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ENSEMBLE 05 - Page 413

  • AUDIT sur la DISTRIBUTION de L’EAU POTABLE de la VILLE de GAP : OU EN SOMMES-NOUS ?

    !cid_006101ccc9f6$48840090$0a01a8c0@guiol43398db73.gifSi le calendrier prévisionnel élaboré par la municipalité était respecté, le conseil municipal devrait délibérer lors de la prochaine séance le 10 février 2012 en faveur soit d’une reconduction de la délégation de service public, soit d’une exploitation en régie directe.
    Un groupe de travail a été mis en place, il est composé de 8 membres dont 2 membres de l’opposition.
    Cette instance est chargée de suivre la réalisation d’un audit du service public de distribution de l’eau potable de la ville de GAP confié à VEOLIA depuis le 1er juillet 1993.
    Elle s’est réuni le 16 septembre et le 20 octobre 2011.
    Le rapport final devait être présenté le 30 novembre dernier.
    Cette réunion à été reportée à une date ultérieure et depuis malgré nos relances nous n’avons plus de nouvelles de ce dossier très important pour notre collectivité et les usagers de l’eau.
    A plusieurs reprises les responsables du dossier se sont engagés à faire la TRANSPARENCE sur ce dossier.
    Nous exigeons que cet engagement soit tenu par la municipalité. Nous avons interpellé ce jour l’adjoint en charge du dossier.


    Gap le 11 janvier 2012.

    Danielle Langemallet et Jean-Claude Eyraud
    Conseillers municipaux et membres du groupe de travail eau.

  • « Il y a et il y aura demain un service de réanimation à l’hôpital de Briançon » annonce le Directeur régional de l’Agence de Santé, qui va réécrire le Projet Régional de Santé

    Conformément aux conclusions de la réunion entre le Directeur de cabinet de Nora
    Berra, Ministre de la Santé, Joël Giraud, Député des Hautes-Alpes, et Gérard Fromm,
    Maire de Briançon, le Directeur régional de l’ARS va donc revoir sa copie et a
    affirmé en réunion à la Préfecture des Hautes-Alpes qu’ « il y a et il y aura un
    service de réanimation au Centre Hospitalier de Briançon ».
    Il est clair que la mobilisation a payé et que la réécriture du projet régional de santé
    est désormais actée.
    Pour autant, la volonté de mutualisation des moyens sur le territoire de santé des
    Hautes-Alpes laisse les deux élus sceptiques et appelle la vigilance de tous.
    D’autre part, la mise en oeuvre effective de la convention entre l’ARS et ARESS du
    Piémont, jusqu’alors ignorée de l’ARS de Marseille, a été demandé par les deux élus
    mais aussi par la députée Henriette Martinez.
    Autre nouvelle importante, il n’est désormais plus question de fermer des lits à
    l’hôpital d’Aiguilles, dans la mesure où la présence médicale est désormais assurée
    par le regroupement de médecins selliance, financé par le Conseil Régional.
    Enfin le rapprochement de Bonnedonne et de la Source dans le Champsaur augure
    d’un avenir concerté.
    Le Directeur régional M. Deroubaix a d’autre part indiqué son intention d’ici 2 ans
    de rédiger un projet régional de santé « montagne » pour prendre en compte la
    spécificité montagne de la Région PACA.

  • L'appel des appels

    NOUS, PROFESSIONNELSdu soin, du travail social, de l’éducation, de la justice, de l’information, de la culture et de la recherche, avons depuis trois ans attiré l’attention des pouvoirs publics et des citoyens sur les conséquences sociales désastreuses de l’introduction d’une culture issue du capitalisme financier dans nos pratiques de services publics et associatifs.

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  • Les tensions s'apaisent dans le dossier de l'imprimerie Louis Jean à Gap (INFO ALPES 1)

    Les tensions s'apaisent dans le dossier de l'imprimerie Louis Jean à Gap
     Hautes-Alpes - Les tensions s’apaisent mais tout n’est pas réglé dans l’affaire des indemnités de Louis-Jean. Les ex-salariés de l’imprimerie gapençaise ont occupé jusqu’à ce lundi les locaux de la liquidatrice judiciaire, à Gap. Ils réclament la régularisation de certaines indemnités de licenciement. Maitre Lageat, la liquidatrice, et les anciens salariés se sont rencontrés lors d’une réunion de médiation dans les locaux de la direction du travail à Gap.

    La négociation était tendue de l’avis des deux parties. La réunion s’est faite en présence de la Direction Régionale du Travail et de l’Emploi, la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi), Pôle emploi et l’Inspection du Travail. Après près de deux heures de médiation, l’avocat de la liquidatrice judiciaire semblait satisfait. Maitre Philippe Lecoyer a précisé que 99,9% des sommes dûes ont été versées, soit plus de 821 000 euros. « Maitre Lageat a établi les calculs sur la base des éléments dont elle disposait. Ce sont les fiches de paye qu’elle a pu récupérer dans une entreprise qui s’avérait exsangue, et en liquidation judiciaire », a-t-il précisé.

    Quant aux ex-salariés, ils sont prêts à entamer une action en justice contre les fonds de garantis AGS, pour réclamer les suppléments. Mais pour Natacha Culoma, déléguée du personnel, c’est bien Maître Lageat qui a mal fait ses calculs. « On l’a averti qu’elle n’avait pas tous les papiers en sa possession. Et que nous pouvions lui faire passer. On se retrouve obligé aujourd’hui d’aller au Prud’hommes », a-t-elle indiqué.
     
    Cette réunion de médiation aura au moins servi à apaiser les relations. La liquidatrice judiciaire a décidé de ne pas porter plainte malgré les quatre jours d’occupation illégale de son étude. Notez que Pôle Emploi a assuré les salariés du versement de leurs indemnités, y compris après février.