Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ENSEMBLE 05 - Page 270

  • Future communauté d'agglomération du Gapençais

    20130922_124524.JPGLIRE le compte rendu de la première réunion du conseil communautaire.

  • EELV05 condamne les exactions d'une minorité d'éleveurs qui ont pris pour cible la SAPN

    Conscients du désespoir des éleveurs et de leur raz-le-bol devant les difficultés
    toujours croissantes auxquelles ils doivent faire face, EELV condamnent fortement les réactions violentes d'une minorité d'entre eux, soutenus hélas par quelques représentants syndicaux et politiques.
    Tout comme la SAPN, EELV05 pense que les solutions sont dans le dialogue et la
    concertation et que nul discours ou acte passionné ne saura apporter de réponses à une problématique complexe.
    EELV05 souligne en effet que les problèmes du pastoralisme ne se limitent pas aux attaques de loups, mais que celles-ci s'inscrivent dans la remise en question de tout un modèle agricole français et européen à travers la Politique Agricole Commune (PAC).
    En cela, et sans nier pour autant la problématique « loup », il conviendrait de ne pas se tromper de cible : Ce ne sont pas les écologistes qui sont responsables du désarroi de cette profession, mais l'Etat et la PAC ultra-libéraliste soutenus par le syndicat majoritaire de la FNSEA !
    Face aux violentes exactions commises devant les locaux de la SAPN ce vendredi 8 novembre, EELV dénonce le laisser-faire des services de la préfecture, porte ouverte à la violence, et attend avec impatience les résultats de l'enquête.

  • Conseil municipal de la ville de Gap, séance du 8 novembre 2013: Une quarantaine de questions et 4h de débat.

     

    gapLe groupe G.A.U.C.H.E. est intervenu sur les questions suivantes:
     
    Les rythmes scolaires, l'opposition sera représentée au Comité de pilotage, la concertation avec les parents, nous y participerons, mais il ne faudra pas oublier l'intérêt des enfants et organiser la concertation avec les enseignants et le personnel de la ville.
     
    Le contrat de développement régional, il ressort du débat que pour une différent de 400 000€ avec le conseil régional PACA, la ville sera privée de plus de 6 000 000 € de subvention. Nous considérons cette situation ubuesque, d'autant que le maire avait prévu une subvention de 2 660 000 € de la région pour le stade de glace (20 % de l'investissement). C'est les gapençais qui supporteront ce montant car à aujourd'hui l'engagement de la région est de 0 €.
     
    Rue Jean Eymar, nous sommes favorables à son réaménagement. Des travaux importants sont à réaliser (réseaux humides et secs).
    Toutefois l'aménagement proposé ne nous apparaît pas conforme à l'agendas 21 qui doit conduire à la limitation des voitures en centre ville. Nous proposerons durant notre campagne électorale une réflexion sur l'évolution de cette rue emblématique vers une activité tournée vers les arts et la création culturelle.
     
    Situation de la ligne SNCF Briançon-Valence, cette ligne est fermée jusqu'à nouvelle ordre suite à un accident d'un train travaux. Sur proposition de notre groupe le conseil municipal a adopté à l'unanimité une motion qui attire fortement l'attention des deux ministres chargés des transports.
     
    Zone d'aménagement différé de la plaine de Lachaup, un compromis de vente et trois promesses de ventes ont été validées par le conseil. Nous avons rappelé les engagements pris dans le cadre de l'agendas 21 sur la protection des terres agricoles et la nécessité de valoriser les entrées de ville.
     
    Mur d'escalade, nous étions intervenus lors de l'élaboration du budget primitif 2013. l'investissement n'avait pas été prévu. La majorité l'avait rajouté au budget supplémentaire. Nous sommes favorable à cette réalisation qui doit bénéficier d'une gestion municipale comme les autres activités sportives. Nous avons attiré l'attention du maire sur les questions de chauffage et d'isolation.
     
