Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ENSEMBLE 05 - Page 302

  • TOUS CAPABLES !

    capables 5_06-1.JPGcapables 5_06-2.JPG

  • Rassemblement du 19 juin Déclaration des organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, UNSA, membres de la CES

    Les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, UNSA membres de la Confédération européenne des syndicats s’inscrivent dans la campagne décidée par la CES en vue du Conseil européen des 27 et 28 juin 2013 qui doit examiner une feuille de route pour une dimension sociale de l’Union économique et monétaire (UEM).

    Les politiques d’austérité font la démonstration de leur inefficacité, l’Europe doit changer de cap. Si les politiques économiques coordonnées et l’objectif d’assainissement des finances publiques sont nécessaires, les organisations syndicales françaises membres de la CES considèrent cependant qu’il est urgent de mettre fin à des coupes injustes dans les dépenses publiques qui contribuent à augmenter le chômage, les inégalités, la pauvreté, dégradent les services publics et aggravent la récession.

    Elles se prononcent en faveur d’une politique d’investissements favorisant une croissance et des emplois durables, des mesures permettant de mettre fin à la concurrence en matière de salaires et de conditions de travail, à la concurrence fiscale, à la fraude et à l’évasion fiscale. C’est le sens de la proposition de contrat social pour l’Europe qu’elles soutiennent. Cela doit se traduire notamment par l’instauration d’un salaire et de revenu minimums dans chaque Etat européen et la mise en œuvre d’initiatives en faveur de l’emploi des jeunes.

    La dimension sociale de l’Europe doit faire partie intégrante de la gouvernance économique et budgétaire. Dans cet objectif, les partenaires sociaux doivent être associés au niveau national et au niveau européen, aux différentes étapes des processus d’élaboration des politiques au sein de la gouvernance économique et sociale européenne. Le dialogue social doit permettre d’apporter des solutions justes aux problèmes auxquels sont confrontés les salariés.

    A leur demande, la CES et les organisations syndicales françaises qui en sont membres seront reçues par le Président de la République le 19 juin. Elles lui feront part de leurs demandes et attendent du chef de l’Etat et du gouvernement qu’ils portent ces objectifs et ces priorités lors du Conseil européen des 27 et 28 juin 2013.

    En appui à cette démarche et dans le cadre d’une campagne syndicale européenne, les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, UNSA appellent à participer au rassemblement qu’elles organiseront à Paris le 19 juin, jour de la rencontre de la Secrétaire générale de la CES et des Secrétaires généraux et présidents des organisations françaises avec le Président de la République.

    Paris, le 29 mai 2013

  • Un rendez-vous manqué par absence de démocratie !

     

    attac 05

    Centre social du centre- ville

    Rue Pasteur prolongée

    05000 GAP                                                                         le 26 mai 2013

    Communiqué

     

    Un rendez-vous manqué par absence de démocratie !

    Vous avez été nombreux à réagir au refus par Karine Berger d’un débat avec les 80 citoyens présents vendredi 10 mai à 20h au Royal.

     

    Ce rendez-vous citoyen se voulait un moment d’échange, de démocratie participative pendant lequel les associations organisatrices et les citoyens auraient pu interroger Karine Berger sur son action de député depuis un an, parler des problèmes de notre département, entendre l’appréciation de la situation par notre députée, la motivation de son point de vue sur les décisions prises et les prochaines étapes de l’action gouvernementale et de l’assemblée législative ...

     

    Karine Berger malgré l’insistance des organisateurs a refusé le débat, n’acceptant de répondre qu’aux questions déposées par les associations, en menaçant de quitter la salle si des interpellations venaient de la salle sans être immédiatement interrompues ".

    Sur son site on pouvait lire "19h – Gap – Réunion débat avec des associations".

     

    Certains reprochent aux organisateurs  d’avoir décidé de maintenir la rencontre malgré la réactions de notre députée 4 jours avant le rendez-vous prévu. Le choix n’était pas simple .

