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  • "Les inégalités en France 2012" : tout savoir sur les inégalités


    Publié par : http://www.inegalites.fr/
    Le : 28 août 2012

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    Le magazine Alternatives Economiques publie "Les inégalités en France",
    un hors-série qui se fonde sur le travail réalisé depuis bientôt dix ans
    par l’Observatoire des inégalités. Un document indispensable pour avoir
    sous la main les chiffres essentiels et les analyses des meilleurs
    experts du sujet. Quelques extraits en avant première.


    "Les inégalités en France", hors-série poche d’Alternatives Economiques

    Les inégalités et les discriminations font aujourd’hui l’objet de toutes
    les attentions. Diversité, égalité des chances, parité : les mots du
    discours public leur donnent désormais une large place.

    Mais, au-delà des mots, que sait-on vraiment des inégalités ?
    L’Observatoire des inégalités et le magazine Alternatives Economiques
    publient "Les inégalités en France" : un document de synthèse des
    travaux menés depuis dix ans par l’équipe de l’Observatoire des
    inégalités. Les données essentielles et les analyses des meilleurs
    spécialistes de la question.

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    Editorial

    L’égalité, c’est maintenant ?

    Au printemps dernier, notre pays a changé de majorité. Depuis les
    communes jusqu’au sommet de l’Etat, la gauche dispose quasiment des
    pleins pouvoirs institutionnels. Une situation historique. Comme en 1995
    avec la "fracture sociale" brandie par Jacques Chirac, le thème des
    inégalités a été largement mis en avant par la majorité aujourd’hui aux
    commandes. Saura-t-elle faire en sorte que la marche vers l’égalité ne
    demeure pas un slogan de campagne sans lendemain, comme il y a dix-sept
    ans ?

    Pour progresser vers plus de justice, notre pays doit entreprendre un
    chantier global. La tentation est grande de remplacer la démagogie
    anti-"assistés" par une politique qui ne s’attaquerait qu’aux symboles,
    notamment qu’aux plus fortunés. Certes, ces derniers se sont enrichis de
    façon démesurée dans les années 2000 alors que notre pays s’enfonçait
    dans la crise. Les imposer davantage ne sera qu’un juste retour des
    choses. Mais taxer une poignée de millionnaires ne règlera pas tout. La
    situation des finances publiques impose un effort beaucoup plus large de
    refonte de la fiscalité.

    Il en est de même dans tous les domaines. On n’avancera pas vers
    l’égalité hommes-femmes en se contentant d’appliquer une règle de parité
    parmi les ministres. Au-delà de cette mesure symbolique, il faut
    également - et surtout - s’attaquer aux temps partiels subis, aux
    contrats à durée déterminée (CDD) à rallonge qui ruinent la vie
    professionnelle de millions de personnes, et en particulier des femmes
    peu qualifiées.

    On ne marchera pas vers l’égalité à l’école en accueillant quelques
    élèves boursiers dans les grandes écoles ou grâce à une dose
    supplémentaire de soutien scolaire, mais en changeant la manière dont
    fonctionne l’ensemble de notre système éducatif. On n’améliorera pas
    l’accès à l’emploi des Noirs ou des Maghrébins avec de belles affiches
    sur la diversité, mais en luttant là aussi contre les inégalités
    scolaires qui handicapent les moins favorisés.

    Alors, l’égalité, c’est maintenant ? C’est en tout cas le moment pour
    amorcer un tournant. La mise en avant des inégalités a suscité des
    attentes. Un changement de fond est nécessaire. Se contenter de mesures
    de second rang aurait un effet dévastateur dans l’opinion publique, et
    notamment auprès des catégories populaires.

    Camille Dorival, journaliste à Alternatives Économiques et Louis Maurin,
    directeur de l’Observatoire des inégalités.

  • Déclaration de la CES sur le « Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’union économique et monétaire »

