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  • Communiqué à la presse

    foyer_bellevue_-_Gap.jpgFOYER BELLEVUE : OU EN SOMMES NOUS ?

     Début décembre 2010 les résidents du foyer Bellevue ont reçu un courrier du maire de Gap (LIRE) « démentant formellement la fermeture de l’établissement à échéance de 2015 »

    Rappelons les faits :

     - Madame DUSSERRE, vice présidente du CCAS (membre de la majorité municipale), a informé les membres du Conseil de la Vie Sociale de l’établissement (composé des représentants du personnel, des familles et des résidents) le MARDI 6 JUILLET 2010  que le foyer Bellevue ne serait plus aux normes EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour personnes âgées dépendantes) et qu’un déplacement vers l’Adret était envisagé.

     - Jean-Claude Eyraud a fait une déclaration au conseil d’administration du CCAS le 6 SEPTEMBRE 2010 (soit 2 mois jour pour jour après l’information donnée par Madame Dusserre). Il y rappelle l’attachement des gapençais au Foyer Bellevue, le bien être des personnes hébergées dans un lieu familial et convivial, au prix de journées assez souple et  accessible au plus grand nombre.

    Il demande à être destinataire de l’étude réalisée par l’architecte et toutes les informations sur le sujet.

    Il propose la mise en place d’un groupe de travail sur le dossier afin que le moment venu les administrateurs du CCAS aient tous les éléments pour décider.

     

    Lors de la séance du conseil d’administration du jeudi 16 décembre, il a demandé un éclaircissement sur le courrier du maire transmis aux résidents et renouvelle sa demande de transparence.

    Réponse de la présidente « l’étude se poursuit, il n’y a aucun élément nouveau, le groupe de travail on verra…. »

     Bilan : un courrier du maire, qui sème la confusion parmi les résidents, une absence totale de transparence (à ce jour nous n’avons toujours pas l’étude du cabinet d’architecte) et un mépris inacceptable pour les résidents, les familles, le personnel et les élus.

     Gap le 17 décembre 2010

     

    Le groupe GAUCHE

     

        

     

  • Lettre des Mutuelles de France Méditerranée

    mutuelle_logo.gifMesdames, Messieurs,

     LIRE le 10e numéro de la lettre électronique des Mutuelles de France Méditerranée.

     

     

     

  • LA SANTE AU TRAVAIL : IL EST ENCORE TEMPS DE SE RESSAISIR !!!

    Nous déplorons que la France soit encore aujourd’hui et depuis longtemps lanterne rouge en Europe dans la plupart des indices de santé au travail et les besoins de prévention au travail sont immenses. Il n’est plus besoin de démontrer  qu’une réforme s’attaquant aux vrais empêchements à la prévention ferait faire un bond en avant à la fois à la santé publique et à la cohésion sociale.

    La réforme actuelle, rejetée par le Conseil Constitutionnel, ne touchait à aucun des déterminants de progrès bien identifiés par les professionnels de terrain impliqués. Bien au contraire, elle laissait annoncer une véritable erreur historique. Ce sujet nécessitait un grand débat public et non un passage à la sauvette, à l’ombre du grave sujet des retraites.

    Alors qu’il était urgent de libérer les acteurs de santé pour qu’ils œuvrent en toute indépendance , la mission de santé au travail était , par ce texte de  réforme qui vient d’être censuré, retirée aux médecins pour être confiée aux gestionnaires employeurs , non compétents et porteurs d’un grave conflit d’intérêt, conflit d’intérêt qui a été à l’œuvre déjà dans les dysfonctionnements des services de santé au travail et dans des instances comme le Comité Permanent Amiante,  aboutissant aux drames que l’on connait.

