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ENSEMBLE 05 - Page 303

  • L'esprit de résistance

    Aujourd'hui 27 mai nous fêtons le 70ème anniversaire du conseil National de la Résistance.

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    http://felina.pagesperso-orange.fr/social/programme_cnr.htm

     

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  • DÉCLARATION DU MOUVEMENT DE LA PAIX

     


    logo.jpg100ème anniversaire du discours pacifiste de Jean Jaurès contre la loi de 3 ans de service militaire 

    Déjà le 25 mai 1913, la guerre n’était pas la solution !

    Le 25 mai 1913, il y a 100 ans au Pré-Saint-Gervais devant 150 000 personnes, Jean Jaurès prenait la parole pour combattre le passage du service militaire de 2 à 3 ans. Plus d’un an avant son assassinat - 31 juillet 1914 - et avant le début de la Guerre - 2 août 1914 -, l’État français se préparait.

    Le 25 mai 1913 était le jour anniversaire de la Commune et les citoyens voulaient se rendre au mur des fédérés, cimetière du Père-Lachaise. L’interdiction expresse de se regrouper en ce lieu a déterminé la SFIO et Jean Jaurès à appeler à un rassemblement à la butte du Chapeau Rouge au Pré-Saint-Gervais, commune dont le maire était socialiste depuis 1904.

    La manifestation en mémoire de la Commune se transforma donc cette année-là en un vaste meeting pacifiste conçu comme le point d’orgue de la campagne contre le rétablissement de la loi de 3 ans de service militaire. Grand orateur, Jean Jaurès a catalysé la foule, balançant des drapeaux rouges. Les premiers reporters photographiques nous en ont laissé de belles images.

    L’assassinat le 28 juin 1914 de l’archiduc François Ferdinand, prince héritier du trône d’Autriche-Hongrie à Sarajevo n’était donc qu’un prétexte et les grandes puissances cherchaient à nouveau à se prendre ou se reprendre les richesses de l’Europe.

    Donc, bien avant 1913, la guerre se préparait.

    Le Mouvement de la Paix salue la mémoire et le courage des pacifistes de la période qui a précédé la guerre de 1914/ 1918 : Jean Jaurès est le plus connu, mais bien d’autres de France et d’autres nations ont eu le courage de dire « non » à la fatalité de la guerre.

    De 2014 à 2018, la France et d’autres pays d’Europe commémoreront officiellement la « Grande Guerre ». Le Mouvement de la Paix entend y prendre sa place et y faire entendre sa voix notamment pour éclairer, de ses idées et ses luttes pacifistes, l’Histoire de cette période.

    En 2014, au-delà de la place que nous essaierons de prendre dans les commémorations officielles, nous proposons aux organisations et aux personnes qui se retrouvent dans la démarche, de co-organiser des commémorations alternatives. Elles auront pour but de faire connaître les efforts multiples et déterminés des pacifistes qui nous ont précédés, valorisant ainsi aujourd’hui la culture de la paix.

    Ni eux, ni leurs idées ne doivent être oubliés : ensemble, soyons-en les artisans.

     

    Déclaration produite lors du forum des Comités du Mouvement de la Paix

    La Rochelle, le 19 mai 2013

     



    [1] L’agenda 2014 du Mouvement de la Paix les mettra à l’honneur

  • Réaction

    Suite à l'agression de Cédric Cordier militaire au 4ème chasseur de Gap qui a eu lieu hier après midi à Paris, je tiens à affirmer mon émotion et ma solidarité envers sa famille et mon soutien à nos militaires.

    Prompt rétablissement à Cédric.

    Jean-Claude Eyraud

    conseiller municipal de Gap

     

     
  • HOMMAGE à un IMMENSE POETE

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    http://www.dailymotion.com/video/x105547_georges-moustaki-ma-liberte_webcam#.UZ5gU9iROuJ

    Par Josepha Coccinelle

     

    Georges Moustaki, nous à quitté jeudi 23 mai 2013 de son vrai nom Giuseppe Mustacchi, est né le 3 mai 1934 à Alexandrie, de parents juifs grecs immigrés en Égypte. Il s'est installé à Paris en 1951 et y a fait une rencontre déterminante, celle de Georges Brassens qui l'a intronisé dans les nuits de Saint-Germain-des-Prés. C'est en son hommage qu'il a adopté le prénom Georges.

  • Communiqué de la Ligue des Droits de l’Hommes

     

    Les résidents étrangers voteront aux élections municipales de 2020... Chiche, monsieur le Président !

    mercredi 22 mai 2013


    Mauvaise nouvelle : après trente-deux ans de débat, tous les résidents étrangers devaient pouvoir voter aux élections municipales de mars 2014. Et ainsi avoir le droit, comme tous les citoyens français et européens, de donner leurs points de vue sur l’élection du maire et la gestion des affaires courantes de la commune où ils résident. Mais le président de la République a décidé qu’il n’y aurait pas, en 2013, de révision de la Constitution pour le permettre.

    Bonne nouvelle : après six mois de silence, le président de la République annonce qu’il présentera au Parlement, après les élections municipales de mars 2014, un projet de loi constitutionnelle pour accorder le droit de vote aux étrangers non communautaires aux élections locales.

    Alors, bonne ou mauvaise nouvelle ? Comme l’affirme la sagesse populaire, « il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour ». Le président de la République et son Premier ministre doivent donc s’engager sur un calendrier précis d’élaboration du projet constitutionnel et de sa présentation devant les Assemblées, puis devant le Congrès.

    Nous voulons que toutes les conditions soient réunies pour permettre le débat citoyen nécessaire et pour créer les moyens d’aboutir à un accord capable de dégager une majorité qualifiée au Congrès.

    Il faut donc que ces engagements soient rendus publics avant le début de la campagne des municipales de mars 2014 pour que le Congrès soit réuni, au plus tard, en juillet 2014.

    Trente ans après la « Marche pour l’égalité et contre le racisme », qui portait déjà cette revendication, la Ligue des droits de l’Homme réaffirme que l’on peut gagner et qu’il est urgent de donner un signe fort à tous les citoyens, pour l’égalité des droits.

    Le droit de vote et d’éligibilité de tous les résidents étrangers aux élections locales, c’est la démocratie, c’est la République !