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  • Conseil municipal ville de Gap du 17 février 2011

    gapLa prochaine séance du conseil municipal de la ville de Gap est fixée au jeudi 17 février à 18h15 à l'hôtel de ville.
     
    Afin de la préparer, nous vous invitons à participer à la réunion qui se tiendra le MARDI 15 FEVRIER à 18h salle "La MUTUALITE" immeuble le St Denis à GAP.
    Cette réunion est IMPORTANTE car nous devrons préparer nos interventions sur les ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 (nous vous ferons parvenir les éléments dès que possible).
    Nous comptons sur votre active participation.
     
    Cécile, Françoise et Jean-Claude
     

  • MICHOU NOUS A QUITTE

    Michou.JPGElle venait de faire valoir ses droits à la retraite, elle pouvait enfin commencer à s’occuper d’elle et de ses petits enfants. Michèle Herrisson, Michou comme tous ses proches l’appelaient vient de nous quitter.

    Dotée d’une personnalité très attachante et d’une grande humanité, cette militante de la CGT des Hautes-Alpes restera présente à jamais dans nos cœurs.

    Elle anima, entre autre, le mouvement des chômeurs hauts alpins avec une conviction hors du commun et une générosité débordante, jusque dans la cuisine qu’elle mijotait pour tous.

    Toujours disponible, elle était de tous les combats,  luttait avec  opiniâtreté,  faisait merveille dans les moments difficiles. Quand nous perdions l’espoir  elle était là pour redonner courage. Elle était à l’écoute des plus précaires, des plus pauvres et dénonçait sans concession cette société qui broie les plus faibles.

    Nous perdons une femme d’exception qui  va terriblement nous manquer. Sachons  suivre son   exemple et trouver la force nécessaire afin de poursuivre son combat pour un monde meilleur.

     

    Gap le 7 février 2011

  • Tunisie, Egypte,... : les peuples n'ont pas dit leur dernier mot. Rendez-vous à Dakar

    Les peuples s’insurgent, les dictateurs vacillent, des centaines de manifestants sont tués en Tunisie et en Egypte pour avoir demandé pacifiquement la démocratie et la justice.

    Que font les agences de notation ? Elles abaissent la note de la dette souveraine de la Tunisie et de l’Egypte ! Les peuples qui se lèvent sont mal notés par la finance internationale qui les voudraient dociles sous le joug de la police et des politiques d’austérité.

    À Davos, les puissants s’inquiètent pour leurs marchés et leurs investissements. Ils croyaient qu’après la grande secousse de la crise financière la tranquillité était revenue. Ils ont repris leurs affaires comme avant, spéculant sur tout ce qui leur passe sous la main, l’alimentation des hommes comme l’énergie ou la dette publique. Ils se frottent les mains quand les dépenses sociales, de santé ou d’éducation sont sacrifiées, quand les prix des produits de base flambent, quand les inégalités explosent. Ils ont fermé les yeux sur les dictatures les plus corrompues. En Egypte comme en Tunisie, les capitaux et entreprises françaises tiennent une place importante dans ce manège sordide.

    Mais la révolte gronde, les révolutions qu’ils croyaient à jamais disparues reviennent, la voix des opprimés et des humiliés résonne à nouveau sur la scène mondiale. Ne permettons pas que les puissances impérialistes opèrent un rétablissement en imposant leurs solutions.

    Depuis plus de dix ans, le mouvement altermondialiste affirme qu’un autre monde est possible. Il avance des propositions pour la mise sous contrôle de la finance, pour la justice, la démocratie, la préservation de la planète. Les révoltes populaires de Tunisie et d’Egypte montrent l’actualité de ces combats. Elles seront au centre des débats du Forum social mondial qui s’ouvre à Dakar, où les Attac du monde et l’ensemble des mouvements sociaux exprimeront leur soutien aux peuples qui renouent avec l’espoir.

    Attac France,
    Paris, le 4 février 2011

     

     

  • Lettre d'un proviseur honoraire au ministre de l'éducation nationale

    Découvrir cette lettre d'un chef d'établissement qui dénonce la logique comptable du gouvernement.

  • Elections cantonales: lu dans la Provence

    Une campagne au-delà du canton

    Publié le mercredi 02 février 2011 à 11H43

    Les candidats s'affrontent sur des thèmes transversaux, entre politique municipale et grands enjeux nationaux

    Il y a deux types de candidats dans le canton de Gap Centre. Le premier magistrat, Roger Didier, et ses partisans qui considèrent qu'être à la fois maire et conseiller général représente un atout pour défendre des projets à l'assemblée départementale. Et ses adversaires, contre le cumul, qui pensent que cette double casquette n'a fait avancer aucun dossier.

    Les premiers mettent en avant les réalisations "transversales" qui, partant du centre névralgique, profitent au département. Comme les politiques liées au développement durable, le renforcement des Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, la gratuité des transports en commun gapençais, le crématorium ou encore la construction du stade de glace… Les autres, à l'image de Christophe Peyre (PRG), parlent de "gestion hasardeuse", de "non-maîtrise des budgets" ou de clientélisme. "Le canton ne doit pas être le bras armé pour un autre mandat", s'insurge le jeune candidat radical.

    Deux visions s'opposent Dans la même veine, Marie-José Allemand, pour le parti socialiste, affirme que "le centre ville se meurt" et que "depuis que le maire a tous pouvoirs, la population n'a rien vu venir." La remarque est la même du côté de Christophe Peyre: "Ce canton est abandonné. À force de monter des opérations en périphérie, le centre se paupérise. Roger Didier se préoccupe de sa clientèle mais ne fait rien en matière de mixité sociale." Des affirmations quelque peu contredites par le dynamisme des commerçants. Et par le maire qui, en guise de réponse, cite en exemple les nocturnes, qui rassemblent 5000 personnes tous les mardis en été. Sur la question de la mixité, Roger Didier met en avant "les contrats de vente en état futur d'achèvement" qui permettent aux bailleurs sociaux d'acheter des logements au coeur du parc privé. "Quatre opérations de ce type ont vu ou vont voir le jour à Gap", avance-t-il.

    Autant de thèmes que Jean-Claude Eyraud, à la gauche de la gauche, préfère réserver au conseil municipal. Histoire de mettre tout le monde d'accord, le candidat a décidé d'axer sa campagne, très pédagogique, "sur les compétences du conseil général": la solidarité, l'insertion, la création d'un syndicat mixte des transports collectifs, la culture ou encore la défense des saisonniers et des pluriactifs. Enfin, sur "l'endettement du département, malgré l'augmentation des impôts", Jean-Claude Eyraud "exige une réelle participation de l'état à hauteur des transferts réalisés" et "refuse la réforme de collectivités". Même avec la meilleure volonté du monde, les enjeux de la campagne ont beaucoup de mal à ne pas sortir de Gap Centre.

    Tanguy COHEN (tcohen@laprovence-presse.fr)