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  • Mise en place du conseil d'administration du CCAS de la ville de Gap

    foyer_bellevue_-_Gap.jpgCette séance s'est tenue le vendredi 30 mai à 18h. Elle était présidée par M. Roger Didier.

    Mme Françoise Dusserre a été élue vice-présidente.

    Le règlement intérieur a été adopté.

    J'ai proposé la création de 3 commissions permanentes concernant la petite enfance, les séniors et l'action sociale d'intérêt communautaire.

    Le président a proposé la création de 2 groupes de travail, un sur le transfert des résidents de Bellevue à l'Adret (les locaux seront disponibles en mars 2015, mais nous avons des travaux à réaliser) et un sur la création d'une crèche inter administrations. foyer_bellevue_.jpg

    Le règlement d'attribution de prestations a été adopté. Je me suis abstenu car nous souhaitons que ce règlement soit revu en fonction de l'évolution de la pauvreté et en s'appuyant sur le bilan de la dernière mandature. Le président a annoncé l'organisation début 2015 des assises de la solidarité. A l'issue de ces assises et en fonction du résultat des débats il ne ferme pas la porte à une éventuelle évolution de ce règlement.

    Enfin à propos de l'organisation d'un mini-séjour pour les séniors j'ai proposé que les tarifs soient fonction du coefficient social.

    Le président a renvoyé de nouveau cette possibilité aux assises de la solidarité.

    JC Eyraud

  • La réforme des rythmes scolaires peut-elle devenir populaire ?



    Publié par : Le Monde.fr
    Le : 30.05.2014

    ****************************

    Le ministre de l'éducation nationale, Benoît Hamon, a annoncé, vendredi
    25 avril, la publication en mai d'un décret complémentaire à celui du 24
    janvier 2013 – dit décret Peillon – sur l'aménagement des rythmes scolaires.

    Le gouvernement est-il en passe de gagner l'une de ses batailles de
    communication ? La réforme des rythmes scolaires, mesure phare de
    François Hollande pour l'éducation, a connu depuis sa mise en chantier
    un fort mouvement de contestation, notamment de la part des communes et
    des associations de parents d'élèves. Mais un sondage CSA publié
    vendredi 30 mai par Le Parisien montre que de plus en plus de Français
    se disent favorables à cette réforme, rétablissant la semaine de 4,5 jours.

    D'après l'institut CSA, 69 % des Français et 67 % des parents d'élèves
    estiment que la concentration des enseignements le matin permet aux
    écoliers « de bénéficier de bonnes conditions pour mieux apprendre ». En
    outre, 59 % des Français et 54 % des parents d'élèves estiment que les
    nouvelles activités périscolaires proposées par les mairies permettront
    « de réduire les inégalités sociales ».

    Leur organisation suscite cependant toujours autant l'inquiétude. Ainsi,
    83 % des personnes sondées pensent que « la réforme posera des problèmes
    d'organisation dans certaines familles », et 86 % estiment que les
    activités périscolaires « pourront être compliquées à mettre en place
    dans certaines communes. »

    Seule une minorité de sondés – 35 % des Français et 37 % des parents
    d'élèves – pense que la concentration des cours le matin « provoque
    fatigue et stress » chez les enfants. Mais ils ne sont que 51 % à penser
    que la réforme des rythmes permettra de lutter contre l'échec scolaire,
    44% estimant que cela ne changera rien.

    ASSOUPLISSEMENT À MARCHE FORCÉE

    C'est que le gouvernement fait tout pour imposer la réforme dans
    l'opinion publique. A peine nommé ministre de l'éducation, Benoît Hamon
    s'est efforcé de proposer un aménagement de la loi, qui avait été fatale
    à son prédecesseur, Vincent Peillon. Début mai, le ministre a fait
    passer un décret, autorisant pour la rentrée prochaine des «
    expérimentations relatives à l'organisation des rythmes scolaires dans
    les écoles maternelles et élémentaires ».