    Adoptée par le Comité de direction de la CES le 25 janvier 2012
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    Les 8 et 9 décembre 2011, le Conseil européen a décidé de s’engager dans un accord international visant à renforcer la discipline budgétaire. Les gouvernements ont estimé que le renforcement des obligations budgétaires ferait reprendre confiance aux marchés et sauverait l’euro. La décision a été suivie par des négociations intenses et semi-secrètes afin de parvenir à un accord pour la fin du mois de janvier 2012. Le processus de négociation a ignoré le contrôle démocratique qui devrait normalement caractériser toute réforme de l’Union, notamment en n’impliquant pas pleinement le Parlement européen. La CES déplore ce processus non démocratique et ses conséquences non démocratiques au niveau national.
    Les dirigeants européens ont tort de croire qu’un nouveau traité restaurera la croissance et résoudra la crise de la dette souveraine sans le renforcement de la démocratie au niveau européen – avec notamment une participation totale des partenaires sociaux aux niveaux européen et national – ni sans nouveaux engagements spécifiques sur les euro-obligations et la taxe sur les transactions financières. Les nouvelles règles en matière de gouvernance économique ne devraient pas être dissimulées derrière des questions techniques par les dirigeants européens.
    La CES s’oppose à ce nouveau traité. Bien que nous soyons en faveur de règles communes et d’une gouvernance économique, nous ne pouvons soutenir ces règles. Nous sommes convaincus que les propositions du traité affaibliront l’Europe au lieu de la renforcer. Le nouveau traité réduira le soutien de la population pour l’intégration européenne, ralentira la croissance et augmentera le taux de chômage.
    1) Sans investissements durables pour la croissance, les mesures d’austérité ne résoudront pas la crise de l’euro et de l’emploi, elles ne rassureront pas non plus les marchés financiers.
    2) Entériner dans les constitutions ou législations nationales un respect strict des règles de déficit public ne fera qu’aggraver la crise actuelle.
    3) Pour revenir à des comptes publics équilibrés, il est nécessaire d’adopter une approche à long terme comprenant des politiques fiscales justes, une taxe sur les transactions financières, une lutte contre la fraude et l’évasion fiscales, une mise en commun partielle de la dette, une intervention adéquate de la Banque centrale européenne (BCE) et un contrôle rigoureux du secteur financier.
    4) Le besoin de gouvernance économique est utilisé comme un moyen de restreindre les mécanismes et les résultats des négociations, d’attaquer les systèmes de relations sociales, et d’imposer une pression à la baisse sur les niveaux de salaires négociés par convention collective ; d’affaiblir la protection sociale et le droit de grève, et de privatiser les services publics. La CES résiste activement à ces attaques qui, les unes après les autres, risquent de démanteler un modèle social unique au monde. Les initiatives allemandes telles que l’Agenda 2010 et l’augmentation de l’âge de la retraite, qui se sont avérées mauvaises et dommageables au niveau social, ne devraient pas être imposées aux autres pays européens.
    5) Afin de faire de l’intégration européenne une réussite, elle doit être un projet positif qui apporte un progrès social et des emplois plus nombreux et meilleurs. C’est pourquoi la CES réitère sa demande pour qu’un Protocole social soit intégré aux traités européens.
    Le nouveau traité ne fait que stipuler la même chose : l’austérité et la discipline budgétaire. Il obligera les États membres à mener des politiques fiscales procycliques préjudiciables, qui donnent la priorité absolue aux règles économiques rigides à une époque où la plupart des économies sont toujours faibles et où le taux de chômage atteint des niveaux intolérablement élevés. Cela engendrera une pression à la baisse sur les salaires et les conditions de travail, un contrôle et des sanctions. Les gouvernements qui ne parviennent pas à se conformer au pacte budgétaire seront traduits devant la Cour de justice européenne, qui pourra imposer des sanctions.
    Le nouveau traité ne répondra pas au problème clé de la zone euro : en dehors de la BCE, il n’existe aucune institution qui dispose de suffisamment de liquidités pour arrêter une obligation dirigée sur des membres individuels de la zone euro, avec une obligation qui déborde et contamine le reste de la zone. Contrairement aux banques, les gouvernements de la zone euro ne disposent pas de « prêteur de dernier ressort » pour mettre fin au comportement grégaire irrationnel, mais auto-réalisateur du secteur financier.
    En outre, la mise en oeuvre pratique de ce nouveau traité pose plusieurs problèmes. La façon dont le déficit « structurel » sera défini n’est pas claire. Il en va de même pour le taux d’intérêt et le taux de croissance potentiel qui seront utilisés pour calculer la viabilité budgétaire à moyen terme.
    L’Europe a besoin d’une union économique différente avec une forte dimension sociale basée sur les principes suivants :
    - Un mandat plus clair pour la BCE. L’objectif de la BCE devrait être de promouvoir la stabilité des prix, le plein emploi et la convergence des conditions financières des États membres. La BCE ne devrait pas seulement avoir la possibilité, mais aussi l’obligation d’agir comme un « prêteur et acheteur de dernier ressort » pour la dette souveraine.
    - Une mise en commun partielle de la dette au travers des euro-obligations.
    - Une clause de sauvegarde salariale qui impose le respect total de l’autonomie des partenaires sociaux pour négocier collectivement et éviter que le pacte social s’immisce dans le domaine des salaires, des systèmes de négociation collective, d’action et d’organisation collective. Les salaires ne représentent pas un frein à l’économie, mais en sont le moteur.
    - Des dispositions pour protéger la croissance : l’exclusion des investissements publics qui soutiennent la croissance de la « règle d’équilibre budgétaire », la sauvegarde du secteur des recettes publiques en s’engageant pour lutter contre la concurrence, la fraude et l’évasion fiscales, un rôle structurel pour le dialogue social européen pour éviter une mise en oeuvre aveugle des règles économiques rigides qui nuiraient à l’économie.
    - Un Protocole de progrès social doit être joint aux traités européens pour garantir le respect des droits sociaux fondamentaux.

