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La lettre du groupe d'opposition G.A.U.C.H.E.
LIRE le dernier numéros de notre lettre, qui fait suite à la séance du 29 septembre 11 du conseil municipal de la ville de Gap.
Bien cordialement,Françoise et Jean-Claude -
MARDI 11 OCTOBRE TOUS DANS L’ACTION
Une autre issue à la crise est possible !Une issue autre que :
- l’austérité
- la diminution du pouvoir d’achat
- le recul de l’emploi public et privé
- la limitation de l’accès aux études.
Pour relancer la croissance, en respectant les impératifs de
développement durable, réduire les inégalités et maîtriser les
déficits, mobilisons-nous pour imposer d’autres choix politiques
visant une meilleure répartition des richesses et favorisant le
développement économique et social.
Les organisations syndicales CGT, FO et FSU et des Hautes-
Alpes appellent les jeunes, les actifs, les privés d’emploi, les
retraités et tous ceux qui n’acceptent pas la situation actuelle à se
mobiliser mardi 11 octobre, journée nationale et interprofessionnelle
de revendications.
MANIFESTATION à GAP
Esplanade de la Paix
(Devant la cité Desmichels) à 11 H -
Louis Jean imprimeur à Gap
Ce matin j'ai rencontré le personnel.
C'est un véritable gâchis humain.
Des compétences, un savoir faire, un personnel formé et motivé.... et au bout l'entreprise sera liquidée.
Je suis consterné par cette situation et l'attitude du cinquième repreneur qui aura pillé ce fleuron de l'imprimerie en France.
JC Eyraud
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Non à la dégradation de l’accès aux soins.
Le gouvernement a décidé de doubler la taxe sur les contrats santé solidaires et responsables ! Les mutuelles sont des organismes à but non lucratif.
Tout l’argent des cotisations de leurs adhérents est consacré à l’organisation
de leur protection sociale. Elles ne versent pas de dividendes à des actionnaires.
Taxer les mutuelles, c’est taxer 38 millions de Français, c’est créer un nouvel impôt sur la santé.
C’est dangereux : de plus en plus de nos concitoyens renoncent aux soins
pour des raisons financières. Ce nouvel impôt a pour effet implacable de dégrader ou d’empêcher l’accès aux soins.
C’est injuste : alors que le taux de remboursement par la Sécurité sociale des soins de ville (médecine générale, optique, dentaire...) est descendu à 55 %, avoir une mutuelle est aujourd’hui essentiel pour chaque foyer.
Une mutuelle n’est ni un privilège, ni un signe extérieur de richesse.
Les signataires de cette pétition demandent au gouvernement de renoncer à affaiblir encore une fois la protection sociale des Français et de renoncer à l’impôt sur la santé. -
Ruralité
Les Maires Ruraux demandent au Sénat d’oeuvrer à un développement équilibré et audacieux des territoires
mardi 27 septembre 2011
Les Grands électeurs ont renouvelé pour moitié le Sénat, qui après l’élection de son président le 1er octobre prochain se remettra au travail.
Ils ont adressé un message qui s’inscrit dans les mises en garde répétées qu’ont pu faire les Maires ruraux sur les objectifs et les conditions de mise en place de la réforme des collectivités territoriales, sur les conséquences des mesures uniformes de la RGPP, sur les choix qui pénalisent les territoires en matière fiscale et de finances locales.
Les maires ruraux, depuis 40 ans, plaident pour que l’ensemble des collectivités de France, soient respectées, représentées et entendues dans leurs spécificités.
Nous ne sommes pas surpris par les résultats du scrutin de 25 septembre.
Le Sénat dès ces prochaines semaines doit traduire cette aspiration à une plus grande écoute de tous les territoires, y compris ruraux qui aspirent à ce qu’une véritable politique d’aménagement du territoire émerge dans notre pays. Il doit contribuer à restaurer une relation de confiance entre l’Etat et les élus locaux, qui respecte leur autonomie et facilite leur capacité à agir. L’originalité de l’organisation spatiale et politique française, autour et à partir de la commune, est une chance pour renforcer les conditions d’un développement équilibré au service des populations.
Nous invitons instamment les sénateurs, anciens et nouvellement élus, de toutes sensibilités, à mieux prendre en considération dans leurs travaux parlementaires les territoires à travers leurs potentiels humain et économique. Les territoires ruraux voient à nouveau leur population croitre. Ce contexte doit être le départ d’une nouvelle donne.
Les élus des 36000 communes de France, les maires ruraux et leurs conseils municipaux demandent une approche rénovée des relations entre l’Etat et les collectivités territoriales qui fasse davantage de place à l’écoute et au dialogue. Ils demandent aux Sénateurs de mieux prendre en compte l’ensemble des territoires, et notamment l’évolution des relations entre villes et campagnes.
L’AMRF invite le futur président du Sénat à venir dialoguer et entendre la voix des Maires ruraux pour un échange ouvert à l’occasion du Congrès national des Maires ruraux qui aura lieu le 8 octobre dans la Vienne.