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  • Le travail et les luttes sociales

    8 films-entretiens
    sur le travail et les luttes sociales
    Réalisés par Thomas Lacoste
    Avec Etienne Balibar, Robert Castel, Patrice de Charette,
    Christophe Dejours, Charles Piaget et Renaud Van Ruymbeke


    Visionnez les entretiens et soutenez l’initiative sur http://www.labandepassante.org/travail-et-luttes.php


    La valeur travail : on se souvient que lors de la dernière campagne présidentielle, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy n’avaient de cesse de s’y référer. Elu président, Sarkozy ne parle désormais plus du travail, dans un contexte pourtant marqué par la crise financière et ses effets délétères sur l’emploi : licenciements massifs, mobilité forcée, etc.
    Les entretiens réunis par La Bande Passante reviennent sur ce qui est bien « la » question sociale, aujourd'hui comme hier : le travail. Cette série d'entretiens croise les regards du philosophe, du sociologue, du psychologue, du juriste, du syndicaliste sur la centralité du travail, la souffrance qu'elle génère aussi (Christophe Dejours), l'installation d'une partie croissante des travailleurs dans le précariat (Robert Castel), les mobilisations passées autour du travail (Etienne Balibar sur 68, Charles Piaget sur LIP) qui permettent aussi de penser les révoltes présentes, les tentatives du pouvoir pour corseter l'action des juges en matière de droit du travail (Patrice de Charette) ou de lutte contre la corruption financière (Renaud Van Ruymbeke).
    Une pédagogie du travail, des films d'intervention aussi.
    Penser le travail, une urgence politique - Christophe Dejours


    La société du précariat - Robert Castel
    L'ébranlement 68 - Vers une universalité émancipatrice - Etienne Balibar

    LIP, une école de la lutte à l'usage des jeunes générations - Charles Piaget

    Le droit du travail en France - Un rapport de force - Patrice de Charette

    Corruption et criminalité économique et financière - Un juge face aux puissants - Renaud Van Ruymbeke
    Soutenez et achetez les DVD 12 € (frais de port inclus) par paiement en ligne sur le site http://www.labandepassante.org/lbp_dvdlist.php ou par chèque à l’ordre de L’Autre association, 3, rue des Petites Ecuries, F-75010 Paris.
    Faites circuler
    Nous vous invitons à faire connaître, circuler et projeter les films de La Bande Passante. Ces films peuvent être repris sur les sites, blog, etc. Nous vous demandons cependant une seule mention obligatoire :
    "Pour soutenir cette initiative et les prochains films, vous pouvez acheter les DVD 12€ (frais de port inclus) par paiement en ligne sur le site http://www.labandepassante.org/lbp_dvdlist.php ou par chèque à l’ordre de L’Autre association, 3 rue des Petites Ecuries, F-75010 Paris. Merci de nous informer de toutes initiatives publiques afin que nous relayons l'information sur nos différents sites."
    Pour toute demande d'information : info@labandepassante.org
    Retrouvez l'ensemble de nos films

  • La mort du juge d'instruction...pour quelle justice ?

    Chers amis,

    En général je m’abstiens de faire signe pour indiquer la diffusion de mes documentaires.

    Mais cette fois-ci, pour démarrer l’année 2010 dans un esprit déterminé, pour vous souhaiter à tous une bonne année et nous la souhaiter collectivement aussi positive que possible, je vous invite devant votre écran de télévision, jeudi 7 janvier à 22h50  (si les horaires sont tenus) sur France 2 pour mon dernier documentaire :

    Dans la série « Dans le secret de… »,  la mort du juge d’instruction… Pour quelle justice ?

    Si l’an dernier « dans le secret de l’accès aux soins en danger » tentait de porter un éclairage sur la politique réelle de Nicolas Sarkozy qui s’applique au détriment des intérêts vitaux de millions de nos concitoyens sur la question de la santé, des soins, du financement, de l’hôpital, de la sécurité sociale, « Dans le secret de la mort du juge d’instruction… Pour quelle justice ? » tente d’éclairer les raisons politiques profondes pour lesquelles le gouvernement en place veut supprimer le seul juge indépendant du pouvoir et donner toutes ses attributions à ceux qui sont sous l’autorité directe du ministère de la justice et donc du gouvernement. Il en va d’une question majeure, l’indépendance de la justice, qui concerne la démocratie, l’égalité de tous devant la loi, les valeurs élémentaires de la République

    A jeudi donc j’espère,

    France 2 – 22h50

    Dans la série « Dans le secret de… »,  la mort du juge d’instruction… Pour quelle justice ?

    Bien à vous tous,

    Jacques Cotta

  • Pauvreté dans les Hautes Alpes

    PAUVRETE DANS LES HAUTES ALPES
    Seuls, âgés et en zone rurale, ils sont les plus touchés

    par La Rédaction du DL | le 05/01/10


    Une récente étude de l'Insee Paca (Institut national de la statistique et des études économiques de Provence-Alpes-Côte d'Azur) sur l'état de pauvreté de la région met en relief les caractéristiques de la population des Hautes-Alpes.

    Premier constat : « Dans tous les départements de Paca, la pauvreté est plus forte qu'au niveau national ». Avec un taux de 13,2 % en France métropolitaine, les Hautes-Alpes affichent un taux de 13,4 % et les Alpes-de-Haute-Provence sont à 15,8 %. Avec une pauvreté touchant davantage les jeunes et les familles monoparentales mais également les personnes âgées.

    L'étude Insee stipule : « Comme certains départements du centre de la France, le département des Hautes-Alpes se caractérise par une pauvreté "ciblée", qui concerne davantage les personnes âgées et les personnes seules et se concentre au sein de l'espace rural. »

    Autre constat : C'est dans les zones à forte composante touristique qu'on trouve le plus grand nombre de salariés ayant un bas revenu : 28 %.

    Souvent des travailleurs
    à temps partiel

    C'est notamment le cas dans la zone d'emploi de Briançon. Ces salariés se retrouvent surtout dans les secteurs des services aux particuliers, du commerce et de la construction.

    Enfin, dans la zone d'emploi de Gap, les personnes à bas salaire sont souvent âgées de plus de 50 ans.

    « Plus qu'ailleurs, souligne l'Insee, les salariés travaillent à temps partiel et ceux des secteurs de l'éducation, la santé, l'action sociale et l'administration sont concernés. La rémunération horaire y est particulièrement faible. »


    F.F.
    Paru dans l'édition 05A du 05/01/2010
  • Eau, bien commun ou marchandise

    autres-paysages-gap-france-1073373247-1154374.jpgUn conférence débat au ROYAL à GAP le 22 janvier à 20h30 avec Marc LAIME.

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