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ENSEMBLE 05 - Page 438

  • Courriel aux députés, au sénateur des HA et au maire de Gap.

    Madame, Messieurs,

    rte_450.gifLes organisations syndicales de RTE (réseau de transport d'électricité) ont manifesté dernièrement leur inquiétude devant la possible délocalisation d’une des activités qui se trouve actuellement sur le site de Grisolles, sur la commune de La Rochette.

    Ce site accueille 26 personnes qui travaillent sur différentes activités. RTE envisage de délocaliser la partie “contrôle des commandes à distance des appareils haute tension” à Bouc-Bel-Air dans les Bouches-du-Rhône. On s’orienterait vers la fermeture partielle du site. Neuf personnes sur 26 seraient concernées. La direction justifie cette délocalisation par le besoin de moins de maintenance.

    Les organisations syndicales, qui rappellent la disparition du GET Alpes Provence à Gap en 2006 (30 agents), considèrent qu’il s’agit « d’une coupe sombre dans les services publics de notre département. Nous sommes en zone de montagne avec toutes ses spécificités et c’est encore les usagers et des familles entières qui vont faire les frais de cette politique industrielle. »

    Les syndicats dénoncent « des délais d’intervention et de maintenance plus long, voir supprimés par manque de personnel, une aberration par rapport à la mission de RTE et l’engagement pris pour l’avenir énergétique de la Haute Durance ».

    Nous vous demandons d’intervenir rapidement auprès de la direction de RTE afin que ce nouveau projet de réforme qui pénalisera notre département, soit abandonné.

    Bien cordialement ;

    Françoise Perroud et Jean-Claude Eyraud

    Conseillers municipaux de la ville de Gap

     


     
  • Conseil municipal du vendredi 4 novembre 2011 de la ville de Gap

    gap.jpgLa prochaine séance est fixée au VENDREDI 4 NOVEMBRE à 18h15 à l'hôtel de ville.
     
    La réunion préparatoire est fixée au MERCREDI 2 NOVEMBRE à 18h salle "LA MUTUALITE" immeuble le St Denis à GAP.
     
    Nous attirons fortement votre attention sur le nécessité de préparer collectivement cette séance.
     
    Nous comptons sur votre présence active.
    Bien amicalement,
     

    Cécile, Françoise et Jean-Claude

  • Redonner un souffle révolutionnaire à la République

    Vous trouverez ci-dessous, une tribune publiée sur le site de Médiapart et co-signé par Clémentine Autain (FASE) et Danièle Obono (Convergences et Alternative).

    La primaire du Parti socialiste a mobilisé deux millions et demi de personnes. Un événement politique incontestable, qui a permis de cristalliser une part du rejet de Sarkozy et a révélé un désir d’innovation dans la fabrication politique, une volonté de participation alors que les partis n’arrivent pas à répondre aux exigences du monde contemporain. Il faut avoir la mauvaise foi de l’UMP pour ne pas voir qu’une telle mobilisation citoyenne traduit une vraie envie des Français-e-s pour la politique. Et il faut être formaté par la pensée unique comme François Hollande et Martine Aubry pour ne pas entendre la colère contre les banques et l’envie de VIe République qu’exprime le vote, aussi fort qu’inattendu, pour Arnaud Montebourg.

    Que cette primaire ait débouché sur une gauche à l’eau de rose, recentrée, n’est pas la moindre de ses faiblesses. C’est un des effets pervers d’un tel processus. Or, s’il faut battre la droite dure au pouvoir, il reste à porter une alternative véritable aux politiques austères à l’œuvre partout en Europe. Et pour ce faire, une révolution démocratique s’impose. Le costume de la Ve République est trop étroit pour permettre l’implication populaire nécessaire à la transformation sociale et écologique. L’essoufflement de la dimension révolutionnaire du projet républicain, Charles Péguy l’exprimait déjà en son temps, il y a plus d’un siècle: «La république, hier on mourrait pour elle, aujourd’hui on en vit.» Les récentes élections sénatoriales, qui n’ont pas passionné les foules en dépit de l’historique basculement à gauche, illustrent la profondeur du problème: nos institutions républicaines fonctionnent désormais en vase clos, vidées de la tension démocratique entre subversion et conservation qui les avait fait émerger. Mais elles sont aussi ce que les citoyens et citoyennes décident d’en faire, en faisant irruption sans prévenir, comme en 2005 lors du référendum sur le Traité constitutionnel européen. Lire la suite »

  • JEAN DE FRANCE

    images.jpgJean de France tu chantais pour les gens de France ...

    ECOUTEZ l'hommage de Didier Barbelivien à Jean Ferrat.

  • “Le manque de médecins est un problème bien réel” (DL du 22 octobre 11)

     

    « 66% des Haut-Alpins se disent satisfaits de leur protection sociale » a souligné en préambule, Henri Sannier. Le journaliste et maire d’Eaucourt-sur-Somme, en Picardie, a animé hier la conférence. Photo DL/Vincent OLLIVIER.

    « 66% des Haut-Alpins se disent satisfaits de leur protection sociale » a souligné en préambule, Henri Sannier. Le journaliste et maire d’Eaucourt-sur-Somme, en Picardie, a animé hier la conférence. Photo DL/Vincent OLLIVIER.

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    Un habitant du Queyras doit parcourir 30 minutes en voiture pour des soins basiques. 3 heures aller-retour pour des soins spécialisés à Gap. C’est à partir de ce constat que s’est ouverte la conférence sur la santé, hier soir au CMCL, à Gap. À la question de l'avenir de la Sécurité sociale s’est rapidement substituée celle, plus urgente pour le département des Hautes-Alpes, de la disparité territoriale des soins médicaux.

    « L’inégalité d’accès des ruraux n’est pas uniquement un problème de coût » a tenu à souligner Jean Horgue-Debat, directeur de l’Adrets 05 (association pour le développement en réseau des territoires et des services). « Il s’agit également d’un problème d’information, de délais d’intervention, d’accompagnement social. »

    Un système de santé “en recul”

    Le constat, alarmiste, est partagé par le premier concerné : Roger Grimaud, médecin à Tallard depuis plus de 35 ans. « Le manque de médecins est un problème bien réel. Jusqu’en 2025, on va avoir de sérieux problèmes. » Pourtant, des solutions existent, selon le docteur : « la mise à disposition de locaux, des centres multi-dipliscinaires… »

    Trouver des solutions à la « crise globale » du système de santé. C’est ce qu’a tenu à mettre en valeur Denis Philippe, président de la Mutualité française des Hautes-Alpes, à l’origine de ce colloque. « On a fait une consultation en 2010 dont est ressortie une inquiétude sur l’avenir de la Sécurité sociale, surtout chez les 20-30 ans qui y sont le plus attachés. »

    Une inquiétude palpable dans le public, venu nombreux hier assister et participer au débat. Délais trop long de prise en charge, recul des soins publics, mutuelles «taxées» : les griefs contre un système de santé «en recul» étaient nombreux.

     

    le 22/10/2011 à 06:01