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ENSEMBLE 05 - Page 604

  • Communiqué

    Les informations transmises ces derniers jours au sujet de la vaccination contre la grippe H1N1 conduisent, si elles sont avérées, à un constat accablant :

    -Achat global de 94 millions de doses de vaccin pour environ 5 millions utilisées à ce jour,

    -Absence dans le contrat de clauses permettant d’adapter le volume et l’échelonnement des commandes en fonction des besoins et de le réduire dans l’hypothèse d’une injection unique,

    -Résiliation unilatérale, dans l’urgence, de la commande de 50 millions de doses,

    -Achat de 33 millions de doses de tamiflu et de 1,5 milliards de masques stériles sans dispositif prévisionnel de diffusion et d’utilisation,

    -Organisation rigide et inadaptée des centres de vaccination,

    -Réquisitions d’internes mettant ponctuellement en péril le fonctionnement de services hospitaliers, réquisition des élèves IDE au détriment de l’obtention de leur diplôme (stage, problèmes financiers…),

    -Absence totale de dialogue avec les professionnels de santé,

    -Campagne de communication présentant sans réel fondement scientifique un scénario catastrophe et utilisant la peur comme levier de décision de vaccination,

    -Montant initial des achats de 2,2 milliards d’euros et pertes sèches à la charge du contribuable d’ores et déjà estimées entre 800 millions et un milliard d’euros selon les sources, ce qui représente la quasi-totalité des déficits des hôpitaux publics.

    Au vu de ces faits, les populations sont conduites à penser que le gouvernement, en particulier les ministres de l'Intérieur et de la Santé, ont, en l’espèce, fait preuve d'incompréhensible précipitation, voire d’incompétence, et pris des décisions visiblement inadaptées sur la base de connaissances incomplètes et d’analyses erronées.

    Comment, dans ces conditions, croire à la pertinence de leur politique de restructuration hospitalière quand on constate à ce sujet qu’ils font preuve de la même ignorance des réalités de terrain, du même autisme vis-à-vis des acteurs locaux (les principaux intéressés : usagers, personnels et élus), et du même mépris des conséquences néfastes de ce qu’ils veulent imposer sur l’ensemble du territoire national, tant pour l’accès aux soins que pour la sécurité des prises en charge, les conditions de travail des personnels, l’équilibre financier des hôpitaux ou le développement des territoires concernés ?

    Nous demandons au Président de la République de mettre fin à cette dictature technocratique aveugle pour permettre, dans la concertation et le dialogue, l’égalité de droits et de devoirs des citoyens inscrite dans notre constitution et dont il est le garant.

    Nous demandons enfin une vraie politique de santé qui parte des besoins des personnes et des territoires, et qui ne voit plus la santé comme une marchandise et l'hôpital comme une entreprise et donc qui privilégie les services publics, seuls aptes à répondre aux exigences d'égalité et de solidarité. Avant toute énième réforme, il faudrait analyser les dégâts occasionnés par les précédentes, aux dépens d'une santé humaine et égalitaire, et nous exigeons le retrait des aspects les plus néfastes de la politique actuelle, notamment le centralisme autocratique des ARS, la T2A, la loi dite Bachelot, l'autorisation de tout dépassement d'honoraires…

    Le Conseil d'Administration de la Coordination - Paris le 20 janvier 2010

    COORDINATION NATIONALE des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité

  • DECLARATION DES ADMINISTRATEURS CGT et INDECOSA CGT


    Nous avons appris par la presse que madame la maire d’Embrun envisageait de vendre la SECILEF, société créée en 1955 par la commune d’Embrun et la Caisse d’Epargne dans le but de construire et de gérer des logements sociaux.
    Dans cette optique La SECILEF gère actuellement 351 logements sociaux dans les hautes alpes dont 197 à Embrun.
    Cette société permet de loger les familles avec enfants, les jeunes couples et les retraités à des coûts abordables.
    Il est évident que le patrimoine détenu par cette société haute alpine d’économie mixte ne doit pas être vendu mais bien au contraire doit être développé grâce à l’implication de la ville d’Embrun qui détient 56,6 % du capital social.
    Ce développement doit se faire avec l’objectif de répondre aux besoins de la population la moins aisée qui rencontre des difficultés à se loger dans le parc privé.
    L’esprit qui a présidé à la création de la SECILEF doit être préservé avec entre autre la proximité avec chaque attributaire et la pérennisation du fonctionnement des  commissions  qui prennent  en compte l’avis des élus.
    La CGT qui revendique au plan national la production de 120 000 logements sociaux pendant 5 ans et la création d’un service public de l’habitat et du logement exige le droit et l’accès au logement pour tous.