    Dans les faits, le texte prévoit que le recteur d'académie peut
    autoriser, « pour une durée de trois ans (...), des adaptations à
    l'organisation de la semaine scolaire dérogeant à certaines dispositions
    » du code de l'éducation. Une manière de faire avaler la pilule aux
    communes qui peinent à mettre en place la semaine de 4,5 jours.

    Tout en maintenant cinq matinées de classe hebdomadaires, le « décret
    complémentaire » autorise des semaines de huit demi-journées au lieu de
    neuf, pour regrouper les trois heures d'activités périscolaires sur un
    après-midi. Il peut être plus facile, en effet, en milieu rural, de
    recruter des animateurs pour trois heures, plutôt que pour quatre fois
    45 minutes ou deux fois une heure et demie.

    MAUVAIS SIGNAL ?

    Cet assouplissement pourrait cependant envoyer le mauvais signal aux
    communes de France. Car si le décret a été pensé pour les 6 % de
    communes qui, quatre mois avant la rentrée, n'avaient pas pu – ou voulu
    – rendre leur projet d'emploi du temps, rien n'empêche, a priori, que
    d'autres viennent grossir leurs rangs.

    Certains élus UMP ont ainsi immédiatement profité de l'opportunité pour
    réclamer un report, voire un abandon de la réforme. Une trentaine de
    maires du Rhône ont également déposé un recours en illégalité contre la
    réforme des rythmes auprès de Matignon, tandis que le préfet des
    Hauts-de-Seine a déposé lundi deux référés devant le tribunal
    administratif contre les communes d'Asnières et de Levallois-Perret, qui
    refusent d'appliquer la réforme.

    Selon L'Express, le directeur de cabinet de Benoît Hamon, Bertrand
    Gaume, a rencontré les préfets pour leur mettre la pression, et «
    rappeler que toute délibération d'un conseil municipal refusant
    d'appliquer la réforme pouvait être considérée comme illégale. »

    Seulement 17 % des communes ont appliqué à la rentrée 2013 la réforme
    rétablissant la semaine de 4,5 jours et les communes restantes doivent
    embrayer à la rentrée 2014.

  • Communiqué de Ensemble. Non à la ferme des 1000 vaches ! Soutien à la Confédération paysanne !

    Des paysans de la Confédération Paysanne et son porte-parole, Laurent Pinatel ont été arrêtés et sont en détention pour avoir participé  à l’action de démontage de la salle de traite de la ferme des 1000 vaches.

    « Ensemble ! » dénonce la répression que subissent les syndicalistes paysans. 
    « Ensemble ! Mouvement pour une alternative de gauche, écologiste et solidaire » apporte son soutien à cette action de la Confédération Paysanne destinée à protester contre l'escalade de cette agriculture industrielle mortifère pour les paysans et pour les citoyens.  
    L’agriculture paysanne doit pouvoir vivre et se développer partout sur les territoires , pour l'environnement, la santé publique et pour l'emploi.
    « Ensemble ! » appelle à se joindre aux rassemblements qui s'organisent partout sur le territoire.
    Le 29 mai 2014.

    Ce matin à Gap nous étions présents pour soutenir l'action de la confédération paysanne.
    J'étais présent dans la délégation qui a été reçue en préfecture.
    JC Eyraud

     

  • L’audace à gauche, sinon rien

    L'ampleur du désastre lors des dernières élections doit susciter l'électrochoc nécessaire pour une refondation, explique Clémentine Autain (Front de gauche). Les composantes du FdG doivent faire des efforts de réorganisation interne et d'ouverture citoyenne en vue de la constitution d'un front plus large avec tous ceux qui « ne se reconnaissent pas dans l'orientation gouvernementale et veulent redonner des couleurs au mot gauche ».


