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ENSEMBLE 05 - Page 155

  • Communauté d'agglomération du gapençais: questions orales du groupe "tous capables G.A.U.C.H.E."

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    Le programme local de l’habitat

    La Communauté d’Agglomération s’est dotée de la compétence « équilibre social de l’habitat » afin de favoriser le développement d’une offre locative sociale et la réhabilitation des logements dans le parc de logements sociaux et privés. Nous devons établir le "Programme Local de l’Habitat" à partir d’un diagnostic sur la situation du logement et les besoins à venir.  Le P.L.H. définit les objectifs de la politique intercommunale en matière d’habitat ainsi que les moyens d’intervention. Il vise à répondre aux besoins en logement et hébergement, à favoriser le renouvellement urbain, la mixité sociale, l’accessibilité du bâti aux personnes handicapées et à offrir une répartition équilibrée et diversifiée de l’offre de logements.

    Où en sommes nous de l’élaboration du P.L.H. ?

    Tunnel du Chambon

    Les conseillers communautaires de la communauté d’agglomération du gapençais ne peuvent pas rester sans rien faire suite à la fermeture du tunnel du Chambon qui pénalise l’activité économique des territoires du haut du département et qui, si elle devait perdurer, aurait des conséquences graves pour l'ensemble du département : d'abord sur l’activité touristique de cet été, ensuite sur la circulation ainsi que sur l'approvisionnement. Nous remarquons qu'une  quantité de plus en plus importante de camions passent dorénavant par le Col Bayard puisque, dès Grenoble, les panneaux de signalisation indiquent "Pour Briançon suivre la direction GAP". 

    Nous proposons qu’une motion soit prise afin de sensibiliser plus encore  le gouvernement sur la situation difficile que traversent nos départements alpins.

  • HOPITAL de BRIANCON: REUNION PUBLIQUE JEUDI 18 JUIN, 20h00 à la MJC

     "Tout va très bien, Madame la Marquise..."

    L'ARS et la direction ont mis à mort la Réanimation, qui devrait toujours exister; le service de Surveillance Continue n'a pas les moyens de fonctionner correctement; on prévoit la suppression de 70 postes, la fermeture de 37 lits, et un nouveau "petit" effort de 5 millions d'"économies" par an "pour résorber le déficit" avec le risque de le pérenniser!

                                         Oui,  tout va très bien...

    6a00d83453a21569e20162fe21ac80970d-800wi.jpgMonsieur le Maire est résigné,
    La Direction est contente, 
    L'ARS l'est encore plus:
         - le personnel de l'hôpital et les patients devraient donc être contents...
         - ...et notre Association devrait se mettre en sommeil !

                                     Mais la réalité est toute autre...

    Nous avons besoin dans le pays

    ​B​
    riançonnais d'un hôpital en état de fonctionner, garantissant la sécurité des patients et la qualité des soins, quelles que soient les circonstances.
    Nous disposons encore d'équipes médicales et de personnels soignants et dévoués, assurant des soins de qualité, mais qui ne peuvent plus aujourd'hui travailler en toute sérénité.

    Il est grand temps que l'ensemble du Pays du Grand Briançonnais se réveille: élus, citoyens, tous patients potentiels, pour exiger l'abandon de ce prétendu "Contrat de Retour à l'Equilibre Financier" (CREF), qui est plutôt un "Sabordage Organisé du Service Public (SOS!).

    On nous prend vraiment pour des idiots: 
         - quand on nous martèle que c'est encore la réduction des effectifs, des lits, de l'offre de soins qui va sauver l'hôpital (C'est juste le contraire, car la dégradation continue de l'offre de soins, des services offerts, des conditions de travail, est un facteur déterminant de la dégradation  continue des recettes!)
         - quand on déclare que la crise, c'est la faute aux Briançonnais qui vont se faire soigner ailleurs (alors que c'est l'offre de soins qui diminue...)
         - quand on prétend que c'est la faute à l'association et au personnel qui osent se plaindre d'une telle situation...pendant qu'il en est encore temps!

