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  • Communiqué à la presse

                 FERMETURE de CLASSES

    La politique d’austérité du gouvernement, se traduit dans les départements par des suppressions de postes, entre autres, dans la fonction publique.

     Côté Education nationale, ce sont des classes qui vont être fermées, les élèves seront répartis dans les autres classes dont le nombre d’élèves par enseignant va augmenter.

    La volonté de l’état est de limiter la scolarisation des moins de 3 ans au profit des jardins d’éveil ou des crèches privées : cela a des répercussions sur les fermetures des classes maternelles.

     Au plan local, sur Gap, la fermeture annoncée par l'inspecteur d'académie aux représentants syndicaux, d'une classe à l'école maternelle Paul Emile Victor, entraînerait des classes de plus de 27,5 élèves en moyenne: ce qui signifie des classes à 28 ou 30 élèves et d'autres à 22. Cela peut aussi se traduire par un transfert d’inscriptions dans d’autres écoles.

     A noter qu'à la Bâtie Neuve, la fermeture annoncée entraînerait une moyenne de 26 élèves par classe alors qu’habituellement l’inspecteur d"académie  ne prend en compte que 25 élèves.

    Nous savons que cette situation n'est pas identique dans toutes les écoles de Gap: les unes comptent 21 élèves (comme l’école de Puymaure), les autres 27,5. Pourquoi de telles différences sur une même commune? Les enfants n'ont-ils pas les mêmes droits et ne doivent-ils pas être traités de manière équitable?

    En fermant une classe à l'école Paul Emile Victor, c'est non seulement injuste mais cela sanctionne des enfants qui ont besoin d'un encadrement de qualité.

    Le maire de Gap va-t-il se préoccuper cette situation?

     Gap le 22 décembre 2010

     Le groupe G.A.U.C.H.E.

    Conseil municipal de la ville de Gap

  • Pourquoi tant de neige ?

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    Par ces temps de neige, suffit d'entendre le quidam dire "la DDE, elle fout rien!!!" alors que la DDE, elle n'y est plus pour grand chose!!!

    Premièrement, les DDE n'existent plus elles ont été supprimés et ont fusionné avec les directions départementales de l'agriculture et de la forêt (DDAF) pour devenir les directions départementales des territoires (direction départementale des territoires et de la mer quand il y a une façade maritime)... .

     

    Ceci est lié au désengagement de l’Etat et des conséquences des restructurations brutales intervenues (Décentralisation, Réforme de l’Etat, ..) qui ont conduit à la dégradation de son organisation sur les territoires et de sa capacité à prévenir et gérer les situations de crise et éviter que les usagers soient pris au piège.

     

      Qui fait quoi?

      Le déneigement, le salage, l'entretien, c'est l'affaire:

    - en agglomération et sur les voies communales : de la commune ou parfois de la communauté de communes,
    - sur les routes départementales (et anciennes nationales transférées aux départements) : du département (conseil général),
    - sur les autoroutes concédées : du concessionnaire,
    - sur les routes nationales et autoroutes non concédées :
    des directions interdépartementales des routes (DIR).

     

      Deuxièmement, ils ont supprimés tellement d'emplois depuis des années, d'autres sont encore annoncés par le gouvernement de Sarkozy en 2011, qu'il n'y a pas assez d'agents pour déneiger les routes, ni les machines qui vont avec. Tout cela est la conséquences de la RGPP( Réforme Générale des Politiques Publiques) qui prévoit le non remplacement d'1 fonctionnaire sur 2)

     Voila la réalité!!!

    Je crois que nous ne pouvons qu' encourager ces agents qui font tout leur possible pour rendre les routes les plus déneigées possible pour les usagers. Les coupables se sont Sarkozy et son gouvernement. Ne nous trompons pas d'adversaire!!

     

  • Une des lois les plus répressives de ces dernières décennies !

    L’Assemblée nationale a achevé hier jeudi l’examen “article par article”, de la LOPPSI en 2ème lecture, et a durci le texte. Il s’agit d’une des lois les plus répressives de ces dernières décennies. L’adoption par les députés de l’ensemble de la loi sera effectuée mardi 21 décembre en deuxième partie de l’après midi, puis elle sera rediscutée au Sénat courant janvier.