    Nous avions négocié depuis 4 mois avec les associations et le secrétariat de Karine Berger

        pour trouver une date compatible avec les agenda de chacun et avec la disponibilité des salles municipales

    -      pour se mettre d’accord sur une liste de questions pas trop longue pour laisser place au débat.

     

    Aurions nous dû tout laisser tomber …………………….. ????

     

    Par contre nous pensons qu’il ne faut pas en rester là mais utiliser ce rendez-vous manqué pour réaffirmer ce que nous attendons de la démocratie et de notre député : En particulier :

     

    ·        qu’elle nous représente à l’assemblée nationale et donc qu’elle nous écoute

    ·        qu’elle ne se contente pas de nous rapporter "la bonne parole" du gouvernement et du PS

    ·        qu’elle accepte de considérer ses électeurs comme des gens sensés et intelligents auprès de qui elle peut apprendre des choses dans le cadre d’un débat public serein et constructif 

    ·       de rapprocher nos élus des citoyens, au lieu de creuser le fossé qui nous sépare cruellement. 

     

    Nous confirmons notre volonté de poursuivre la construction d’une démocratie participative sur notre département.

     

    Pour le Bureau d’attac 05

    attac05@attac.org

     

  • Le gymnase centre de Gap, la preuve par l'image !

    Lors de la dernière séance du conseil municipal, nous avons posé la question orale suivante:

    "GYMNASE CENTRE

    Nous l'avons évoqué en commissions, le gymnase centre est dans un état de vétusté qui nécessite d'engager d'urgence des travaux de rénovation.

    Il y a notamment la toiture, les écoulements, le plafond de la salle de basket au 1er étage, la salle de judo, les moisissures, l'éclairage, les peintures à refaire...

    Cet établissement, qui reçoit de nombreux sportifs, doit pouvoir bénéficier  d'une remise à niveau dans un  délai très rapide".

    Le maire dans une réponse provocatrice et disproportionnée n'a pas hésité à nous ridiculiser en indiquant qu'il ne mettrait pas 1 euros d'entretien dans cet établissement d'ici la fin du mandat.

    Voir ci-après les photos qui se passent de commentaires.

    20130316_094059.JPG20130316_094201.JPG20130316_094221.JPG20130316_094252.JPG20130316_094745.JPG20130316_094812.JPG

     

  • Syrie : Défendre la voie de la raison sans la voie des armes

    logo.jpgLa guerre civile sévit en Syrie. La France et la Grande-Bretagne ont obtenu des ministres des Affaires étrangères européens, l’autorisation de lever l’embargo sur les ventes d’armes qui touchait les Syriens dits « rebelles » opposés à l’armée du régime de Bachar el Assad.

    Cette décision ne doit pas faire oublier que rien n’a été fait pour le respect du « dit » blocus sur les armes depuis plus d’un an. Or, l’argument du rééquilibrage des forces en présence pour permettre des négociations politiques nous est maintenant présenté comme ultime solution pour venir en aide au peuple syrien. En conséquence, une fois de plus la voie des armes prime sur la voie diplomatique.

    Ne soyons pas dupes, l’argument de la solidarité et de la démocratie ne saurait tenir. L’histoire est là pour nous souligner l’impasse : la voie des armes c’est plus de violence, plus d’horreur, plus de chemin à parcourir pour se relever. Osons mettre en évidence les intérêts des grands pays marchands d’armes qui sont avant tout orientés par la situation géostratégique de la Syrie.

    Nous appelons la France et tous les pays de l’Union européenne à tout faire pour éviter la prolongation de l’effusion de sang et à soutenir les discussions de paix « Genève 2 ». Ils doivent favoriser la participation de tous les acteurs de la région, sans exclusive, pour assurer le succès de la conférence.

    C’est la juste réponse à la voie de la non-violence à laquelle la majorité du peuple syrien aspire depuis de longs mois et issue de l’élan démocratique du printemps arabe.

    Le temps de la pacification de ce conflit doit être pris pour que cette situation n'embrase pas la région et que le peuple syrien ne soit plus l'otage de la culture de guerre.

     

    Le Mouvement de la Paix

     Saint-Ouen, le 28 mai 2013