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  • L'Humain d'abord!

    FDG_Ensemble-219X117-10.jpgLes mesures d'austérité du plan Sarkosy vont entrainer la fermeture du service de réanimation de l'Hôpital de Briançon.

    Nous ne le laisserons pas faire!

     

    Nous tenons à rappeler l'importance de maintenir des services de proximité à la fois pour répondre aux besoins de soins de la population mais également pour conserver un bassin d'emplois, d'activités, d'écoles...de vie!

     

    Catherine GUIGLI

     

    Bruno BOUIN

  • Nouvelle menace sur l'hôpital !

     

    Selon nos informations, le SROS Réanimation (Schéma Régional d'Organisation Sanitaire) , établi par l’ARS PACA (Agence Régionale de Santé), estime qu’il y a un service de réanimation de trop dans les Hautes Alpes. Il envisagerait donc la fermeture pure et simple du service de réanimation de l’hôpital de Briançon. Le bureau de la conférence sanitaire de territoire doit présenter ses remarques concernant cette préconisation de l’ARS lors d’une réunion prévue le 30 novembre après midi.

    Le Maire de Briançon dénonce avec vigueur ce projet scandaleux qui a été élaboré dans le secret et dont il n’a pris connaissance que mardi 29, par un fax lui signalant qu’une réunion serait organisée le jeudi 1 er décembre à ce sujet à Briançon.

    La fermeture du service de réanimation, c’est la mort programmée de l’hôpital :  plus de réanimation, donc plus de chirurgie, plus de surveillance continue, plus de maternité.La municipalité de Briançon, derrière son Maire, s’insurge contre cette mort programmée alors qu’un plan de retour à l’équilibre est en cours et que l’accueil des patients Italiens se développe et permettra demain d’améliorer la pertinence des services de l’hôpital à l’heure où nos partenaires italiens comptent sur la qualité de nos prestations médicales pour renforcer leur réseau sanitaire.

    MARC LIBERELLE

    Directeur de cabinet du Maire de Briançon

    04 92 21 53 37

    06 07 95 07 40

     

  • Communiqué de Presse :

    Mise sur les rails depuis plusieurs mois,l’association alors intitulée "CONVERGENCE NATIONALE DES COLLECTIFS POUR UN SERVICE PUBLIC FERROVIAIRE DE QUALITE" dorénavant dénommée "CONVERGENCE NATIONALE RAIL" (CNR),a été officiellement crée samedi 26 novembre 2011 à PARIS,dans le cadre d’une Assemblée Générale Constitutive. Celle-ci a vu la participation d’associations,de collectifs,de comité d’usagers,d’élus politiques,de syndicalistes...

    Cette convergence nationale,en appui de ceux qui se mobilisent sur le territoire pour défendre et développer le Service Public Ferroviaire,a pour ambition de donner une PLUS-VALUE à ces actions en construisant des initiatives à caractère régional et/ou interrégional et en élaborant des propositions concrètes,y compris d’ordre législatifs.

    Les participants à l’Assemblée Générale du 26 novembre ont tous considéré qu’il fallait hausser le ton et le niveau des mobilisations face à la détérioration du Service Public Ferroviaire.

    Le démantèlement de l’activité Fret de la SNCF,les suppressions d’arrêts,de dessertes, dans le cadre des nouveaux horaires du nouveau service d’hiver,l’état des infrastructures,l’avenir des trains "CORAIL",la libéralisation du secteur ferroviaire par le vote du Parlement Européen du 16 novembre,ont été les principales préoccupations exprimées par les participants.

    C’est pourquoi,la création de la CONVERGENCE NATIONALE RAIL était attendue et appréciée.

    Cette CONVERGENCE NATIONALE est respectueuse de l’autonomie d’action des différents collectifs et syndicats de cheminots.Elle est ouverte à toutes et à tous,usagers cheminots,populations,élus,organisations syndicales,politiques,associations,collectivités territoriales.....

    Aujourd’hui au-delà des "individuels",plus d’une trentaine d’associations,de collectifs, de comités ont fait enregistrer leur adhésion ou leur préadhésion à la CONVERGENCE NATIONALE RAIL.