    « Cela ne peut signifier qu’une chose : non pas qu’il n’y a pas de route pour en sortir
    mais que l’heure est venue d’abandonner toutes les vieilles routes »
    Aimé Césaire, dans une lettre à Maurice Thorez en 1956

    L’audace ou de nouvelles défaites : nous sommes au pied du mur. L’ampleur du désastre à gauche est telle que la sidération domine, pour l’instant. Le danger serait de plonger durablement dans la paralysie. Ce cinglant échec doit au contraire susciter l’électrochoc nécessaire pour une refondation à la hauteur des défis contemporains. A gauche, nous devons balayer devant chaque porte et se mettre au travail : notre responsabilité est immense pour que notre pays ne bascule pas dans l’obscurité et que la gauche ne se transforme pas en relique du passé. Ce n’est pas d’un nouveau meccano électoral de court terme dont nous avons besoin mais d’oser, d’inventer, de s’ouvrir sur la société pour reconstruire un imaginaire émancipateur.

    Pourquoi tant d’étonnements le soir des résultats des élections européennes sur les visages de ceux-là même qui, par leurs politiques successives, ont produit la désespérance, terreau de l’extrême droite et de l’abstention, ou qui, par le matraquage médiatique sur Marine Le Pen, ont contribué à faire progresser le FN, ou qui encore, par leur politique de droite menée au nom de la gauche, ont brouillé les clivages et tué l’espoir à gauche ? N’ont-ils pas vu la crise de régime, le rejet des politiques menées, le déficit de perspective commune ? Toutes les coordonnées politiques étaient là pour anticiper ce désastre. La Ve République est exsangue. Le libéralisme économique et son lot d’austérité ont ravagé les conditions de vie du plus grand nombre. Liberté, égalité, fraternité : les valeurs républicaines résonnent dans le vide. On ne compte plus les « s » aux crises que nous traversons : morale, démocratique, écologique, sociale, économique… Les affaires, Cahuzac ou Bygmalion, ont fini de préparer ce cocktail explosif qui fait le lit de l’extrême droite. Nous y sommes.

    Deux ans seulement après la victoire de François Hollande, le PS, qui est seul aujourd'hui à gouverner, n’atteint même pas 14% des suffrages exprimés aux européennes, confirmant la claque des municipales. L’orientation du gouvernement est délégitimée et la droite classique ne profite même pas de cette situation, signe du désaveu massif des politiques menées depuis des années tant par la droite que par la gauche. Le FN tire les marrons du feu dans les catégories populaires mais pas seulement : il incarne un moyen d’exprimer à la fois le rejet du système en place et la tentation du repli, du retour à l’ordre ancien face aux désordres actuels, au manque de perspective, au durcissement des conditions de vie. Contre la voie de la réaction, de l'autoritarisme, du racisme, du sexisme, de la xénophobie, le meilleur antidote, c’est la force de l’alternative. Sans espérance nouvelle à gauche, le pire est devant nous. Il doit être conjuré.

    Les forces disponibles pour reconstruire une perspective émancipatrice existent dans notre pays mais elles sont aujourd’hui éclatées, en sommeil, à distance du champ proprement politique. Contrairement à l’idée reçue selon laquelle la société serait atone et acritique, totalement dominée par des valeurs néo-fascistes ou indifférente au cours des choses, les ressorts d’une contestation porteuse de progrès humains se dessinent au cinéma, dans les musées d’art contemporain, au cœur de la pensée critique ou de la littérature. Pêle-mêle : à la rentrée dernière, deux romans annonçaient l’émeute qui vient : Les renards pâles de Yannick Haenel et L’esprit de l’ivresse de Loïc Merle ; sur le grand écran, la question de l’amour et des rapports de classe est en ce moment joliment posée par Lucas Belvaux dans Pas son genre ; au Palais de Tokyo, l’exposition L’Etat du ciel parle de la chute contemporaine et renoue avec le fil de l’utopie ; le succès du livre de Thomas Picketty sur les rentiers du capital ou l’écho de la somme générationnelle Constellations montrent le potentiel critique dans le monde d’aujourd’hui… Le mouvement social est à la peine mais chez les Fralib ou à Notre-Dame-des-Landes, la contestation se tisse.

