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  • SAUVER la REANIMATION !

    Une BELLE MANIFESTATION sous le soleil, IMG-20120225-00447.JPGs'est déroulée ce samedi 25 février à BRIANCON.

    Un bon millier de personnes s'est rassemblé à la grande boucle dans le cadre d'un appel unitaire des syndicats de l'hôpital, des élus et de l'association de défense de l'hôpital.

    J'avais fait le déplacement pour soutenir cette initiative.

    JC Eyraud

    IMG-20120225-00434.JPGIMG-20120225-00436.JPGIMG-20120225-00443.JPGIMG-20120225-00444.JPGIMG-20120225-00448.JPG

    hôpital,briançon


  • Village automobile à GAP: projet abandonné ?


    La presse s'est fait l’écho dernièrement de l’abandon par la ville de Gap d’une partie du projet de village automobile de la plaine de Lachaup au profit d’un projet privé sur la commune de la Bâtie Neuve qui regrouperait une quinzaine de marques.

     

    Lors de la séance du 14 avril 2011 notre groupe s’était abstenu sur ce point,  la concertation publique ayant  mis en évidence plusieurs  questions :

     

    - la propriétaire d'un terrain situé sur la zone avait exprimé clairement son opposition à la vente de sa propriété à la ville et ce pour deux raisons majeures : prix proposé trop bas et opération qui n’est pas d’utilité publique

    - le giratoire qui sera réalisé sur la RN 85 sera uniquement à la charge de la ville,

    - le système d’assainissement envisagé n’est pas finalisé,

    - le devenir des sites de l’implantation actuelle des concessionnaires, laissés vacants, n’est pas clairement défini.

     

    De plus nous pensions que la vente de la totalité des lots n’était pas assurée et que la présence sur la zone d’espèces protégées et de traces archéologiques ne faciliteraient pas la réalisation de cette zone d’activité qui risquait de coûter très cher aux contribuables.

     

    Nous demanderons que la question de l’avenir de cette réalisation soit mise à l’ordre du jour de la séance du conseil municipal du jeudi 29 mars prochain.

     

    Si cette décision devait être confirmée, notre groupe demandera à avoir connaissance du montant des études réalisées depuis plusieurs années pour ce projet.

     

    Gap le 24 Février 2012

     

    Le groupe GAUCHE

     

    Françoise PERROUD et Jean-Claude EYRAUD

     

    Conseillers municipaux

     

     


     

     

     

     

  • Ecole de Villarobert

    Monsieur le maire,
     
    IMG-20120223-00431.JPGCe jour, 23 février 2012, nous avons rencontré, suite à leur invitation, les parents élèves de l'école de Villarobert.
     
    Ceux-ci nous ont fait part de leur inquiétude quant à l'avenir de l'école de leurs enfants.
     
    Nous vous demandons de surseoir à toute décision de fermeture d'école et d'organiser un débat sur cette question à la prochaine séance du conseil municipal.
     
    En effet, il nous semble impératif que, dans le cadre de l'aménagement de notre cité, nous réfléchissions à l'implantation des écoles dans le cadre d'un projet à moyen terme et en fonction de l'évolution des besoins.
     
    Cordiales salutations, 
     
    Françoise Perroud et Jean-Claude Eyraud
    conseillers municipaux

     

  • Communiqué de presse

     

    l'argentiere

    Comment sauver les Aciéries Fonderie de Provence, à L'Argentière ?

     Une réunion avait été organisée à la préfecture, lundi 30 janvier dernier, en vue de la reprise des Aciéries et Fonderies de Provence, qui emploient une quarantaine de personnes à L’Argentière-la-Bessée. Cette réunion autour de la préfète Francine Prime avait pour but de présenter l’offre de reprise de l’entreprise argentiéroise. 

    Cette offre de reprise a été présentée par le groupe français Metaltemple. Il lui fallait 1,2 million d’euros pour faire repartir l’entreprise. Un tiers pouvait être financé par les banques, il fallait aussi un tiers de ce montant en trésorerie (bancaire aussi, donc). Un tiers pouvait être financé par des subventions et prêts à taux zéro de la Région (280 000 €), du conseil général (100 000 €) ou du fonds Péchiney (40 000 €).