  • Appel à mobilisation unitaire contre le Pacte budgétaire

    La ratification du Pacte budgétaire par la France début octobre serait un évènement grave. Elle imposerait durablement une politique d'austérité.


    Nous, organisations associatives, syndicales et politiques, avons décidé de mener ensemble une vaste campagne d'éducation populaire et de mobilisation citoyenne, avec en particulier une grande manifestation unitaire le 30 septembre à Paris. L'intervention des citoyens dans le débat démocratique doit convaincre les parlementaires, particulièrement celles et ceux qui ont été élus sur la promesse d'une renégociation de ce Pacte budgétaire, de refuser sa ratification et de permettre ainsi la réouverture du débat en Europe.

    L'appel ci-joint est ouvert en permanence à la signature de toutes les organisations qui souhaitent contribuer à ces objectifs.

    Premiers signataires de l'appel :
    Aitec-IPAM, AC !, ANECR, Attac, CADTM, Cedetim-IPAM, CDDSP, CNDF, Les Économistes Atterrés, Fondation Copernic, Front de Gauche (Fase, C&A, Gauche anticapitaliste, Gauche unitaire, PCF, PCOF, Parti de Gauche, République & Socialisme), Marches Européennes, NPA, Résistance Sociale, Solidaires, Sud BPCE.

  • Goldman Sachs - La banque qui dirige le monde

    Bonsoir,

    Voici le lien, pour ceux à qui aurait échappé la diffusion sur ARTE de ce documentaire portant sur l'empire de la banque américaine Goldman Sachs (qui rappelons-le a placé trois de ses anciens serviteurs à la tête de la BCE, au sein du gouvernement grec et à la tête du gouvernement italien en l'espace de seulement un an. Un processus qu'on peut nommer "coups d'état" en bonne et dûe forme, sans grande crainte d'exagération).

    Même si vous n'êtes pas familier avec ce sujet (je sais, c'est pas toujours facile à aborder), croyez-en sur ma bonne foi : ça en vaut le détour. Et même si j'en ai déjà pas mal vu (y compris sur cette banque en particulier) à force de suivre attentivement l'actualité économique, sociale et environnementale, j'avoue avoir ai été assez impressionné par le travail de son(ses?) réalisateurs. Et davantage impressionné (agréablement il faut le dire) par l'ouverture que permet (encore) ARTE en le diffusant.

    C'est important de nous rappeler, alors même qu'on est sur le point de se faire imposer de force un traité contre lequel 72% des français souhaitent un référendum, quelles ont été les origines véritables de cette crise. Ce n'est pas d'un si lointain passé que cela dont je parle, ça remonte à peine à 5 ans en arrière. Et pourtant, force est de constater que l'oubli talonne aux portes de la raison la plus élémentaire lorsque j'entend nombre de gens nous dire (pour résumer) que la crise serait dûe aux dépenses trop gourmandes des états, de notre appétit pour notre modèle social favorisant la "paresse" et autres foutaises. La preuve est là que non, les vrais responsables sont là :


    Présentation sur le site d'Arte (le lien vers la vidéo est dans le titre) :

    Plus qu'une banque, Goldman Sachs est un empire invisible riche de 700 milliards d'euros d'actifs, soit deux fois le budget de la France. On l'appelle "la Firme", comme dans les romans d'espionnage des années 1980. Après s'être enrichie pendant la crise des subprimes en pariant sur la faillite des ménages américains, elle a été l'un des instigateurs de la crise de l'euro en maquillant les comptes de la Grèce puis en misant contre la monnaie unique. Un empire de l'argent sur lequel le soleil ne se couche jamais, qui a transformé la planète en un vaste casino. Grâce à son réseau d'influence unique au monde, et son armée de 30 000 moines-banquiers, Goldman Sachs a su profiter de la crise pour accroître sa puissance financière, augmenter son emprise sur les gouvernements et bénéficier de l'impunité des justices américaine et européennes.

    (France, 2012, 75mn)
    ARTE

    Date de première diffusion : Hier, 20h53

    Date(s) de rediffusion : Mercredi, 19 septembre 2012, 10h25
    Jeudi, 27 septembre 2012, 02h50

     

  • à l'adresse de citoyens, militants d'organisations syndicales et politiques.

      Briançon, le vendredi 31 Aout.

     Il y a urgence :

     Le nouveau traité européen a été signé très discrètement par Sarkozy et Merkel le 2 mars dernier.