    Ces mobilisations et espaces de création ne convergent pas encore pour former une galaxie nouvelle à même de donner le “la” en terme d’hégémonie culturelle. Mais le fourmillement est là, en quête de la fabrique du commun au XXIe siècle. Le sujet de l’émancipation se cherche. L’équation nouvelle entre l’individu et le collectif se pense. Des préoccupations contemporaines s’imposent comme le droit à la ville, dans ce monde où le capital se conjugue avec l’inégal développement territorial, ou la mise en cause du consumérisme, qui menace l’écosystème et nos désirs. La recherche du sens perdu est dans l’air du temps et ne se trouve pas que du côté de l’ordre ancien. Non, la société française n’est pas minée par tous ses pores par la réaction, même si c’est elle qui a pour l’instant le vent en poupe dans la rue et les médias. Les points d’appui pour reprendre la main existent à condition de sortir de l’entre soi d’un espace politique par trop fermé sur lui-même et souvent reproducteur d’ancien. La politique ne trouvera son souffle, à gauche, que si elle entend, s’inspire, restitue ce qui s’invente de façon éparse dans cette part du monde contemporain qui exprime son refus de l’ordre existant pour s’aventurer vers une reformulation du projet émancipateur. L’imaginaire politique ne se fabrique pas à distance du monde culturel et intellectuel mais en se nourrissant de lui, dans un rapport qui ne relève ni de l’instrumentalisation, ni de la hiérarchie mais de l’inspiration et la confrontation réciproques.

    La clarté vis-à-vis de la majorité du PS et de la politique gouvernementale est une condition sine qua non de la refonte d’une gauche digne de ce nom. Pour autant, elle ne constitue pas l’alpha et l’oméga d’une stratégie alternative. Sur le fond, le saut à produire est substantiel. Sur la forme, nous avons encore à inventer des formes d’organisation qui sachent faire vivre le pluralisme, l’articulation entre l’engagement individuel et le collectif, la créativité, l’ouverture sur la société. Retrouver le chemin des catégories et des quartiers populaires passe par l’abandon des recettes du passé. La verticalité et le caporalisme ne permettent plus d’inclure durablement et massivement. Nous avons besoin d’horizontalité et d’un tout qui ne soit pas englobant. Le renouvellement des formes et des personnes (élu-e-s, cadres politiques, porte-paroles) est indispensable. Le nouveau front dont nous avons besoin doit chercher à articuler trois sphères traditionnellement dissociées : le social, le politique, la pensée critique – intellectuelle et culturelle.

    Notre espace politique, celui de la gauche d’alternative, non soumise au néolibéralisme, au productivisme, à l’ordre dominant, reste en deçà de ses possibilités. Les composantes du Front de Gauche doivent prendre la mesure des efforts de réorganisation interne et d'ouverture à produire pour favoriser l'implication citoyenne, le respect de la diversité des sensibilités et cultures politiques, l'unité la plus large. Il en va de sa relance et de son attractivité, en vue de la constitution d’un front bien plus large, avec toutes celles et ceux qui, dans les mouvements sociaux, dans le monde intellectuel et culturel, à EE-LV, au PS, au NPA, à Nouvelle Donne, chez les féministes présentes de façon autonome à l’élection européenne et ailleurs ne se reconnaissent pas dans l'orientation gouvernementale et veulent redonner des couleurs au mot gauche.

    Clémentine Autain, membre d'Ensemble-Front de Gauche, élue de Sevran (Seine-Saint-Denis) et codirectrice du journal Regards.

  • 1er audit du collectif d’audit citoyen de la dette publique

    Le collectif pour un audit citoyen de la dette publique a publié son premier rapport d’audit.

