Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Le préfet des H.A demande le retrait d'une délibération au maire de Gap

    27364_100001115076350_6844_n.jpgSuite à la séance du conseil municipal du 29 mars dernier, nous avions écrit au préfet des Hautes-Alpes:

    Monsieur le préfet,

    Dans le cadre de la séance du conseil municipal du 29 mars dernier le maire a fait adopter à la majorité la délibération citée en objet.

    L’acquisition de la propriété « Galleron » a été portée à 500 000 €.

    Notre groupe a voté contre estimant que l’évaluation par France Domaines à 313 000 € avait bien pris en compte la situation des parcelles qui se situent en zone ND2 du Plan d’Occupation des Sols (POS) et en zone rouge RG et RI du Plan de Prévention des Risques (PPR).

    En effet, nous considérons qu’une telle décision est contraire à l’intérêt général et créerait un précédent dangereux pour les futures transactions, tant sur le plan financier que sur celui de la procédure.

    D’autre part comme nous l’avons indiqué en séance dans le cas d’espèce une procédure de déclaration publique aurait été plus appropriée.

    Nous restons à votre entière disposition et  nous vous prions de bien vouloir agréer, monsieur le préfet, l’expression de notre haute considération.

     

    Françoise PERROUD                                                        Jean-Claude EYRAUD

     

    LIRE LA REPONSE DU PREFET.

  • Contre l’austérité, Pour une Europe vraiment sociale

    Euromobilisation syndicale le 14 novembre

     

    lundi 22 octobre 2012

    Le comité exécutif de la Confédération européenne des syndicats (CES) vient de décider d’une journée d’action et de solidarité le 14 novembre pour l’ensemble des pays européens contre les politiques d’austérité et pour promouvoir l’Europe sociale . Les modalités pour la France seront préparées dans les prochains jours par les centrales syndicales françaises. La CGT entend y prendre toute sa place et prendra les dispositions pour assurer le succès de cette journée.

    Déclaration adoptée par le Comité exécutif de la CES

    Le Comité exécutif de la CES, réuni le 17 octobre 2012, appelle à une journée d’action et de solidarité le 14 novembre prochain en vue de mobiliser le mouvement syndical européen derrière les politiques de la CES telles que décrites dans le contrat social pour l’Europe. Cette journée prendra diverses formes : grèves, manifestations, rassemblements et autres actions.

    Il exprime sa ferme opposition aux mesures d’austérité qui font plonger l’Europe dans la stagnation économique, voire la récession, ainsi qu’au démantèlement continu du modèle social européen. Ces mesures, loin de rétablir la confiance, ne font qu’aggraver les déséquilibres et créer des injustices.

    Tout en soutenant l’objectif d’assainissement des budgets, le Comité exécutif considère qu’on ne pourra mettre fin à la récession que par un assouplissement des contraintes budgétaires et la suppression des déséquilibres. Ceci afin d’aboutir à une croissance économique durable, à la cohésion sociale et au respect des valeurs garanties par la Charte des droits fondamentaux.

    La consolidation budgétaire a eu un impact plus néfaste qu’originalement prévu par les institutions, y compris la Commission européenne et le Fonds monétaire international (FMI). En effet, le FMI reconnaît, aujourd’hui, qu’il a fait de graves erreurs dans ses calculs concernant les conséquences des mesures d’austérité sur la croissance. Ces erreurs ont un impact incalculable sur la vie quotidienne des travailleurs et des citoyens que la CES représente, et remettent en cause le fondement des mesures d’austérité avancées par le pacte budgétaire et imposées par la Troika.

    Le Comité exécutif prend acte de l’opposition qui grandit parmi les citoyens et les travailleurs des pays concernés et réaffirme son soutien aux syndicats affiliés qui luttent pour des conditions de travail et de vie décentes. Cette situation résulte du manque de coordination des politiques économiques et de l’absence de standards sociaux minimum en Europe. Dans un contexte de liberté de circulation des capitaux, cela a laissé libre cours à la concurrence entre les États, en particulier dans les domaines de la fiscalité, du coût du travail et des conditions sociales.

    Il réitère que le dialogue social et la négociation collective sont des éléments centraux du modèle social européen. Il s’oppose fermement aux attaques frontales contre ces droits, aux niveaux national et européen. Le Comité exécutif de la CES appelle de façon urgente à l’adoption immédiate et à la transposition des accords des partenaires sociaux européens actuellement sur la table du Conseil.

    Il rappelle que l’Union est tenue, de par le traité, « d’oeuvrer pour le développement durable de l’Europe fondé sur une croissance économique équilibrée et sur la stabilité des prix, une économie sociale de marché hautement compétitive, qui tend au plein emploi et au progrès social, et un niveau élevé de protection et d’amélioration de la qualité de l’environnement ». Il rappelle aussi que le soutien de la CES au Traité de Lisbonne était basé sur la pleine application de ces principes.

    Il note que des discussions sont actuellement en cours entre les institutions et les gouvernements concernant l’opportunité de nouvelles modifications des traités. Un changement de cap est nécessaire et la priorité doit être donnée à la résolution de la crise suivant les trois piliers de la proposition de la CES de contrat social qui reçoit un soutien croissant. Celui-ci s’articule autour du dialogue social et des négociations collectives, de la gouvernance économique pour une croissance et des emplois durables et de la justice économique, fiscale et sociale.

