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  • Le gestionnaire du blog est en vacance jusqu'au 3 Septembre

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    En cadeau cette photo prise à proximité du village de PRAPIC dans le HAUT CHAMPSAUR (05)

  • Les 10 raisons de dire non pour rouvrir le débat européen

     

    « Le poids de la dette est devenu écrasant. L’État verse ainsi près de 50 milliards d’euros par an à ses créanciers. Cette somme représente la première dépense, juste devant le budget de l’Éducation nationale; elle est supérieure aux budgets de la recherche, de la justice et de la sécurité réunis. C’est inacceptable ! La dette, c’est moins d’écoles, moins de crèches, moins d’hôpitaux, moins de transports publics...»

    C’est Jean-Marc Ayrault qui parlait ainsi de la dette publique dans son discours de politique générale en juillet dernier.

    Mais pour remédier à cette situation, il reprend l’objectif affiché par François Hollande, une réduction à marche forcée du déficit public, visant 3% du PIB dès 2013 et le déficit « zéro » en 2017.

    Ce n’est pas un hasard : le déficit « zéro » est l’objectif n°1 du Pacte budgétaire, le nouveau traité négocié par Sarkozy et Merkel pour imposer définitivement l’austérité comme seule politique possible en Europe.

    François Hollande avait promis lors de sa campagne de rompre avec cette logique mortifère. Mais, à l’issue du sommet européen des 28 et 29 juin, le nouveau président français a finalement accepté de ratifier le Pacte.

    Selon lui, il aurait obtenu des mesures de croissance permettant de « réorienter l’Europe ».

    C’est faux : le Pacte budgétaire, inchangé, est toujours aussi nocif, et le pseudo-« Pacte de croissance » adopté le 29 juin n’est que poudre aux yeux. Au moment où l’Europe s’enfonce dans une inquiétante récession provoquée par les politiques d’austérité, ratifier le Pacte budgétaire signifie accélérer la course à la catastrophe.

     

    Les 10 raisons de dire non pour rouvrir le débat européen

    LIRE et TELECHARGER le tract

     

  • GAP: Stade de glace

    LIRE le dernier article du DL.
     
    Lors de la dernière séance du conseil municipal, l'investissement prévu qui était de 16 millions TTC est passé à 17 millions TTC suite à la révision des prix (+ 780 000 € HT). Des travaux supplémentaires seraient annoncés lors de la séance du conseil municipal du 28 septembre.
    A ma connaissance la subvention du conseil régional ne serait toujours pas acquise.
    Concernant les tarifs publics, ils vont augmentés entre 40 et 80%. Nous avions votés contre, au dernier conseil municipal, les tarifs publics proposés par la majorité. (exemples: le tarif d'entrée passe de 3,50 € à 5 € et la carte de 10 entrées sans patin passe de 17,50 € à 31,50 €)
     

  • La citation du jour