    Le 22 août le Conseil des Ministres a décidé qu’il adopterait le 19 septembre le projet de loi portant ratification du TSCG  « Traité sur la Stabilité la Coordination et la Gouvernance » dans l’Union économique et monétaire, également appelé « Pacte budgétaire européen »pour le soumettre le 1er ou le 8 octobre à notre Parlement .

    C'est un hold-up sur la démocratie avec  la bénédiction du Conseil Constitutionnel Français !

    Son application entrainerait:
    1. la perte de la souveraineté budgétaire de la France, soumise à des sanctions automatiques des instances de l’Union Européenne.
    2. Un recul sans précédent des conquêtes et garanties sociales acquises par les travailleurs de ce pays depuis un siècle.
    3. Une plongée rapide vers les niveaux de crise sociale et économique imposés à la Grèce et à l’Espagne par les diktats de la «troïka» (FMI, BCE, UE).
    4. le pillage des ressources nationales au profit des banques et de l’Union Européenne dès 2013, par la ponction de 160 milliards d’Euros sur le PIB de la  France.

    Et par voie de conséquence :Une austérité sans fin pour notre pays, par une future série de mesures imposées, au détriment des seules classes laborieuses.

    Il faut empêcher la ratification de ce traité issu des accords imposés par l'Union Européenne, dont le MES - Mécanisme Européen de Stabilité - ou  la "règle d'or" Sarkozy/Merkel reprise par Hollande, car ce serait suite à l'usurpation du NON au TCE, un pas supplémentaire dans le démantèlement de la démocratie ; dans la remise en cause de la souveraineté des peuples et des États, des droits  et acquis  sociaux .(un texte explicatif suivra sur les imbrications entre le FMI, la BCE, l'UE , l'Euro , les dettes, et diverses solutions possibles qui supposent un vaste débat)

    Comme en 2005 pour le NON au TCE,  dans tout le pays, des initiatives sont prises, des comités se forment, des appels sont lancés pour bloquer la ratification, interpeller les élus …

    De partout des communiqués émergent : comme celui du 21 août signé par le POI, le M’PEP, la Gauche Communiste du PCF et le PRCF; celui  du Front de Gauche de cette semaine  s'opposant au traité et qui appelle en sus de l'exigence de référendum à une manifestation nationale; celui d'Attac qui propose une convergence des forces en vue d'une campagne éclair; ceux de FO et de la CGT qui prennent position contre  le traité tout comme la branche verte d'EE; ou encore de quelques élus socialistes qui ruent dans les brancards ... etc .

    Un sondage récent indique que 72% des Français souhaitent un référendum !

    Il est en effet urgent que, sans préjuger du point de vue différent des uns et des autres sur l’Union Européenne, et sur ses traités successifs, toutes les initiatives puissent converger autour d’un mot d’ordre unificateur :

     NON à la RATIFICATION

     C’est dans le but de nous mobiliser  sur les initiatives à prendre, de regrouper tous ceux, et celles  militant(e)s, citoyens(nes),  les organisations politiques, et syndicales , les associations , qui, sur le Nord des Hautes Alpes , se prononcent  d’une manière ou d’une autre contre la ratification du pacte budgétaire européen, que nous vous proposons à titre individuel ou au nom de votre organisation  de participer à ce comité, à la définition des actions  et à leur mise en œuvre, tels des réunions d'information dans des villages, lors d’évènements locaux  ou la manifestation nationale envisagée fin septembre.

    Pour ce faire nous vous convions, tous réseaux confondus, à une réunion  d'information/action  le jeudi 6 Septembre à 18h30  à la Salle des Associations sous le Cinéma Vauban

    Premiers signataires  (du Briançonnais) :

    Mado et Dédé Faure Brac ;  Guillaume Fassora, CGT ;  Marie-Danielle Dufourt ;  Michel Artigues  ;  Florence Gaillard  ;   Bruno Bouin, FdG ;  Nathalie Bojko, FSU ;  François Roux , PG ; Joel Pruvot , EE/Verts ; Cathy Lionnet , FSU ; Jean-Claude Herschon, POI ; Maurice Latapie , M-PEP ; Bruno Zannin ,Sud ; Luc Chardronnet, NPA;.....etc...

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     En accord avec ce texte, je rejoins ou je soutiens  le Comité 05 Nord contre la ratification du nouveau traité européen TSCG et le fais connaître autour de moi.

     Je joins mon nom aux appelants  signataires (ou je reste dans la discrétion).

    En retour je serai averti des participations à la rédaction et distribution de tracts ou communiqués, aux interpellations d’élus, aux actions départementales, nationales...

    nom :  
    prénom:                                         vos nom et prénom seront diffusables :  oui  /  non                                
     
     votre adresse mail qui ne sera pas communiquée  :
    ou/et n° tél  :                                                                                    

    contact et correspondance par  comite05-refus-TSCG@wanadoo.fr