    Certains amendements très liberticides ont été retirés ou rejetés en séance, (reconnaissance automatique des individus à partir de la généralisation de la vidéo surveillance, instauration d’une peine plancher d’un an ferme pour les personnes accusée de violence à agent, ou pénalisation de certains sous locataires ou squatters La discussion à l’Assemblée Nationale se déroule du 14 au 21 décembre 2010 (après plusieurs reports). 


    http://www.droitaulogement.org/loi-loppsi-2-article-32-ter-a.html 
    http://www.halemfrance.org/

  • Le Front de gauche régional tacle le projet du stade de glace de Gap

    Dans le cadre de leurs rencontres départementales, les élus régionaux Provence-Alpes-Côte d’Azur du groupe Front de gauche sont venus à la rencontre de la population haut-alpine ce jeudi à la salle de la Tour de la Bâtie-Neuve.

    Avec pour objectif de présenter le bilan de leur mandat et, plus particulièrement, débattre de la préparation du budget 2011 du conseil régional, lequel sera voté en février.

    Gérard Piel, président du front de gauche à la Région, et Jean-Marc Coppola, vice-président délégué aux lycées, au patrimoine et aux grands investissements régionaux, ont donc été accueillis par les membres de la délégation haut-alpine, dont Christian Schuller, secrétaire départemental du PCF. L’occasion pour les élus de dénoncer “les contraintes de la réforme fiscale (suppression de la taxe professionnelle, réductions des dotations de l’Etat...)” qui feraient de la Région “la seule collectivité à ne plus disposer d’autonomie fiscale”.

    “Des choix plus importants à faire”

    Concernant les Hautes-Alpes, les élus du Front de gauche ont taclé le projet du stade de glace à Gap, dont le financement s’élève à 16 millions d’euros : « Est-ce que dans une période comme la nôtre, avec les difficultés que les communes rencontrent, c’est vraiment nécessaire ? En milieu rural, il y a d’autres besoins, et des choix plus importants à faire, comme le développement des infrastructures » a lancé Jean-Marc Coppola. Et pour eux, les réformes des collectivités ne vont rien arranger pour les deux départements sud-alpins, comme l’a exprimé Gérard Piel : « Que vont devenir les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes si on va au bout de la réforme ? Car les grandes métropoles risquent de capter tous les financements...».

    Enfin, les élus régionaux ont présenté leurs actions prioritaires comme, par exemple, les tarifs de cantines modulés, la gratuité des transports pour les jeunes, ou encore la gestion publique de l’eau.

    par la rédaction du DL le 18/12/2010 à 05:00

  • Place de la République: le maire répond à notre demande d'association à l'élaboration du projet

    Gap_neige.jpgMadame la Conseillère Municipale,

    Monsieur le Conseiller Municipal,

     Comme vous le savez, la conduite des projets municipaux relève de la compétence de l’exécutif. C’est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit de projets inscrits dans le programme municipal de l’équipe qui a sollicité les suffrages de ses concitoyens pour les mener à bien.

     Tel est le cas du projet d’aménagement de la Place de la République.La conduite des projets municipaux suit différentes phases, allant de la programmation budgétaire et de la recherche de subventions à la consultation préalable des partenaires, à l’élaboration de l’avant-projet, sa soumission à la concertation publique, à l’élaboration du projet définitif, au lancement des appels d’offres et enfin aux travaux.

    Après avoir sollicité l’accord du Conseil Municipal pour demander les subventions afin d’en constituer le plan de financement, l’exécutif municipal va maintenant s’attacher à définir les grandes lignes du projet dans l’esprit de ce que je vous ai  présenté au dernier Conseil Municipal, qui, le moment venu, sera soumis à la concertation publique et bien évidemment à l’information de la Commission des Travaux.

    Nous n’en sommes pas encore là, il reste encore plusieurs semaines de travail avant de pouvoir présenter un avant projet qui soit la véritable base de la concertation, au cours de laquelle, l’opposition aura bien évidemment toute sa place pour, après en avoir pris connaissance, exprimer sa position et se déterminer.

     Je ne suis pas encore en mesure de vous dire aujourd’hui si le dossier pourra être soumis à la prochaine Commission des Travaux, mais je vous le ferai savoir dés que possible.

     S’agissant de la rencontre que je vais avoir prochainement avec les commerçants de la Place, je tiens à vous informer que celle-ci a un caractère privé et n’est donc pas ouverte aux représentants de l’opposition.

     Bien cordialement,

     

    Roger DIDIER.