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ENSEMBLE 05 - Page 414

  • L'appel des appels

    NOUS, PROFESSIONNELSdu soin, du travail social, de l’éducation, de la justice, de l’information, de la culture et de la recherche, avons depuis trois ans attiré l’attention des pouvoirs publics et des citoyens sur les conséquences sociales désastreuses de l’introduction d’une culture issue du capitalisme financier dans nos pratiques de services publics et associatifs.

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  • Les tensions s'apaisent dans le dossier de l'imprimerie Louis Jean à Gap (INFO ALPES 1)

    Les tensions s'apaisent dans le dossier de l'imprimerie Louis Jean à Gap
     Hautes-Alpes - Les tensions s’apaisent mais tout n’est pas réglé dans l’affaire des indemnités de Louis-Jean. Les ex-salariés de l’imprimerie gapençaise ont occupé jusqu’à ce lundi les locaux de la liquidatrice judiciaire, à Gap. Ils réclament la régularisation de certaines indemnités de licenciement. Maitre Lageat, la liquidatrice, et les anciens salariés se sont rencontrés lors d’une réunion de médiation dans les locaux de la direction du travail à Gap.

    La négociation était tendue de l’avis des deux parties. La réunion s’est faite en présence de la Direction Régionale du Travail et de l’Emploi, la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi), Pôle emploi et l’Inspection du Travail. Après près de deux heures de médiation, l’avocat de la liquidatrice judiciaire semblait satisfait. Maitre Philippe Lecoyer a précisé que 99,9% des sommes dûes ont été versées, soit plus de 821 000 euros. « Maitre Lageat a établi les calculs sur la base des éléments dont elle disposait. Ce sont les fiches de paye qu’elle a pu récupérer dans une entreprise qui s’avérait exsangue, et en liquidation judiciaire », a-t-il précisé.

    Quant aux ex-salariés, ils sont prêts à entamer une action en justice contre les fonds de garantis AGS, pour réclamer les suppléments. Mais pour Natacha Culoma, déléguée du personnel, c’est bien Maître Lageat qui a mal fait ses calculs. « On l’a averti qu’elle n’avait pas tous les papiers en sa possession. Et que nous pouvions lui faire passer. On se retrouve obligé aujourd’hui d’aller au Prud’hommes », a-t-elle indiqué.
     
    Cette réunion de médiation aura au moins servi à apaiser les relations. La liquidatrice judiciaire a décidé de ne pas porter plainte malgré les quatre jours d’occupation illégale de son étude. Notez que Pôle Emploi a assuré les salariés du versement de leurs indemnités, y compris après février.

     

  • CERISES

    n°127 - 6 janvier 2012. LE LIRE et LE TELECHARGER

    - l'édito : 2012 L'égalité à l'ordre du jour - Gilles Alfonsi et Michèle Kiintz
    - le gâteau : Les Palestiniens et la communauté internationale face à l'apartheid israélien - Jean Brafman, entretien réalisé par G. Alfonsi
    - la cuisine alternative : Trésor de guerre - Sylvie Larue
    - fromage et dessert : Le doigt dans le clafoutis / Il est une fois - Philippe Stierlin ; l'image de la semaine : Palestine
    - tribune libre : la gratuité du bon usage, le grand combat du 21e siècle - Paul Ariès
    - délicieux : Palestine Israël, un État, deux États ? Michèle Kiintz
    - 4 pages Ne pas subir leur dette - FASE

    Et la canaille du faubourg, ainsi que les liens vers : MLP oust! - Logement - Fanon - Film Palestine - Justice et vérité - Audit citoyen - Appel des appels - Morin - Evaluation - MCPL/Pôle emploi - Voeux

    Les numéros de Cerises sont tous archivés sur www.cerisesenligne.fr

    Bonne lecture

  • Communiqué à la presse: AVENIR du GAP HAFC

     

    gapLe 13 janvier 2012, le TGI de GAP doit prendre une décision concernant l’avenir du GAP HA FC.

    Le 20 décembre dernier lors de l’assemblée générale du club, notre groupe s’était positionné afin que tout soit mis en œuvre pour que le club puisse terminer la saison sous sa forme actuelle et ainsi maintenir notamment son activité en direction des jeunes.

    Nous avions proposé au maire de réunir en urgence le conseil municipal afin de délibérer dans ce sens.

    Depuis, plus de nouvelles alors que l’on est à J-5 de l’échéance.

    Il n’est pas possible qu’une telle situation se reproduise.

    Il n’est plus possible que les élus soient informés uniquement par la presse, comme hier à propos du GAP HA Rugby qui rencontre, lui aussi, des difficultés financières !

    Notre groupe qui s’était abstenu en conseil municipal lors de l’adoption des conventions d’objectifs triennaux, compte tenu notamment du manque de transparence sur la santé financière des clubs sportifs subventionnés par la ville, fait 3 propositions :

     -         une nouvelle répartition des subventions à partir d’un dispositif clair, transparent et équitable, comme le pratique depuis plusieurs années l’office municipal des sports pour les clubs sportifs qui n’ont pas de convention avec la ville,

     -         la mise en place d’un dispositif de contrôle financier qui permette aux conseillers municipaux d’être régulièrement informés de la santé financière des clubs,

     -          dans l’immédiat, le vote d’une subvention exceptionnelle au GAP HA FC à valoir sur la subvention 2012, qui permette au club de fonctionner jusqu’à la fin de la saison. Cette subvention doit être uniquement destinée à l’activité des jeunes et gérée sous la responsabilité de l’administrateur judiciaire.

     

      Gap le 8 janvier 2012

      Françoise Perroud et Jean-Claude Eyraud

     Groupe G.A.U.C.H.E.

     

  • Centre de tri de St Jean le 5 janvier sur fréquence Mistral

    Vous entendrez dans un instant Jean-Claude Eyraud, élu de l’opposition en parler. Un rappel tout d’abord : lors de la séance du conseil municipal du 26 septembre 2008 l’association « Vivre ensemble à St Jean » avait indiqué que ses membres n’étaient pas opposés au tri des déchets, à leur valorisation et à la création d’un centre de tri, conscient du besoin  de traiter les déchets produits localement mais simplement exaspérés par les nuisances liées à l’activité des entreprises dans la zone. Ils craignaient que la situation ne s’empire encore avec cette nouvelle installation. Depuis 3 années d’activité et d’existence, l'association peine à se faire reconnaître comme interlocutrice auprès de la municipalité sur les questions d’aménagement des quartiers. Ainsi, l’association a demandé qu’une réunion ait lieu entre le Conseil général, le maire de Gap et elle-même afin d’avancer sur les questions d’aménagement dans le secteur. La réunion a bien eu lieu, mais l’association n’a pas été conviée aux débats et se sent donc écartée. Le groupe d’opposition de gauche au conseil municipal, avait rappelé que l’esprit de l’Agenda 21 est une démarche basée sur un diagnostic concerté avec les habitants qui vise à établir des actions pour un développement durable à travers l’économie, l’équité sociale et l’écologie. Il avait appelé alors à un véritable dialogue. Aujourd'hui, plus de trois ans après, où en sommes-nous ? Je vous propose d'écouter Jean-Claude Eyraud, qui dresse un constat et les éventuelles perspectives concernant ce dossier, au micro de Vincent Vachet.
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