                                     Prenons notre avenir en mains!

    Pour nous, citoyens, la pérennité de l'Hôpital de Briançon, service public indispensable dans une zone de haute montagne très touristique et difficile d'accès (menaces sur les services ferroviaires, sinistre du Chambon...) exige des mesures adaptées:


    • dans le cadre de la représentation nationale (Loi HPST, Acte 2 de la Loi Montagne...), l'adaptation de la législation hospitalière à la situation spécifique des hôpitaux isolés et frontaliers de montagne (particulièrement menacés par la tarification à l'activité, les restrictions budgétaires, les pouvoirs exorbitants des ARS...);


    • la compensation de la dette mise indument à la charge de notre hôpital par l'Etat du fait des Jeux Olympiques de Turin et des emprunts "toxiques";


    • la poursuite du contentieux engagé par notre association contre la suppression du service de réanimation, résultant d'une politique délibérée et contraire à la Loi de l'ARS, mettant en danger des vies humaines dans un pays de montagne exposée aux intempéries, située à 100 km de toute autre réanimation, où les catastrophes naturelles, les activités sportives à risque et la présence d'une patientèle à risque (asthmatiques) justifient des garanties particulières;


    • le respect des médecins, des équipes soignantes et de tous les agents qui expriment de plus en plus de souffrance au travail, et qui seraient pourtant en capacité de réaliser un autre Projet Médical et un autre Projet de Soins; 


    • le respect strict des règles professionnelles édictées par les Sociétés Savantes: Facultés, Instituts de Formation (par exemple, le référentiel recommandé par la Société Française d'Anesthésie-Réanimation (SFAR) n'est pas pris en compte en ce qui concerne l'Unité de Surveillance Continue (USC);


    • une méthode de "management" différente, qui valorise toutes les capacités des équipes à développer l'offre de soins au lieu de leur imposer de gèrer sa constante dégradation, sous couvert d'un pseudo et perpétuel "retour à l'équilibre financier" qui ampute chaque fois les recettes;


    • un accueil local digne de ce nom, avec des facilités et des contrats viables dans la durée pour des personnels qualifiés qu'il nous faut recruter, notamment des médecins.

                                  En attendant, tout va toujours très bien...

      ...à l'image du site internet de l'hôpital, qui n'est pas actualisé depuis 2007
      ...à l'image du projet d'hôpital transfrontalier, dont on a beaucoup parlé, mais qui fait du sur-place...

                                   Tout va-t-il très bien, Madame la Ministre ?

      Ne comptez pas sur l'ARS et sa "direction très provisoire" pour vous fournir une information objective: renseignez vous plutôt auprès de ceux qui demeurent à Briançon, aiment et font vivre notre Hôpital Public!

      A tous ceux qui prétendent le sauver en nous promettant perpétuellement "du sang et des larmes", nous opposons notre volonté plus forte que jamais, de défendre un hôpital de plein exercice et de qualité,  pour l'accès aux soins de toutes et tous !

                    C'est pourquoi nous appelons tous les citoyens à une

                                         REUNION PUBLIQUE
                                         JEUDI 18 JUIN, 20hOO
                                         MJC de BRIANCON
                                          35 rue Pasteur
                                         BRIANCON

                     ...où nous exposerons la situation , documents à l'appui

     

  • TRAIN de NUIT PARIS-BRIANCON

    4584_Gleise.jpgRéunion d'information publique, le vendredi 19 juin à 20h à Embrun.

    Lire le tract

  • Ensemble : Texte d’orientation sur les élections régionales

     

    vignette_clr_ensemblemagesfdg__0.pngCes élections se situent dans le contexte d’une crise politique qui peut rebondir dans les prochains mois : c’est une nouvelle sanction pour le pouvoir en place qui s’annonce, la droite menée par Sarkozy vise à en faire une étape clé de son retour aux affaires, le Front National vise la conquête de deux régions dans le Nord et en Paca. Elles seront également la dernière échéance électorale nationale avant la présidentielle de 2017, avec un cadre institutionnel bouleversé par la nouvelle carte des 13 régions adoptée par l’Assemblée Nationale.