    Hier, nous avons appris que les banques ont définitivement dit non au financement des 400000€ cautionnés à 100% par la CNE et OSEO.

    Dans notre département des Hautes Alpes :

    -                          entre 1994 et 2008, l'emploi industriel a chuté de 12,5 %, avec une perte sèche de 280 emplois.

    -                          novembre 2011, nous ne pouvions que déplorer une augmentation mensuelle du chômage de 2,3 %, soit 10 % sur les douze derniers mois.

    Alors que certains pensaient qu'il y avait un bon œil sur ce dossier, aujourd'hui l'avenir s’assombrit.

    Le Front de Gauche des Hautes-Alpes se positionne et soutien les hommes et les femmes qui se battent pour sauver les emplois industriels indispensables à notre pays, à notre département et nous avançons plusieurs propositions pour protéger et développer notre industrie nationale et départementale.

    l'argentiereDes mesures d’urgences

    • Interdire les licenciements boursiers : une entreprise dont les profits augmentent ne doit plus avoir le droit de supprimer des emplois !
    • Rétablir l’autorisation administrative de licenciement supprimée par la droite en 1987.
    • Mettre en place un droit de véto des représentants des salariés sur les décisions stratégiques (dont les délocalisations ou fermetures de site) et un droit de reprise en coopérative
    • Réquisitionner si besoin les outils de production menacés : l’article 410-1 du code pénal prévoit que « les éléments essentiels du potentiel économique de la nation » doivent être défendus. Mais aucune loi n’a jamais été votée pour permettre l’application de ce principe. Il est urgent de mettre en place une telle loi de défense économique.

     Des mesures de long terme

    • Mise en place d’un pôle financier public pour relancer l’investissement productif utile.
    • Relocalisation de la production : taxation des productions délocalisées ; visas écologiques et sociaux sur les importations ; taxation kilométrique des productions lointaines.
    • Création de pôles publics de l’industrie qui œuvreront selon les principes de la planification écologique à la reconstruction des industries dont le pays à besoin.

    Pour nous, sauver l'économie réelle, c'est reprendre le pouvoir de l'argent aux banques !!!

    Contact presse pour le Front de Gauche des Hautes-Alpes :

    Franck Gatounes : 06.81.88.40.83, gats3@orange.fr

     

     

     

     

  • Le traité "MES" doit être soumis en urgence au Conseil Constitutionnel

    Les parlementaires Front de gauche, Parti communiste et Parti de gauche, sénateurs et députés, s’adressent à leurs collègues de la gauche pour saisir le Conseil Constitutionnel de la conformité du traité instituant le mécanisme européen de solidarité avec la Constitution de la France, comme le permet l’article 54 de la Constitution.

    Alors que pour les traités de Maastricht, Amsterdam, pour le Traité Constitutionnel Européen et le Traité de Lisbonne, une telle saisine en amont avait été décidée, le Président de la République et le gouvernement n’ont pas jugé bon de le faire sur ce traité « MES » qui anticipe l’abandon de souveraineté budgétaire imposée par le traité de stabilité, de coordination de gouvernance qui, lui, doit être signé le 1er mars.

    Cette confusion, voulue bien entendu, ne peut masquer la réalité : pour bénéficier du mécanisme européen de stabilité mis en place par le traité soumis actuellement à la ratification du Parlement, les Etats devront se mettre sous la tutelle budgétaire de Bruxelles.

    La Constitution de la France, l’article 14 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui en est le préambule, établit la souveraineté du peuple et de ses représentants en matière de politique budgétaire. La contradiction est donc manifeste.

    La mise en œuvre de ces traités déjà soumis à ratification ou à venir, doit donc entraîner une révision de la Constitution.

    Les parlementaires du Front de gauche proposent donc de demander au Conseil Constitutionnel de statuer dans l’urgence sur ce point.

    Paris, le 22 février 2012.