    Il insiste sur le fait qu’une solidarité active, le progrès social et la responsabilité démocratique doivent faire partie du projet européen. Il considère essentiel qu’un protocole de progrès social soit une part intégrante et opérationnelle de tout nouveau traité. La CES évaluera, sur cette base, tout nouveau progrès de l’intégration européenne.

  • 7e forum de l'ESS des Hautes-Alpes

    Madame, Monsieur,


    Nous avons le plaisir de
    vous inviter au 7e forum de l'ESS des Hautes-Alpes


    Mardi 13 novembre 2012
    9h-17h  Conseil général à Gap
    La Coopération Territoriale
    Vecteur du développement économique, social et solidaire des Hautes-Alpes ?


    Cette manifestation concerne tous les acteurs économiques de nos territoires : dirigeants de PME, de collectivités, d'associations, de mutuelles, de coopératives, artisans, commerçants...

    Nous vous invitons à découvrir et à co-construire de nouvelles possibilités de travailler ensemble.


    Les travaux de la journée seront lancés par une conférence

     
    Coopération territoriale : pour reprendre l'économie en main

    Philippe FRÉMEAUX
    chroniqueur sur les ondes de Radio France et à Alternatives Économiques
    Le programme complet  de la journée, la présentation des intervenants et des ateliers sont en ligne et en téléchargement sur le site de l'Udess 05.

    Le 7e Forum de l'ESS 05  est ouvert à tous sur inscription.
    Le bulletin d'inscription est téléchargeable sur le site.
    Vous pouvez aussi nous renvoyer le talon ci-dessous par retour de courriel.

    Notre invitation est diffusée le plus largement possible : merci de la transférer à votre entourage
    et veuillez nous excuser des éventuels doublons.

    Bien cordialement.

    Yves Gimbert

    Président de
    l'Udess 05


  • Quatre associations s’unissent pour sauver l’aide alimentaire européenne

    Les pouvoirs publics ne doivent pas arrêter l’aide alimentaire européenne, surtout au moment où toujours plus de familles de l’Union européenne basculent dans la pauvreté à cause de l’aggravation de la crise économique.

    C’est le message délivré, le lundi 15 octobre au matin, par les quatre associations habilitées à distribuer cette aide, appelée PEAD : le Secours populaire, la Croix-Rouge, les Banques alimentaires et les Restos du cœur.

    "C’est un signe fort de voir ainsi main dans la main des associations aux histoires si différentes lancer un véritable SOS afin d’empêcher une catastrophe programmée pour janvier 2014", a alerté Julien Lauprêtre, président du Secours populaire.

    Blocage diplomatique et arrêt du PEAD

    Depuis 1987, le PEAD permet aux Européens les plus pauvres (retraités modestes, mères célibataires, etc.) de ne pas se retrouver à court de vivres. Ce dispositif est indispensable à 18 millions d’Européens, dont 4 millions de Français, mais a été bloqué au printemps 2011 par plusieurs pays, au premier rang desquels l’Allemagne. Un accord a été conclu, à l’automne 2011, entre Paris et Berlin : le PEAD a été prolongé jusqu’à janvier 2014. Il représente entre un quart et la moitié de la nourriture donnée par les associations françaises. "Nous allons être mis en difficulté, mais ce n’est rien par rapport à des pays comme la Pologne dont les distributions de vivres vont fondre de 80%", remarque Alain Seugé, président de la Fédération française des Banques alimentaires.

    Les quatre associations souhaitent que l’Union européenne mette sur pied un successeur au PEAD. Les chefs d’Etats et de gouvernement de l’Union européenne devraient statuer sur la question le 23 novembre. "Nous ne comprendrions pas que l’Union européenne se fixe un objectif de réduction d’un quart du nombre de pauvres en son sein d’ici à 2020 et qu’elle commence par démanteler l’un des seuls outils qui lui permettent de lutter contre la pauvreté", insiste Olivier Berthe, président des Restos du cœur.

    L’opinion publique a un rôle à jouer

    Même en cas d’accord, tout danger ne serait pas écarté pour autant. La Commission européenne travaille sur un projet dont la taille serait 30% inférieurs à celle du PEAD. "La solidarité ne peut pas être invoquée par les différents gouvernements européens uniquement lorsqu’il s’agit de sauver le système financier", tonne Didier Piard, directeur de l’action sociale à la Croix-Rouge française.

    Les associations humanitaires veulent créer une grande chaîne de solidarité autour de la sauvegarde de l’aide alimentaire. Elles ont ainsi rencontré leurs homologues allemands qui leur ont témoigné leur soutien et ont lancé une campagne de sensibilisation auprès de l’opinion publique. "Il faut que les Européens de tous les pays fassent pression sur leur gouvernement et sur la Commission européenne", a souhaité Julien Lauprêtre.

  • Les comptes de la commune de GAP ( budget principal seul)

    gapTOUT SAVOIR SUR LES COMPTES DE LA VILLE DE GAP DE 2000 à 2011 EN UN CLIC:

    http://alize2.finances.gouv.fr/communes/eneuro/tableau.php?icom=061&dep=005&type=BPS&param=0