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ENSEMBLE 05 - Page 235

  • Le PCF 05 a raison !

    Il faut barrer la route à la droite et dénoncer le comportement d'un gouvernement qui depuis les présidentielles ne cache plus son adhésion aux politiques libérales et les encourage aux détriment de l'emploi et du lien social plongeant les Françaises et les Français dans le plus grand désarroi.

    Mais alors, pourquoi avoir rejoint le représentant de ce gouvernement ?

    L'attitude du PCF est celle des pompiers-pyromanes, allumant des incendies en participant à une liste gouvernementale dont on connaît les effets sur les Gapençaises et les Gapençais comme tous les Français, pour ensuite expliquer qu'ils sont les seuls à pouvoir arrêter le sinistre.

    Mais alors, pourquoi une telle distorsion entre les paroles et les actes ?

    La lourde responsabilité des décisions commence à changer de camp et l'on s'aperçoit, petit à petit, tour après tour, que seuls les Tous Capables maintiennent une cohérence de parole et d'acte.
    Assumant le refus d'une politique d'austérité qui veut faire payer au public les déficits et donner les bénéfices au privé.

    La lourde responsabilité de ne pas faire barrage à la droite et au delà des clivages politiques d'amortir pour les plus démunis le choc frontal qu'est cette crise est à porter par ceux qui par choix de carrière ou de survie politique déclenchent des incendies dont ils ne maîtrisent pas les conséquences.

    Seule la liste des Tous Capables conduite par Jean-Claude EYRAUD fera ce qu'elle dit et l'a prouvé durant ces six dernières années d'opposition.

    Le 30 mars votez pour la liste de Jean-Claude EYRAUD car ensemble une autre ville est possible.




  • Réponse au tract odieux de M. Didier

    Nous nous étonnions de ne pas avoir fait l'objet d'un tract odieux comme seule l'équipe communicante de Roger Didier sait le faire.
    Oui, M. Didier traite son opposition comme il traite le personnel municipal ;  il était surprenant qu'il ne nous ait pas encore montré son vrai visage.
     
    Et bien voilà, ... comme Zorro, le  tract est arrivé (LIRE).
     
    Sauf qu'il nous a bien fait rire...
     
    Avez-vous remarqué que M. Didier, tel Alain Delon, parle de lui à la 3e personne du singulier ? Nous avons échappé à la troisième personne du pluriel, mais vu la tournure que prend sa campagne, ça ne saurait tarder...
     
    Encore plus fort, il écrit son nom en MAJUSCULES alors que ceux de ses adversaires sont en minuscules, faute de pouvoir les rendre invisibles !
     
    Et pourquoi donc aucun paragraphe sur M. Blanc ? Ne présente-t-il donc aucun intérêt à ses yeux, ou bien le considère-t-il comme son colistier virtuel ?
     
    Et, comble du culte de la personnalité, il s'attribue lui-même une note : 18,5/20 ! Tant qu'à faire... Mais quelle arrogance ! A-t-il donc un tel besoin de reconnaissance ?
     
    Nous ne répondrons pas plus précisément à cela, mais la taille du paragraphe qu'il nous accorde suscite, dans notre groupe, juste deux interrogations : si nous sommes si "mal récompensés" qu'il veut le faire entendre, pourquoi nous consacre-t-il autant de place dans son tract  ? Et pourquoi, dans sa grande bonté, commence-t-il son tract par notre liste, et non pas par celle arrivée en deuxième position (celle de B. Jaussaud) ?
     
    Allez, dernière ligne "gauche" pour les Tous Capables ! En ce qui nous concerne nous resterons fidèles, contre vents et marées,  à ce que nous sommes : des citoyens honnêtes, loyaux et travailleurs.
     
    L'équipe des "TOUS CAPABLES"
     
    Gap le 27 mars 2014

  • Les "TOUS CAPABLES" sur le marché de GAP

    safe_image.php.jpegRegarder le reportage en cliquant sur le lien : http://ytchannelembed.com/video.php?id=TJGULhJUXGw&t=#.UzMicM5-SuJ

  • Le désaveu de la politique d’austérité : lame de fond du premier tour des municipales

    Les résultats du premier tour des élections municipales, dimanche 23 mars, méritent des analyses plus nuancées et abouties que le consensus médiatique, que nous vivons, autour du Front National (FN) et de sa promotion insupportable.

    Laissées à elles-mêmes - c’est-à-dire sans réponse ou avec des réponses méprisant les souffrances sociales et économiques– les peurs se transforment en haine. Il faudra, dès demain, si le barrage à la route du FN ne permet pas d’empêcher l’entrée en nombre de leurs émules dans les maisons de la République, les démasquer avec toute la force, la ténacité et le courage que des élus de gauche doivent incarner.

    Avant le deuxième tour, l’heure est au rassemblement pour battre la droite, faire échouer ici et là les manoeuvres politiciennes couleur brun-bleu pour faire chuter des maires communistes et républicains avec, ce qui était impensable il y a encore quelques temps, des teintes verte et rose. Conquérir des sièges est devenu, pour certains, une activité régulière de caniveau.

    Peut-on croire un seul instant qu’en sortent indemnes la démocratie et notre humanité ?

    Quelle confusion entretenue délibérément ! D’un côté, le gouvernement semble sourd à la gravité de la « préférence antisociale » et pourtant l’agite pour seule réponse au cri de souffrance monté de toutes les urnes de notre pays. Le désaveu de la politique d’austérité du gouvernement a été la lame de fond de ce premier tour.

    La réponse : pas question de changer de cap ! La démobilisation à gauche est massive, l’abstention ronge les consciences et les droits civiques se précarisent autant que les droits humains. Pour le gouvernement, la compétitivité est devenue la règle de nos institutions.

    Cette politique d’autisme généralisée, dans notre pays comme ailleurs en Europe – pour exemple la chape de plomb et de silence pour les 3 millions de manifestants espagnols convergeant en des marches de colère sur Madrid la semaine passée – n’est pas impossible à bousculer.

    Les élections européennes qui approchent vont en être l’occasion. Mais pour l’immédiat, que sortent des urnes dimanche, des centaines de communes et des milliers d’élus, points d’appui pour mettre sur pieds d’urgence un nouvel espoir de transformation sociale et d’émancipation humaine.

    Yves Rémy, directeur du CIDEFE