Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ENSEMBLE 05 - Page 310

  • Les Hautes-Alpes à Paris le 5 mai !

    Transport en bus organisé par le Front de Gauche 05
    (Aller et retour dans la journée)

    Renseignements et inscriptions :
    courriel : 5mai.fdg05@gmail.com
    tél : 0963698699
    La participation financière demandée
    sera libre selon les moyens de chacun.
     
    Alors ? on le change ce système ? on se la fait cette constituante ? On les partage ces richesses ?
C'est officiel, il y a un bus au départ du 05 en participation libre !
Les Hautes-Alpes à Paris le 5 mai !
Transport en bus organisé par le Front de Gauche 05
( Aller et retour dans la journée)
Renseignements et inscriptions :
courriel : 5mai.fdg05@gmail.com 
tél : 0963698699
La participation financière demandée
sera libre selon les moyens de chacun.

  • TOUS CAPABLES !

    Capables réunion du 1 er mai 1.JPGCapables réunion du 1 er mai 2.JPG

  • Le 5 MAI à PARIS

    aff_5mai1.jpgTout savoir sur l'organisation de la marche pour la 6ème république en cliquant sur le lien:

    http://www.marchepourla6eme.fr/

  • Il est temps que le peuple s’en mêle.

            « Contre la finance et l’austérité, marche citoyenne pour la 6ème République »


    La lamentable affaire Cahuzac n’est pas seulement la faillite d’un homme. C’est celle de la Cinquième République et des politiques entièrement soumises au règne de la finance.

    Alors que le pays s’enfonce dans la crise, il est urgent de rompre avec les politiques d'austérité en France comme en Europe, d’en finir avec le dogme de la réduction des dépenses publiques qui appauvrit les peuples et la domination des actionnaires qui licencient pour accroître leurs profits. . Il faut abandonner toutes les politiques, les traités, les lois et les projets de lois qui les traduisent, tel que l’ANI. Pour répondre aux besoins sociaux et environnementaux, tout en soutenant les services publics et la défense des biens communs, il faut donner la priorité à une autre  répartition et contrôle des richesse, à l’appropriation sociale, aux droits fondamentaux et à la réduction du  temps de travail.

    Il est urgent d’en finir avec ces institutions issues d’une époque révolue. D’année en année, l’abstention, la défiance et le dégoût envers le système politique ne cessent de progresser. Cette Constitution érige en vertu l’irresponsabilité devant le peuple, admis à voter sur les grandes orientations nationales une fois seulement tous les cinq ans. Elle installe un bipartisme qui enferme les choix du pays. Elle a permis la forfaiture du traité de Lisbonne en violation du « non » des Français au Traité constitutionnel européen de 2005 puis la ratification sans débat populaire du traité Merkozy contrairement aux engagements du candidat Hollande. Elle est le moyen d’imposer au pays des politiques d’austérité fauteuses de chômage et de pauvreté alors qu’elles sont insupportables au grand nombre et de plus en plus contestées au sein même de l’actuelle majorité parlementaire. Elle bloque tout changement qui pourrait mettre à bas la petite oligarchie en place et son ordre social conforme aux intérêts de la finance. Elle se dit garante d’un « pouvoir fort » mais ne fait rien face à la finance, face à l’Europe austéritaire, face aux délocalisations.

    Pour instaurer une démocratie véritable, il est temps de fonder une nouvelle République. Pour en finir avec la domination des marchés financiers, nous avons besoin de la souveraineté du peuple, seule à même de viser l’intérêt général. I nous faut une démocratie qui repose sur l’implication et la mobilisation des femmes et des hommes, la construction de nouveaux rapports de forces favorables aux travailleurs et aux citoyens. Il faut une Sixième République, décidée souverainement par toutes et tous, et l’élection d’une Assemblée constituante.

    Parce que l’affaire Cahuzac n’est pas une crise passagère, les propositions du président de la République ne sont pas à la hauteur. Elles n’arrêteront pas la décomposition accélérée des institutions. Nous nous opposons radicalement à la droite et l’extrême droite qui en profitent pour faire reculer l’égalité, au nom du refus du mariage pour tous. Une véritable refondation démocratique, sociale et écologiste du pays à travers un processus constituant s’impose. Nous appelons donc toutes les citoyennes et tous les citoyens attachés à l’égalité, toutes les forces de gauche, écologistes et du mouvement social favorables à ces objectifs, à marcher le 5 mai prochain contre la finance et l’austérité, pour la Sixième République. Il est temps que le peuple s’en mêle.

     

     

  • Mariage pour tous : fin du débat à l'Assemblée nationale après une nuit agitée


    Les députés ont achevé tôt ce matin l'examen du projet de loi autorisant le mariage entre personnes de même sexe, après deux jours de débats et une nuit particulièrement agitée. L'hémicycle a en effet échappé de peu à une bagarre, échauffé par les manifestations des opposants au projet qui se déroulaient à l'extérieur.
    Entamés mercredi, les débats se sont achevés à 07h35 ce matin, ce qui ouvre la voie au vote définitif du texte mardi prochain. Aucun amendement n'a été adopté. L'UMP a déjà indiqué qu'elle envisageait un recours devant le Conseil constitutionnel.
    Dans la nuit, l'hémicycle a échappé de peu à une bagarre. Dans la confusion, des députés de l’opposition, excédés par une mimique d'un collaborateur du ministre de la Justice se sont précipités au bas de l'hémicycle, créant plusieurs minutes de tension physique. Aux cris de «
    dehors, dehors », ils se sont approchés des bancs du gouvernement. Des huissiers et le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, se sont interposés pendant plusieurs minutes.
    « Des coups de poings sont partis », a même affirmé le député du Nord, Bernard Roman. Une huissière aurait reçu un coup, selon des sources parlementaires.
    Ce sont les allers-retours de certains députés UMP entre l’extérieur de l’Assemblée nationale, où les manifestants opposés au mariage pour tous s’étaient une nouvelle fois regroupés, et l’intérieur de l’hémicycle qui ont nourri et fait déraper les débats à propos de l’action de la police face aux manisfestants.
    « Cela fait trente ans que je siège dans cet hémicycle, je n'ai jamais vu cela », a réagi Alain Vidalies, tandis que le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, a condamné cette « descente avec menace physique ». Ce matin, Claude Bartelone a annoncé qu’il demanderait que le bureau de l’Assemblée nationale, qu’il préside, prenne des sanctions contre les députés qui ont failli en venir aux mains. « Je présenterai les images de cet incident à la prochaine réunion du bureau et je demanderai qu’il puisse y avoir des sanctions car il y a des choses qui ne peuvent être acceptées », a-t-il déclaré.
    Hier, le président de la République était intervenu pour condamner les dérapages observés depuis plusieurs jours. Selon François Hollande, qui s’exprimait en marge d’un déplacement à l’aéroport de Roissy Chalres-de-Gaulle sur la sécurité, les opposants au texte « ne demandent pas un report mais le fait que cette loi ne puisse jamais intervenir ». Il avait aussi demandé qu’on « laisse le Parlement terminer son travail ».

    Télécharger le texte adopté par l’Assemblée nationale.