Puis il sera enrichi dans le cadre de rencontres que nous organiserons dans les quartiers d'ici le 23 mars 2014.
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Voici la liste et les dates des réunions (elles se tiennent toutes à 18h) :
Lundi 2 décembre : Ecole primaire Anselme Gras - Centre Social Fontreyne
Mardi 3 décembre : Ecole élémentaire Verdun et école primaire Pasteur - Le Royal
Mercredi 11 décembre : Ecoles maternelle et élémentaire Paul Emile Victor - Centre social les Pléiades
Jeudi 12 décembre : Ecole primaire de la Tourronde et école primaire du Stade - Centre de Fontreyne
Lundi 16 décembre : Ecoles maternelle et élémentaire de Puymaure - Le Royal
Mardi 17 décembre : Ecole primaire de Bellevue et école primaire de Chappa - Centre Sociale St Mens
Mardi 7 janvier : Ecole primaire de Romette - Romettine
Jeudi 9 janvier : Ecole primaire de Beauregard et école primaire de Lareton - Centre social de Beauregard
Mardi 14 janvier : Ecoles primaires de La Gare école primaire Pépinière et maternelle Rochasson - CMCL
Vendredi 17 janvier : Ecoles maternelle et élémentaire de Fontreyne - Centre sociale de Fontreyne
Mardi 21 janvier : Ecoles primaires de Charance et école primaire des Eyssagnières - Maison de quartier de Charance
Jeudi 23 janvier : Ecole primaire de Porte Colombe - Le Royal
L’Association des maires de France publie une enquête exclusive sur la réforme des rythmes scolaires.
Près de 4 000 communes, soit 17% des municipalités scolarisant 22% des élèves du public, ont choisi d’adopter, dès septembre 2013, les nouveaux rythmes scolaires. "Cette réforme suscite chez les maires, comme auprès des enseignants et des parents, de nombreuses réactions : inquiétudes ou interrogations tout autant que satisfaction et intérêt" analyse l’AMF .
La mise en place de la réforme des rythmes scolaires a un coût important pour les communes, tant en milieu rural qu’en milieu urbain. Les trois quarts des communes ayant répondu éprouvent des difficultés pour la financer. Le niveau médian de 150 euros par enfant et par an confirme l’estimation faite par l’AMF. La moitié des communes, davantage parmi les communes urbaines, estiment supporter un coût supérieur à 150 euros. Les maires préviennent qu’ils ne pourront pas continuer à financer cette réforme, ou très difficilement, si les aides financières de l’Etat et de la CNAF ne sont pas pérennes.
Les 14 enseignements de l’enquête :
1. Une vraie mobilisation des communes pour l’élaboration des projets.
2. Une profonde complexité de mise en oeuvre de la réforme.
3. Une grande diversité des modes d’organisation.
4. Un recrutement d’animateurs problématique.
5. Des taux d’encadrement allégés largement appliqués.
6. Un besoin de locaux disponibles.
7. Une fréquentation importante des nouvelles activités périscolaires.
8. Une grande variété constatée des nouvelles activités périscolaires.
9. Une gratuité des nouvelles activités majoritairement appliquée.
10. Une réforme à adapter pour les écoles maternelles.
11. Une possibilité de révision de l’organisation du temps scolaire demandée.
12. Un partenariat contrasté entre les acteurs éducatifs.
13. Un besoin d’accompagnement des communes rurales.
14. Une réforme coûteuse pour les communes.