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  • Le préfet répond à notre lettre du 22 avril suite au conseil municipal du 18 avril

    20130709_141659.jpgLe 22 avril 2014 nous avons soumis par courrier à l'analyse du préfet 3 délibérations qui ont été adoptées par le conseil municipal de Gap le 18 avril 2014.

    LIRE la réponse du préfet.

    Le préfet confirme la légalité des délibérations concernant la délégation de pouvoir accordée au maire par le conseil municipal et les indemnités de fonction des élus, mais fait des remarques au maire de Gap concernant le règlement intérieur.

    Il confirme ce que nous indiquions "...le bulletin municipal est par nature l'outil de communication de la majorité municipale...à rester vigilant sur le fait qu'il n'y ait pas de confusion possible entre l'espace réservé aux élus de l'opposition d'une part et les éventuels articles dont les élus de la majorité pourraient être les auteurs..."

    En ce qui concerne le droit de regard dont dispose le maire sur les textes rédigés par les listes d'opposition, si le directeur de la publication dispose d'un pouvoir de contrôle, celui-ci ne doit pas porter atteinte à la libre expression des élus de l'opposition.

    Gap le 6 juin 2014

  • Gap : un recours contre l’attribution du marché du parking de Bonne (information l'e-média 05)

    Parking de Bonne2

     

    Le maire de Gap, Roger Didier, l’a annoncé ce jeudi soir devant des chefs d’entreprise, à l’issue du conseil d’administration de l’UPE 05 (union pour l’entreprise) : un recours déposé par Vigna Méditerranée, un des deux candidats déchus de l’appel d’offres, pourrait fortement retarder le projet de construction du parking en élévation de Bonne. Car c’est le groupement d’entreprises Allamanno-Festa qui a remporté ce marché de 4,5 millions d’euros HT, dessiné par les architectes Perrine et Probatp.

    Pour rappel, ce projet prévoit la construction d’un parking en élévation de trois étages comportant 620 places (dont 142 places couvertes en rez-de-chaussée accessibles aux véhicules hors gabarit), d’une surface de 14.000 m².

    « J’attends à la fois avec empressement et inquiétude la réponse du tribunal administratif dans les jours qui viennent », confie Roger Didier qui annonce aussi que ce parking pourrait être totalement payant, alors qu’initialement, il était prévu que le dernier étage soit gratuit.

    Les conseillers municipaux n'ont eu aucune information sur ce recours

  • Les routes et les collèges transférés aux régions en 2017


    Publié par : http://www.localtis.info
    Le : jeudi 5 juin 2014

    *************

    Une nouvelle version du projet de loi sur les compétences qui doit être
    présenté en Conseil des ministres le 18 juin a commencé à circuler. Elle
    entérine le fait que les départements se verront dessaisis de leurs
    compétences en matière de routes le 1er janvier 2017 et en matière de
    collèges le 1er septembre 2017. Etant donné le nombre de kilomètres,
    d'établissements et d'agents concernés, ce double transfert sera d'une
    ampleur assez inédite.

    On le sait, le nouveau projet de l'Elysée et du gouvernement est
    maintenant de commencer par "dévitaliser" les départements, en leur
    ôtant petit à petit leurs compétences, avant d'envisager leur
    suppression à l'horizon 2020. On sait par ailleurs que deux projets de
    loi doivent être présentés en Conseil des ministres le 18 juin : l'un
    sur les nouveaux territoires régionaux et le nouveau calendrier
    électoral, l'autre sur les compétences. Un avant-projet de loi sur les
    compétences avait déjà circulé fin avril (voir ci-contre notre article
    du 24 avril). Mais il était à peu près certain que suite au nouveau
    scénario présenté le 3 juin par François Hollande, ce texte serait
    sensiblement remanié. C'est effectivement ce qui se profile à la lecture
    d'une nouvelle version de cet avant-projet de loi, que nos confrères de
    la Gazette des communes et du Courrier des maires se sont procurés et
    ont diffusé ce jeudi 5 juin. Si la majeure partie des articles qui
    composent ce texte reste inchangée, deux grandes nouveautés et plusieurs
    autres variations apparaissent.