    Vidéo surveillance, un rapport du sénat qui a été publié il y a quelques jours, invite l'état et les collectivités à un moratoire sur le développement des caméras. "Aucune étude sérieuse (ni en France, ni à l'étranger) n'a prouvé l'efficacité en termes de sécurité publique ». La critique est d’autant plus vive que la Cour des comptes, dans un rapport datant de juillet 2011, regrettait déjà qu'« aucune étude d'impact, réalisée selon une méthode scientifiquement reconnue, [n'ait] encore été publiée ».
    La majorité a voté malgré tout, l'installation 10 caméras supplémentaires.
     
    Nous avons décerné au maire la médaille d'or de la dissimulation, car sur vos factures d'eau et sur les véhicules, il faut lire désormais en lieu et place de VEOLIA, EAU NATURELLEMENT GAP ! (petit rappel l'eau que nous buvons est de l'eau de surface prélevée dans le Drac en aval de la station d'épuration d'Orcières Merlette).
     
  • Le Secours catholique dresse un bilan accablant de l’explosion de la misère

    Le Secours Catholique vient de publier son rapport statistique annuel qui rend compte de l’évolution de la pauvreté en France et de ses conséquences sur les personnes en situation de précarité.

    À travers ce rapport, le Secours Catholique alerte : le chômage poursuit sa course vers les sommets, la précarité devenant mode de vie pour un nombre de personnes de plus en plus important, la pauvreté continue de s’étendre.

    En 2012, le Secours catholique a rencontré 1,43 million de personnes, dont 672.000 enfants. La très grande majorité vivait sous le seuil de pauvreté (977 € par mois en 2011), voire de très grande pauvreté (644 €) explique le secrétaire général du Secours catholique, Bernard Thibaud.

    Près d’une personne sur six (17 %) ne disposait d’aucune ressource et 45 % ne vivaient que d’aides sociales.

    Constat alarmant, leur niveau de vie a baissé de 2,5% depuis 2011, à 497 euros, souligne M. Thibaud, qui note "une part croissante de couples avec enfants" (23%).

    Les familles monoparentales (31 %) et les hommes seuls (24 %) représentent toujours une part importante des bénéficiaires. Un tiers sont étrangers (dont 48 % avec un titre de séjour), avec des niveaux de vie encore plus faibles.

    Les impayés liés aux dépenses contraintes, en hausse, touchent près de six personnes sur dix, avec un montant mensuel médian de 797 €.

    Sont principalement concernés, les impayés de loyer, les dépenses d’énergies et les découverts bancaires. "Le reste à vivre continue à se réduire".

    - Télécharger le rapport

     

  • Entrave à la liberté de la presse : une arme de guerre

     

    Une nouvelle fois, la profession de journaliste paie un lourd tribut à la guerre. Nos pensées vont d'abord à Ghislaine Dupont et à Claude Verlon, ainsi qu'à leurs familles, leurs amis, et leurs collègues.

    Les deux journalistes de Radio France Internationale sont morts animés par la conviction que la liberté de l’information et d'investigation est un vecteur de paix telle que définie par les Nations Unies dans les huit domaines de la culture de paix.

    En effet, malgré l’intervention militaire française, la situation au Mali est très loin d'être stabilisée et le retour à la démocratie reste fragile et soumis à de nombreux aléas. Ce drame doit avant tout mettre en lumière tout ce qu'il reste à gagner pour la paix au Mali : démilitarisation et mise en place urgente de forces onusiennes, démocratisation, respect des droits, consolidation du droit des femmes, développement économique et social.

    La garantie de la libre circulation de l’information doit être une priorité, y compris pour les représentants de la république Française que sont les forces armées présentes sur place.

    Les journalistes doivent pouvoir exercer leur profession ; le peuple malien doit être protégé. Le Mouvement de la paix les assure de sa solidarité, convaincu qu’ils sont les acteurs essentiels aux côtés des forces onusiennes sur la voie de la pacification.

     

     

     

    logo.jpgLe Mouvement de la Paix
    Saint-Ouen, le 6 novembre 2013