneraient que de résultats très limités en termes de gains de productivité.

    Face à ce constat, le rapport s’interroge sur la méthode adoptée et les objectifs fixés dans le cadre de la RGPP. Il recommande de faire une pause dans l’application de la RGPP et de ne pas mettre en oeuvre les suppressions d’emplois restant à réaliser dans les préfectures.

     

  • Elections cantonales

    Communiqué à la presse

    Vote_Premier_Tour.JPG ELECTIONS CANTONALES PARTIELLES, CANTON du VALGODEMARD

    Les 21 et 28 novembre 2010, des élections cantonales partielles seront organisées dans le canton du Valgodemard pour le remplacement de Robert BLACHE décédé dernièrement.

    Après avoir rencontré Jérôme BELLON, candidat présenté par le Front de gauche PCF-GU-PG), et consulté nos adhérents, nous avons décidé de le soutenir.

    Ce soutien s’inscrit dans le cadre des discussions en cours pour des alliances et des candidatures communes de la gauche de gauche aux élections cantonales de mars prochain.

    Une charte des candidats et des organisations partenaires ainsi qu’un programme sont en cours d’élaboration et seront présentés vers la mi-décembre sous « une bannière » unitaire.

    FASE - M’PEP - NPA

    Des Hautes - Alpes

    GAP le 2 novembre 2010