    Cette réalité politique nouvelle pour les citoyen.ne.s peut susciter un débat politique de grande ampleur sur les conséquences des politiques d’austérité, les choix de développement sur le long terme, sur la mise en concurrence des territoires. Ensemble! propose que le Front de Gauche engage dès maintenant un travail d’élaboration pour proposer une nouvelle démarche politique commune aux partenaires potentiels (mouvements sociaux alternatifs, EELV, Nouvelle Donne, socialistes dissident.e.s, courants écologistes antilibéraux/décroissants, NPA etc) pour construire des convergences alternatives, et, à toutes les forces qui le souhaitent, un accord national engageant dans le même mouvement la construction de listes communes, ainsi qu’un processus associant des citoyen.ne.s engagé.e.s dans des luttes et actions émancipatrices, en opposition à la politique menée par le PS tant au gouvernement que dans la grande majorité des régions. Ces différentes forces doivent sortir d’une logique de division et de concurrence et ont une responsabilité importante pour faire entendre une autre voix à gauche, pour construire des convergences avec celles et ceux qui contestent les politiques d’austérité et les logiques capitalistes et productivistes.

    Cet accord national devrait à partir des compétences propres aux régions définir un profil politique alternatif aux politiques d’austérité qui réduisent les dotations particulièrement aux collectivités territoriales. Il s’agit de défendre une idée simple : pas de réduction des inégalités entre les citoyen.ne.s et les territoires sans dépense publique, sans solidarité dans une logique antagonique à la doxa libérale et à la politique suivie par ce gouvernement.

    La mise en place de treize nouvelles régions qui seront le cadre politique de ces élections est une opération technocratique, antidémocratique (à aucun moment les populations n’ont été consultées) et libérale visant à organiser une compétition entre les territoires et une réduction du périmètre d’intervention des services publics. Il s’agit donc de rejeter ce découpage et de s’intéresser aux besoins de la population plutôt qu’aux exigences des chambres de commerce et d’industrie. A l’inverse, nos listes doivent dans un contexte abstentionniste défendre la perspective de transferts de décisions directement aux citoyen.ne.s ce qui implique la définition de nombreux droits d’intervention dans les territoires et les entreprises, une lutte contre toutes les discriminations et de nouveaux rapports de coopération entre mobilisation et élu.e.s.

    Dans chaque nouvelle région existe un projet d’équipement inutile et dangereux (aéroport, Sivens, Flamanville…) qui suscite des mobilisations dont nous sommes partie prenante. Nous souhaitons que la coalition que nous entendons construire se situe en soutien et en relais de ces luttes et que, lorsqu’un désaccord surgit sur la pertinence de tel ou tel projet, celle-ci se prononce systématiquement en s’engageant à organiser un référendum sur le sujet c’est-à-dire en faisant trancher directement la population. Dans l’ensemble des régions se développe un tissu d’entreprises d’économie solidaire, de réseaux de distribution alternatifs, d’expériences de mise en régie d’activités auparavant gérées par le prive, d’associations culturelles, d’éducation populaire, qui doivent devenir une priorité régionale dans l’attribution des fonds publics.