    Celle-ci,après avoir déjà interpellé le Ministre des Transports,le Président de la SNCF,va proposer prochainement aux structures nationales qui oeuvrent à la défense du service public,l’organisation de mobilisations dans le premier trimestre 2012.

    Le Bureau de la CNR élu le 26-11-2011 :

     Président : Patrick DELFOSSE

     Vice-Président : Didier LE RESTE

     Secrétaire : Pierre MENARD

     Secrétaire-Adjoint : Christophe SCHIMMEL

     Trésorier : Vincent JOUILLE



  • Après le 94ème Congrès des Maires de France

    Communiqué des Maires communistes et républicains, membres du bureau de l’Association des Maires de France

    mardi 29 novembre 2011

    Les maires et président(e)s de communautés membres de l’AMF (Association des Maires de France), et par ailleurs adhérent(e)s à l’Association des Élus Communistes et Républicains ne peuvent que déplorer le fait que son congrès n’ait pas adopté cette année, pour la première fois depuis longtemps, la résolution qu’il avait l’habitude de prendre, à un moment où justement, ses participants ont fait part de « leurs préoccupations et inquiétudes », dans un contexte fait « d’incertitudes et de réduction de la dépense publique », comme le rapporte la presse.

    Et au moment où on leur demande, en même temps, de prendre en compte la « demande sociale » qui explose, et d’investir pour « compenser la crise économique » : n’est-ce-pas le Président réélu, Jacques Pelissard (UMP) qui déclare à l’issue du congrès que « le soutien à l’économie nationale, le développement de la croissance et l’emploi passent en grande partie par l’action des collectivités ».

    Or, comment faire avec des dotations de l’État en baisse, une fiscalité locale maintenant basculée vers les impôts des ménages (taxes d’habitation et foncière), et des banques qui leur prêtent moins, à des taux plus élevés, et –nous a-t-on dit au congrès- sur des durées moins longues !

    Le projet de résolution, proposé par l’ensemble des élu(e)s de gauche du bureau de l’Association des Maires n’a pas été accepté par les autres élu(e)s.

    Il aurait été, à notre avis, souhaitable qu’il soit présenté au vote des participants au congrès : s’il avait été refusé, c’est alors celui proposé par les élu(e)s appartenant, ou proches, de la majorité gouvernementale et du Président Sarkozy qui aurait été adopté. Nous en aurions pris acte, à notre grand regret évidemment, compte tenu du contexte décrit ci-dessus, et que vivent bien les élus de proximité que sont les maires.

    Il nous appartient donc d’agir dans ce contexte politique qui préfigure celui de l’année 2012 à venir, pour que notre association continue à être, comme le dit sa présentation, « une association qui, de par son histoire, veille sans relâche à ce que la décentralisation garantisse aux communes une réelle autonomie de gestion des affaires locales, et s’implique avec force pour que les maires disposent des moyens juridiques et financiers suffisants pour assurer leurs missions ».

    « Pour que les maires disposent des moyens juridiques et financiers suffisants pour assurer leurs missions » : ce qui, c’est le moins que l’on puisse dire, n’est plus le cas, et s’annonce encore plus difficile. Une expression nous semble caractériser cette réalité : celle d’un maire de notre sensibilité à la tribune de l’un des derniers congrès de l’A.M.F. : « Nous sommes mis en première ligne d’une société de plus en plus déséquilibrée, territorialement et socialement. Certains cumulent les deux avantages, et les autres les deux inconvénients, devenus des élus fusibles quand c’est avant tout la société qui disjoncte, et que c’est elle qu’il faut changer… »

    C’est bien tout l’enjeu de l’année 2012.

    28 novembre 2011

  • Conseil municipal de la ville de Gap

    507lhhgf.jpgLa prochaine séance est fixée au JEUDI 8 DECEMBRE à 18h15 à l'hôtel de ville.
     
    La réunion préparatoire est fixée au MARDI 6 DECEMBRE à 18h salle "LA MUTUALITE" immeuble le St Denis à GAP.
     
    Nous attirons fortement votre attention sur le nécessité de préparer collectivement cette séance.
     
    Nous comptons sur votre présence active.
    Bien amicalement,
     

    Cécile, Françoise et Jean-Claude