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  • Square Dunant et place de la République à Gap

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    Rassemblement organisé par la société Alpine de Protection de la Nature (SAPN)

     

    Prochain rassemblement le vendredi 9 septembre à 16h30.

  • Square Dunant et place de la République à Gap

    Le massacre a commencé !!

    Le marronnier du square Dunant qui était centenaire a été coupé et dans quelques heures ou quelques jours c'est les 10 arbres de la place de la République qui seront sacrifiés.

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  • Détournement du 1% logement : le gouvernement persiste et signe

    lundi 5 septembre 2011

    Les 3,68 milliards détournés du budget d’Action logement (ex 1 % logement) entre 2009 et 2011 ne lui ont pas suffi. Le gouvernement a en effet annoncé le maintien de ce hold-up à hauteur de 3.25 milliards d’euros sur trois ans, jusqu’en 2014.

    Ce détournement a pour seul objectif de pallier les désengagements de l’Etat en matière de construction de logements et de rénovation urbaine. Les caisses de l’ANRU (Agence Nationale de la Rénovation Urbaine) et de l’ANAH (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat) sont vides, alors le gouvernement pioche l’argent où il le veut, compromettant à chaque fois la réalisation de milliers de logements qui perdent de fait leur financement. Ainsi ce sont 70 000 logements sur toute la France, et 45 000 logements pour les jeunes qui sont menacés de ne pas sortir de terre par cette décision unilatérale du gouvernement.

    Alors que les responsables d’action logement estiment à 25 % la part maximum de leur budget pouvant être alloué sous forme de subventions, toute ponction supérieure menaçant l’équilibre du dispositif, l’Etat persiste et signe en maintenant des prélèvements supérieurs à 30 % (et jusqu’à 45 % prévue pour 2014). Au moment où les ressources propres d’Action logement sont en baisse de 200 millions d’euros entre 2010 et 2011, on voit que l’attaque est brutale.

    On retrouve là la même logique que celle qui avait conduit au prélèvement arbitraire par l’Etat de 245 millions d’euros sur le budget des offices HLM en 2010 pour pallier (déjà !) son désengagement vis-à-vis de la rénovation urbaine, un prélèvement dont les conséquences ont été dramatiques sur la production de logements sociaux.

    Cette politique inique de l’Etat est dans la ligne directe des attaques répétées que la Droite au pouvoir a entrepris contre le logement social. Baisse du budget ville et logement de 200 millions en 3 ans, baisse des aides à la pierre de 135 millions, baisse des APL de 90 millions, mise en œuvre de la loi Boutin mettant en place des surloyers exorbitants. Le seul leitmotiv de la Droite sarkozyste : réaliser une France de propriétaires, fussent-ils à crédit.

    L’Association Nationale des Elus Communistes et Républicains dénonce fortement ce nouveau détournement de l’Etat des ressources d’Action logement. Elle demande l’ouverture de vraies négociations contractuelles entre l’Etat, le patronat et les syndicats, pour aboutir à une solution qui ne mette en péril ni le fonctionnement d’Action Logement, ni la programmation de construction de logements prévue.

    En ôtant à tous les organismes, que ce soient Action logement ou les offices HLM, les moyens de réaliser des logements, le gouvernement ne règle pas la crise, il l’accentue. Avec pour résultat de plus en plus de familles à la rue, ne trouvant pas à se loger. Quand on voit que le budget dédié à l’hébergement d’urgence va être réduit par l’Etat de 30 %, que celui des Centres d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) est diminué de 10 à 25 %, toujours par l’Etat, on se dit que la situation ne pourra pas s’arranger tant que ce gouvernement ne prendra pas ses responsabilités en augmentant les financements publics pour construire massivement des logements, plutôt que de siphonner les organismes chargés de les réaliser.

    Jean Jacques Porcheron Coordinateur du collectif logement de l’ANECR

  • PROTECTION SOCIALE


    LES MUTUELLES ET LES SYNDICATS ENSEMBLE CONTRE LA TAXE SUR LES CONTRATS SANTÉ

     

    L'abandon de la taxation sur les complémentaires santé est une des revendications portées par la journée nationale d'action organisée le 11 octobre 2011 par les syndicats CGT, CFDT, FSU, UNSA et Solidaires. Pour les Mutuelles de France les conditions existent d'une action rassemblée des acteurs sociaux pour obtenir la suppression de la taxe de 7% sur les contrats de santé solidaires.

    Pour les Mutuelles de France : " La colère des mutuelles contre le projet du gouvernement de taxer lourdement et brutalement les complémentaires santé est partagée non seulement par les associations de maladies, par de grandes organisations de consommateurs mais également par les plus importantes centrales syndicales. L’abandon de la taxation des complémentaires santé est une des principales revendications que les syndicats entendent défendre le 11 octobre prochain à l’occasion d’une journée nationale d’action. Cette prise de position nous conforte dans notre conviction que les acteurs sociaux rassemblés peuvent créer dans le pays un vaste mouvement d’opinion pour défendre une vision solidaire de la protection sociale et du bien public.


    Ni la sécurité sociale ni les mutuelles ne sont une variable
    d'ajustement de la crise financière

    Ni la Sécurité sociale, ni les services publics, ni les mutuelles ne sont une variable d’ajustement de la crise financière et de la dette souveraine. L’équilibre des comptes publics, ceux des comptes sociaux doit être trouvé dans une réforme fiscale qui rétablisse l’égalité de tous devant l’impôt et sur une assiette des cotisations sociales élargie à la valeur ajoutée des entreprises.
    Les Mutuelles de France appellent tous ses groupements à rencontrer le plus vite possible dans les départements, dans les régions, les organisations syndicales pour examiner ensemble les conditions
    • d’une intervention commune auprès des députés et sénateurs à l’occasion du débat parlementaire sur la loi de finance rectificative,
    • de la contribution des mutuelles à la préparation et à la mobilisation la plus large des adhérents mutualistes aux actions du 11 octobre prochain. C'est dans cet état d'esprit et avec cette détermination que la Fédération des mutuelles de France vient d'adresser une Lettre ouverte au Premier ministre pour lui demander le retrait immédiat de la taxe santé."
  • CERISES

    LIRE le N° 113