    Le Parti Socialiste domine les conseils régionaux. L’expérience des municipales et des départementales montre que le rejet de la politique gouvernementale provoque de lourdes pertes territoriales, une abstention massive, une installation du FN à un niveau jamais atteint, et finalement une victoire par défaut de la droite. C’est-à-dire une situation de tous les dangers qui ne permet pas à ce stade de faire surgir au-delà de bons scores locaux une force de transformation sociale et écologique de gauche alternative à la politique du gouvernement. Si nous voulons sortir d’un tripartisme mortifère pour la gauche, il nous faut construire une nouvelle dynamique sociale et politique, participative, qui bouleverse les scénarii noirs annoncés. A ce stade, marqué par des remobilisations sociales et écologiques insuffisantes pour modifier les rapports de force et mettre en échec le gouvernement, la responsabilité pour les listes régionales repose sur la capacité des forces politiques à s’entendre, à proposer dans chaque région une véritable alternative aux électeurs et électrices, et à commencer à développer une nouvelle articulation entre social et politique.

    C’est pourquoi nous souhaitons un accord national entre le Front de Gauche, EELV, Nouvelle Donne, socialistes dissident.e.s, avec les forces locales et nationales qui partagent cette démarche, les militant.e.s du mouvement social, afin de créer les conditions d’une dynamique nationale. Le NPA a rejeté ce type d’accord lors de son congrès mais il ne s’agit pas de se satisfaire de cette position. Il convient d’inviter nationalement et localement cette force à rejoindre cette perspective. A défaut nous souhaitons le maximum d’accords régionaux ce qui implique dans les deux cas une démarche commune de convergence du Front de Gauche et donc un positionnement national rapide de celui-ci à l’image de ce qui a été réalisé aux départementales. Nous souhaitons que la constitution des listes réponde conjointement à deux soucis : – une association de celles et ceux qui s’engagent dans cette campagne à la constitution des listes et à l’animation de la campagne. – une représentation équilibrée des forces politiques. Des rencontres doivent également être engagées pour rencontrer tous les partenaires potentiels (collectifs citoyens, personnalités, associations issues de l’immigration…)

    Cette élection est à deux tours, et il s’agit pour nous de porter ces exigences en toute indépendance aux deux tours de scrutin. Ne peuvent se maintenir que les listes ayant franchi les 10% et fusionner celles ayant atteint le seuil des 5%. La question d’une éventuelle fusion des listes sera déterminée région par région, en fonction de considérations régionales.

    Des fusions au second tour sont envisageables, si elles n’impliquent pas un engagement de solidarité de gestion avec la politique du PS – ce qui implique une liberté de nos élu.e.s sur tous les votes – afin de permettre :

    – que soit respecté le poids des votes exprimés sur les différentes orientations lors du premier tour,

    – de se rassembler face au danger du FN

    – de ne pas laisser la droite remporter une nouvelle victoire, tout en défendant une alternative de gauche antilibérale.

    Dans ces cas, nos candidat.e.s réaffirmeront, entre les deux tours et après, nos orientations du premier tour, car nos représentant.e.s doivent relayer nos orientations, les luttes sociales et écologiques, et les mobilisations citoyennes, dans les conseils régionaux.

    La question de l’éventuelle participation aux exécutifs n’est pas un préalable à la constitution de listes avec les autres forces politiques du Front de Gauche et de la coalition plus large. Cette question est du ressort de chaque formation. Pour notre part, nous ne participerons pas à des exécutifs qui refuseraient la liberté de vote de nos élu.e.s ou qui mèneraient des politiques contradictoires avec les engagements que nous avons défendus au premier tour. Etant donné l’orientation actuelle du PS, nous défendrons auprès de nos partenaires l’idée de ne pas s’engager dans une cogestion et des exécutifs qui mèneront des politiques libérales et d’austérité.

    Le Collectif national d’Ensemble ! le 07/06/2015.

     

  • Communauté d'agglomération du gapençais et ville de Gap

    122167-mairiedegap.jpgle conseil communautaire de la communauté d'agglomération du gapençais se réunira le vendredi 19 juin à 17 h et le conseil municipal de la ville de Gap est fixé au vendredi 26 juin à 18 h15.

     

    La préparation du conseil municipal est fixée au Lundi 22 juin à 19 h salle "La Mutualité" immeuble le St Denis à Gap.

     

     

    Françoise PERROUD et Jean-Claude EYRAUD