    La confusion organisée dans ces jeux d’intérêt doit être cassée : que la question de la gestion des risques qui doit être assurée par les employeurs ne soit pas amalgamée avec l’exercice de la santé au travail comme le prévoyait les articles 25 et suivants; que, au contraire, les professionnels de santé au travail soient clairement séparés, dans leur mission et dans leur activité, de  ceux qui génèrent les risques, avec de véritables garanties d’indépendance .

    Le paritarisme de la gestion des services n’est certainement pas une garantie dans le contexte de défaillance de la démocratie sociale (dans les PME en particulier). Un petit pas vers l’équilibre consisterait à ce qu’il y ait dans les conseils d’administration 50% de salariés, 40% d’employeurs, 10% de professionnels.

    En aucun cas les  directeurs de service, nommés par le patronat, ne peuvent être garants de l’indépendance du médecin.

    La mission de santé au travail doit être confiée à une équipe de professionnels coordonnée par les  médecins,  lesquels devraient pouvoir, en toute indépendance, mener les actions de prévention exclusivement à partir de leurs diagnostics portés sur la base de leurs constats : il ne peut pas y avoir de santé au travail si on ne fait pas de lien santé/ travail.

    Perdurer dans un tel assemblage confusionnel et porteur de dégénérescence serait terriblement dangereux pour la santé des salariés, mais assurément aussi très pathogène pour ceux qui pratiquent la prévention en santé au travail.

    Il est essentiel à cette phase de travail, que le dialogue avec les organisations syndicales soit ré-ouvert, pour construire une réforme au plus près des constats de terrains , une réforme qui s’attaque aux vrais empêchements à la prévention, nous le répétons, et qui permette de renforcer les effectifs , les moyens et l’indépendance de la médecine du travail, garante essentielle de son efficacité.

     

     

                                                   Le  collectif des médecins du travail de Bourg en Bresse

                                                   Tél 04 74 21 88 24  ou 04 74 47 40 49

                                                    Le 26 novembre 2010

     

  • DÉREMBOURSEMENTS DES MEDICAMENTS : LA RÉACTION DU PRÉSIDENT DE LA FÉDÉRATION DES MUTUELLES DE FRANCE


    mutuelle_logo.gifJean-Paul Panzani, président de la Fédération des mutuelles de France,
    demande au gouvernement de retirer purement et simplement son projet
    de décret qui autorise un déremboursement de 10% des médicaments à
    vignette bleue, pris en charge actuellement à 35%, et de 15% pour les
    dispositifs médicaux remboursés aujourd’hui à 65%.
    Ce texte insupportable doit donc être retiré de l’ordre du jour du conseil
    de l’UNCAM qui devait l’examiner le 23 décembre prochain. Le pouvoir ne
    peut pas d’un côté annoncer en grandes pompes médiatiques l’ouverture
    d’une concertation nationale sur la protection sociale et de l’autre, dans le
    secret des cabinets ministériels, rédiger un décret qui va rendre encore
    plus difficile les conditions d’accès aux soins de la population.
    Après avoir pérennisée la vignette orange, qui pour la première fois depuis
    que la Sécurité sociale existe, a fait tomber à 15% la prise en charge de
    certains médicaments, la puissance publique organise méthodiquement un
    véritable désengagement de l’assurance maladie du remboursement des
    médicaments utiles alors que des spécialités inutiles voire dangereuses
    peuvent continuer à être prise en charge. Notre système de santé doit
    être modernisé, réorganisé, gagner en efficience et en sûreté notamment
    en matière de médicament.
    Cela appelle, sans tarder, un débat public dans lequel la mutualité est
    d’ores et déjà engagée avec des propositions qu’elle soumet à la
    délibération publique. C’est tout le sens de la pétition « La sécu c’est bien
    pour moi, c’est mieux pour tous » que les Mutuelles de France viennent de
    lancer.
    Montreuil, le 13 décembre 2010

  • Alpes 1

    Jean-Claude Eyraud sera l'invité de la rédaction d'Alpes 1 le VENDREDI 17 DECEMBRE à 12h30