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ENSEMBLE 05 - Page 240

  • Campagne des municipales à GAP

    tous-capables-groupe-6.jpgA partir de lundi prochain nous rentrons dans la campagne officielle.

    Pour tout savoir sur la liste que j'ai l'honneur de conduire cliquer sur le lien: http://www.touscapables-gap.org/

    JC Eyraud

  • Fédération des villes moyennes: Réaction de la FVM à l’annonce de la réduction des dotations de l’Etat aux collectivités

    arton41796-5c1a2.jpgRéduction des dépenses publiques :

    à trois semaines des municipales, tous les candidats sont-ils obligés de mentir à leurs électeurs ?

     

    La Fédération des villes moyennes, association paritaire, présidée par Christian Pierret, ancien ministre, maire de Saint-Diédes-Vosges, et Caroline Cayeux, présidente déléguée, sénatrice-maire de Beauvais, regrette vivement de découvrir par voie de presse (article du Parisien daté de ce jour « Vers une baisse de 10 milliards d’euros des aides aux collectivités locales ») le niveau d’effort supplémentaire qui serait imposé aux collectivités territoriales d’ici à 2017.

    Sur la méthode et si ces informations étaient vérifiées, la FVM n’a ni été associée, ni même consultée par le Gouvernement, au sujet des pistes d’évolution des futures dotations (qui correspondent à d’anciens impôts locaux ou sont la compensation des compétences transférées par l’État), ce que les villes moyennes et leurs intercommunalités – représentatives du cinquième de la population française et de territoires industriels en crise - déplorent vivement.

    Si ils ne contestent à aucun moment la nécessité de réduire le niveau des dépenses publiques, les élus des villes moyennes tiennent à rappeler le poids et la priorité à accorder au budget de la sécurité sociale, et donc aux dépenses sociales, qui représentent près de la moitié de la dépense publique (46,5 %).

    L’État central et les organismes divers d’administration centrale, avec un tiers de la dépense publique, ne sont pas non plus en reste.

    À l’origine de l’essentiel des infrastructures et des équipements publics (70% du total), les collectivités locales ne sont pas le maillon faible de la dépense publique (environ 20%), contrairement à ce qui est souvent prétendu. A l’inverse de l’État, elles sont déjà tenues par la « règle d’or » : elles ne peuvent emprunter que pour rembourser leurs dépenses d’équipement.

    Les pénaliser encore davantage, c’est diminuer l’investissement dans l’habitat et les travaux publics, ou encore le niveau des services publics, dont certains doivent être d’ores-et-déjà réduits.

    Dans le prolongement des mesures du pacte de confiance et de responsabilité, s’il se confirmait que le nouvel effort se traduise par une réduction mécanique des dotations (à hauteur de 10 milliards d’euros d’ici la fin du quinquennat), ou par un coup de rabot sur les dégrèvements compensés par l’État (ex. dégrèvements fiscaux accordés en matière de taxe d’habitation aux populations les plus pauvres), Christian Pierret estime qu’il s’agirait « d’un très mauvais signal pour la décentralisation et la survie des territoires urbains infra-métropolitains ».

    - Lire également l’article de Cidefil du 4 mars 2014

  • Débat public "Mobilité et déplacement"

    gapLe débat se déroulera le lundi 10 mars, de 20h à 22h salle le Royal à Gap.

    Il est organisé par l'association Mobil'idées.

    Les candidats des 4 listes sont invités.
    J'ai accepté l'invitation. Je remercie et félicite les organisateurs de cette initiative.

    Jean-Claude EYRAUD

  • Les "TOUS CAPABLES" sur DICI TV le 6 mars à midi

    gapHélène, Bernard et Jean-Claude seront les invités de DICI radio et DICI TV jeudi 6 mars à midi dans le cadre de la campagne des élections municipales à Gap.

    A suivre sur 90.2, canal 31 de la TNT et sur le site internet DICI.fr

  • Sondage : les maires s’inquiètent pour les plus fragiles

    Cela fait presque vingt ans que le Secours Catholique, avec l’institut TNS Sofres, enquête sur la prise en compte de la précarité par les candidats aux élections municipales.

    Cette nouvelle enquête réalisée début 2014 montre que les maires s’inquiètent pour les plus fragiles.

    Selon la grande majorité des maires, la pauvreté et l’exclusion se sont étendues dans leur commune ces dernières années. 80 % d’entre eux considèrent qu’il existe plus de personnes en situation de pauvreté et d’exclusion dans leur commune (+ 29 points par rapport à 2008). Ce constat d’une progression de la pauvreté s’est généralisé, quelle que soit la taille de leur ville.

    En outre, pour l’ensemble des maires, ce sont les femmes seules avec enfants et les jeunes sans emploi qui connaissent les plus grandes difficultés actuellement. Ainsi, les familles monoparentales qui ressortaient en troisième position en 2001 puis en seconde en 2008, sont désormais perçues comme la catégorie la plus vulnérable par 68 % des maires (+ 18 points par rapport à 2008). Elles sont suivies des jeunes sans emploi, cités par 63 % des maires (+ 5 points par rapport à 2008).

    Les immigrés, qui représentent pourtant près du tiers des personnes accueillies au Secours Catholique, ne sont paradoxalement que très peu identifiés comme des populations vulnérables par les élus.

    Les maires, un rempart contre la crise ? Le constat d’une précarité grandissante les a en effet conduits à revoir leurs priorités d’action au cours du mandat qui vient de s’écouler.

    Ils sont 91 % à avoir pris des initiatives pour renforcer le lien social dans leur commune avec, parmi les domaines soutenus ces dernières années, l’aide aux impayés liés au logement (loyer, eau, gaz, électricité) qui a pris la première place pour 58 % des maires (+ 14 points par rapport à 2008) juste devant les services d’aide à domicile et le soutien scolaire pour 46 % des maires (+ 16 points par rapport à 2008).

    Pour François Soulage, président du Secours Catholique, « ces initiatives prises par les maires montrent que le lien social reste pour eux une priorité et que la bataille pour la fraternité n’est donc pas perdue ». C’est dans ce cadre que le Secours Catholique lance une campagne de communication incitant le grand public, à l’occasion du vote aux élections municipales, à ne pas laisser disparaître la fraternité.

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