    La fin des routes départementales

    Première grande nouveauté : le texte vient donner corps à la volonté du
    chef de l'Etat de faire des régions "la seule collectivité compétente
    pour (...) intervenir en matière de transports, des trains régionaux aux
    bus en passant par les routes, les aéroports et les ports"… puisqu'il
    organise le transfert aux autres collectivités des ports relevant des
    départements et, surtout, "confie à la région la gestion de la voirie
    relevant des départements". Toutes les routes départementales, soit plus
    de 380.000 kilomètres de routes - y compris les 18.000 kilomètres que
    l'Etat avait transférés aux départements suite à la loi Raffarin de 2004
    – passeront donc dans le giron de la région, celle-ci devenant
    propriétaire de ce domaine public. "Ce transfert interviendra au 1er
    janvier 2017", précise la version actuelle de l'exposé des motifs, qui
    prévoit des exceptions pour Paris (qui conservera la gestion de sa
    voirie) et pour les métropoles (qui exerceront sur leur territoire cette
    compétence en lieu et place de la région). Les quelque 30.000 agents
    passés de l'Etat au département suite au transfert de 2004 vont donc une
    nouvelle fois devoir changer d'employeur… Et les régions, qui n'avaient
    jusqu'ici jamais géré de routes, vont pouvoir découvrir un nouveau métier.

    Collèges et lycées, même combat

    L'autre transfert spectaculaire est celui des quelque 5.200 collèges
    dont les départements assuraient jusqu'ici "la construction, la
    reconstruction, l'extension, les grosses réparations, l'équipement et le
    fonctionnement". Avec le projet de loi, tout ce que faisaient
    aujourd'hui les départements dans ce champ des établissements
    d'enseignement secondaire leur sera retiré pour être confié aux régions.
    Y compris en matière de sectorisation. Le texte prévoit notamment "le
    transfert obligatoire et gratuit à la région de tous les EPLE
    appartenant aux départements, et le maintien du transfert facultatif des
    biens des EPLE appartenant aux communes et aux intercommunalités" et
    plusieurs articles portent sur "les modalités de la convention de
    transfert de personnels". Là encore, ce sont des dizaines de milliers
    d'agents - notamment quelque 45.000 TOS, eux aussi passés de l'Etat au
    département suite à la loi de 2004 - qui vont être concernés. Deux
    exceptions sont prévues : la métropole de Lyon et le conseil de Paris,
    qui continueront à gérer leurs collèges (on peut d'ailleurs au passage
    s'interroger sur un point : pourquoi les collèges parisiens ne
    seraient-ils pas, comme dans le Rhône, transférés à la future métropole
    du Grand Paris ? Le périphérique ne serait-il pas perméable dans tous
    les domaines ?). Pour tous les autres collèges, le transfert aux régions
    est prévu pour entrer en vigueur le 1er septembre 2017. Deux ans ne
    seront certainement pas superflus pour préparer cet énorme
    "déménagement". Certes, les choses seront peut-être plus faciles sur
    certains territoires - là où existent des cités mixtes scolaires bien
    sûr, mais aussi, plus largement, là où départements et région ont engagé
    des coopérations voire mutualisations, notamment en matière de gestion
    des personnels, dont les Emop (équipes mobiles d'ouvriers professionnels).

    Un peu de solidarité territoriale

    En attendant leur possible dissolution en 2020, l'avant-projet de loi
    reste stable sur un point : il continue de faire confiance aux
    départements pour "les compétences de solidarité sociale et
    territoriale". Au-delà du bloc social, cette notion "territoriale" va
    permettre aux départements de continuer à soutenir financièrement les
    projets des communes et EPCI. Et "lorsque l’initiative privée est
    défaillante ou absente, [de] financer des opérations d’investissement en
    faveur d’entreprises de services marchands nécessaires aux besoins de la
    population en milieu rural, dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par
    des communes ou des EPCI à fiscalité propre". C'est le seul pied que les
    départements pourront garder dans le champ du soutien aux entreprises,
    tout le reste étant promis aux régions.

    On notera au passage que le texte n'a pas évolué depuis avril sur un
    point qui avait fait réagir l'Association des maires de France :
    l'affirmation de la compétence du département en matière d'"accueil des
    jeunes enfants".

    En matière de services publics, les deux versions de l'avant-projet de
    loi diffèrent en revanche sur un point : le futur "schéma d’amélioration
    de l’accessibilité des services au public" sera certes toujours élaboré
    "sur le territoire départemental", mais alors qu'il devait initialement
    l'être "par l’Etat et le département", il le sera en fait "par l'Etat et
    les EPCI".

    Dernier changement important, qui concerne justement les EPCI : le texte
    tient compte des propos du chef de l'Etat sur la taille minimale qu'il
    entend donner aux intercommunalité – cette taille devra passer, non plus
    de 5.000 à 10.000 mais de 5.000 à 20.000 habitants.

    Claire Mallet

  • Marché Transatlantique: notre groupe écrit au maire de Gap

    StopTafta.pngM. le maire,
     
    notre groupe vous propose de soumettre à l'avis des conseillers municipaux lors de la prochaine séance du conseil municipal une motion concernant le marché transatlantique.
    Nous restons à votre entière disposition.

    Bien cordialement,
     
    Françoise PERROUD et
    Jean-Claude EYRAUD
    Conseillers municipaux groupe "Tous Capables G.A.U.C.H.E."