     

    Celui-ci est disponible ici .

    Sa principale conclusion : 59% de la dette publique proviennent des cadeaux fiscaux et des taux d’intérêt excessifs.

    59% de la dette publique proviennent des cadeaux fiscaux et des taux d’intérêt excessifs

    "Tout se passe comme si la réduction des déficits et des dettes publiques était aujourd’hui l’objectif prioritaire de la politique économique menée en France comme dans la plupart des pays européens. La baisse des salaires des fonctionnaires, ou le pacte dit « de responsabilité » qui prévoit 50 milliards supplémentaires de réduction des dépenses publiques, sont justifiés au nom de cet impératif.

    Le discours dominant sur la montée de la dette publique fait comme si son origine était évidente : une croissance excessive des dépenses publiques.

    Mais ce discours ne résiste pas à l’examen des faits. Dans ce rapport nous montrons que l’augmentation de la dette de l’État – qui représente l’essentiel, soit 79%, de la dette publique – ne peut s’expliquer par l’augmentation des dépenses puisque leur part dans le PIB a chuté de 2 points en trente ans.

    Si la dette a augmenté c’est d’abord parce que tout au long de ces années l’État s’est systématiquement privé de recettes en exonérant les ménages aisés et les grandes entreprises : du fait de la multiplication des cadeaux fiscaux et des niches, la part des recettes de l’État dans le PIB a chuté de 5 points en 30 ans.

    Si l’État, au lieu de se dépouiller lui-même, avait maintenu constante la part de ses recettes dans le PIB, la dette publique serait aujourd’hui inférieure de 24 points de PIB (soit 488 milliards €) à son niveau actuel.

    C’est ensuite parce que les taux d’intérêt ont souvent atteint des niveaux excessifs, notamment dans les années 1990 avec les politiques de « franc fort » pour préparer l’entrée dans l’euro, engendrant un « effet boule de neige » qui pèse encore très lourdement sur la dette actuelle.

    Si l’État, au lieu de se financer depuis 30 ans sur les marchés financiers, avait recouru à des emprunts directement auprès des ménages ou des banques à un taux d’intérêt réel de 2 %, la dette publique serait aujourd’hui inférieure de 29 points de PIB (soit 589 milliards €) à son niveau actuel.

    L’impact combiné de l’effet boule de neige et des cadeaux fiscaux sur la dette publique est majeur : 53% du PIB (soit 1077 milliards €). Si l’État n’avait pas réduit ses recettes et choyé les marchés financiers, le ratio dette publique sur PIB aurait été en 2012 de 43% au lieu de 90 % .

    Le rapport d’audit propose aussi une évaluation des impacts des paradis fiscaux ainsi que de la crise financière de 2008 dans l’envolée de la dette publique.

    Au total, il apparaît clairement que la dette publique a été provoquée par des politiques économiques largement favorables aux intérêts des créanciers et des riches, alors que les sacrifices demandés aujourd’hui pour la réduire pèsent pour l’essentiel sur les salariés, les retraités et les usagers des services publics. Cela pose la question de sa légitimité.

    Le rapport se conclut par une série de propositions destinées à alléger le fardeau de la dette (près de 50 milliards d’euros d’intérêts par an et plus de 100 milliards de remboursements) pour rompre avec le cercle vicieux des politiques d’austérité et financer les investissements publics dont l’urgence sociale et écologique n’est plus à démontrer.

    La réalisation d’un audit de la dette publique effectué par les citoyens ou sous contrôle citoyen, devrait permettre d’ouvrir enfin un véritable débat démocratique sur la dette publique. Ce débat devrait amener à déterminer quelle partie de cette dette est jugée par les citoyens comme illégitime. Les premières évaluations ici proposées par le groupe de travail du Collectif pour un audit citoyen se veulent une contribution à ce débat.

    Le site du collectif pour un audit citoyen de la dette publique