    Aujourd’hui il est impératif que l’OPH 05 fasse une offre de collaboration et de rapprochement afin que le patrimoine de la SECILEF reste géré par un organisme haut alpin  pratiquant une politique sociale et de proximité.


    Gap le 21 janvier 10

  • Conseil municipal ville de Gap

    details-gap-france-2325708271-894037.jpgLaïla BOUHBOUH conseillère municipale du groupe G.A.U.C.H.E. a été mutée le 1er septembre 09 en région parisienne.
    Laïla a essayé de trouver une solution pour concilier son activité professionnelle et son mandat municipal de la ville de Gap.
    Malgré sa bonne volonté, elle s'est trouvée dans l'incapacité d'assister aux réunions de commissions et aux séances du conseil municipal.
    De plus, le retour de Laïla en région PACA ne sera pas possible dans l'immédiat.
    Face à cette situation, elle a décidé à regret de présenter sa démission à Monsieur le maire.
    Françoise PERROUD a été nommée pour siéger à sa place.
    Françoise intègre le groupe G.A.U.C.H.E.
    Elle remplace Laïla dans les commissions municipales.

  • Europe

    19  Janvier 2010
    Directive services: l’Association des maires de France écrit aux ministres pour demander que les services sociaux ne soient pas inclus dans le champ de cette directive

    Jacques Pélissard, président de l'AMF, a adressé à Xavier Darcos, ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville, Nadine Morano, secrétaire d'Etat chargée de la Famille et de la Solidarité, et Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat chargé des Affaires européenne, trois courriers dans lesquels il fait part de la position du Bureau de l'AMF sur les orientations que défend le gouvernement dans son prochain rapport de transposition de la directive Services, en ce qui concerne l'inclusion ou l'exclusion des services sociaux dans le champ de cette directive.
    En effet, comme le relève le Président de l’AMF, «il apparaît dans que le gouvernement envisage d’inclure dans le champ de la directive service un certain nombre de services sociaux notamment pour l’accueil des jeunes enfants pour des motifs liés à l’absence de réel mandatement au sens européen ou la nécessaire liberté d’installation d’opérateurs étrangers dans ce secteur». Il rappelle que cette orientation n’est pas partagé par les instances de l’AMF et regrette l’absence de concertation sur cette question.

    Pour accéder aux courriers, voir lien ci-dessous.


    Liens complémentaires :
    http://www.amf.asso.fr/_gabarit/?DOC_N_ID=9841&TYPE_ACTU=

     

  • Pétition : SAUVONS LES CINEMAS LE CLUB ET LE CENTRE A GAP


    1610 citoyens ont signé la pétition, pourquoi pas vous ?

    HAUTES-ALPES GAP Les cinémas Le Centre et Le Club ( le seul art et essais de la ville et dans un périmètre de 40KM) risquent de fermer dans les prochains mois. Les locaux propriétés du diocèse vont être vendus. L’évêque de Gap et d’Embrun, Monseigneur Di Falco, a annoncé la décision qui entre dans le cadre de la rationalisation de l’immobilier de l’église dans le département. Aucune date n'a été donnée mais le diocèse de Gap a déjà informé l'association gestionnaire des cinémas de son obligation de quitter les lieux prochainement.
    NOUS VOULONS TROUVER UNE SOLUTION ET SAUVEZ NOS CINEMAS
    Il s'agit ici de défendre la culture en milieu rural et de sauvegarder 5 emplois ! Nous ne pouvons pas laisser faire ça sans agir, l'accès au cinéma d'auteur est un droit pour tous, alors aidez-nous, signez, et faites circuler cette pétition au plus grand nombre pour que nos voix , même loin, soient entendues !

    Merci à vous.