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ENSEMBLE 05 - Page 410

  • Gestion de l'eau potable de la ville Gap.

    boire_eau_robinet_3002003.jpgLIRE le RAPPORT de SCE

    LIRE un nouveau document concernant l’audit sur l’eau.

  • Convocation Assemblée Générale du 9 février 2012 à 18h Salle Dum’Art, avenue du Commandant Dumont, à coté Intermarché.

    1916454872.JPGOrdre du jour :

    1 - Analyse collective de la situation politique actuelle : travail en groupe (18h-19h)

          Points positifs et négatifs (domaines social, économique…campagne électorale).

          Les mois à venir : qu’est ce qui va se passer ? Qu’est ce qu’on fait ? Quelles sont nos priorités ?

    2 – Mise en commun (19h-19h30)

    3 – Informations diverses (19h30-20h)

    Amicalement

    Cécile Leroux


  • Distribution de l'eau potable: Régie Municipale ou Délégation de Service Public?

    gapTel est le choix. Les évènements se précipitent.


      Rappelons que la remise des conclusions de l’audit par la société  SCE initialement prévue le 30 novembre a était reportée à cette semaine..
      Le sujet sera évoqué le 27, lors de la réunion ''extraordinaire'' du Conseil Municipal convoquée pour statuer sur les conséquences de la mise en liquidation Judiciaire du club de foot-ball! puis à la Commission municipale ''eau'' convoquée le 31 pour en débattre et enfin, décider en Conseil Municipal le 10 février prochain.
    Le Maire a annoncé dans le DAUPHINÉ LIBÉRÉ du 14 que le prix de l'eau devrait baisser de 30% (ou davantage – sic), reconnaissant, ainsi que les usagers gapençais de l'eau payent un prix indu et trop élevé à Véolia depuis des années!
        Le prix de l'eau est toujours et partout supérieur dans le cas d’une Délégation de Service Public donnée à Véolia ou consorts par rapport à une gestion en régie municipale. De plus, le délégataire ne procède  pas au renouvellement contractuel des canalisations, des branchements et des vannes du réseau...ce qui se traduit, à terme, par des investissements lourds à charge de la Commune. C'est aussi valable pour GAP.
      « EAU SECOURS GAPENCAIS » attend que le retour en Régie Publique améliore encore davantage le service de l'eau potable pour les usagers comme le démontre l'actuelle gestion – en régie – du réseau d'assainissement qui combine modération des tarifs,excellence des prestations et modernité des infrastructures. Le passage en régie municipale de la distribution de l'eau potable à EMBRUN est d'ailleurs une pleine réussite.
      Le rapport de la société d'audit SCE ébauche ces perspectives, pointant les insuffisances et les marges prises par Véolia.
      «EAU SECOURS GAPENÇAIS» considère que l'eau est un bien commun qui  semble mériter l'implication directe de la communauté municipale sans la céder à des intérêts privés d'abord soucieux de servir ses actionnaires et de constituer un groupe industrio-financier dépassant outrancièrement l'objet initial de l'entreprise.
      Par ailleurs, « EAU SECOURS GAPENCAIS » annonce que le Maire de GAP n'ayant pas répondu à ses demandes d'installation d'une Commission de Contrôle Financier de la gestion du réseau d'eau potable et de remboursement aux usagers de l'eau de la Redevance d'Occupation du Domaine Public indument perçue depuis des années, elle poursuit son action en saisissant le Tribunal Administratif.
      « EAU SECOURS GAPENCAIS » oeuvre pour le retour en Régie Municipale de la distribution de l'eau potable comme il est déjà pratiqué pour le service d'assainissement.
     «EAU SECOURS GAPENÇAIS» propose aux usagers gapençais de s'approprier cette perspective en signant la pétition en ligne '' Pétition Publique – Mairie de Gap'' ou sur le marché, les samedis, et en assistant à la
     Conférence et Assemblée Générale du mercredi 1er février, au Royal, à partir de 19H30, avec la participation de Patrick du Fau de Lamothe, Conseiller Régional d'Aquitaine, militant associatif et expert-comptable.


                                                                                                                               Le 19,01,2012,

  • Collectif «L’éducation est notre avenir » Dans les Hautes-Alpes

    Le 21 janvier, défendons

    une Ecole de qualité pour tous et partout

    refusons la pénurie !

    Rassemblement à Gap à 10 H30

    Esplanade de la paix

    La dégradation de l’Ecole continue. Le budget 2012, dans la suite négative des précédents budgets, placera le service public d’éducation sous tension. Des pans entiers du service public sont mis en difficulté. Pourtant, le gouvernement, dans le domaine éducatif, continue de s’attribuer des notes positives.

    Le collectif « L’éducation est notre avenir » dénonce :

    ·       le déplorable budget 2012 et ses conséquences, notamment les fermetures de postes.

    ·       le plan de désengagement de l’Etat de son Ecole qui aura vu, en cinq ans, plus de 80 000 emplois supprimés dans l’éducation.

    Les recteurs devront dire, dans les prochains jours, où seront supprimés les 14 000 postes de la rentrée 2012. Les mesures que les recteurs vont prendre se traduiront, en septembre prochain, par des fermetures de classes, des effectifs encore plus lourds à tous les niveaux du système éducatif, une détérioration des conditions d’accueil des élèves, des remplacements qui seront, faute de moyens, encore plus mal assurés.

    Au niveau académique, il est d'ores et déjà prévu la suppression de 219 postes dans le 1er degré et 285 dans le second degré.

    C’est trois fois plus que l’année dernière !

    Les Hautes-Alpes ne seront évidemment pas épargnées. Le ministre Chatel  a annoncé qu’il faudrait explorer les pistes de la fermeture des petits établissements de zone rurale. Les informations chiffrées pour notre département devraient être confirmées dans la semaine.

    L’autosatisfaction gouvernementale n’est pas de mise quand ces mesures se traduisent par :

    ·         un recul de la scolarisation en maternelle,

    ·         un recul de la scolarisation dans de bonnes conditions des élèves en situation de handicap.


    L’inquiétude est vive dans les écoles, les collèges, les lycées, les universités comme elle l’est dans les mouvements d’éducation populaire menacés d’asphyxie.

    L’éducation est, pour l’avenir de la jeunesse, la réponse la plus adaptée aux temps de crise économique.

    Elle doit être ce choix ambitieux que consent une nation pour préparer les jeunes aux mutations, pour former et qualifier lycéens, étudiants et salariés. L’éducation ne peut se faire au rabais. Elle a besoin de moyens, de confiance, de dialogue pour évoluer, se moderniser, pour donner à chaque jeune les moyens de réussir.

    ADELHA Ligue de l'enseignement – AGEEM - DDEN - FCPE – FNAREN - FSU - JPA – LDH - OCCE - Les PEP – CGT – Sgen CFDT - Sud Education - UNSA