Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ENSEMBLE 05 - Page 419

  • SNCF

    randogare.jpgSignez la pétition pour le maintien des trains sur la ligne Grenoble-Gap !

    En cliquant sur le lien http://www.mountainwilderness.fr/appels-a-participer/2949-signez-la-petition-pour-le-maintien-des-trains-sur-la-ligne-grenoble-gapn.html?task=view

  • Perte d'autonomie

    hautes alpesHautes Alpes, 1069 personnes agées dépendantes de plus en 2020 qu'en 2007.

     

    LIRE la synthèse de l'étude de l'INSEE décembre 2011

  • PROJET REGIONAL DE SANTE

    gapDéclaration à la presse du groupe G.A.U.C.H.E. au conseil municipal de GAP
     
     
    Le 8 décembre dernier lors de la dernière séance du conseil municipal de GAP,  notre groupe a demandé l'organisation d'un débat et le vote d'un avis sur le projet régional de santé (nous avons jusqu'au 15 janvier 2012 pour le faire).
    Cette demande est restée sans réponse.
    Nous avons renouvelé cette demande par écrit le 13 décembre. A ce jour le maire de Gap n'a pas souhaité y répondre.
    Nous déplorons cette attitude, d'autant que les contraintes budgétaires imposées aux hôpitaux frappent de plein fouet nos territoires de montagne.
    Les élus de la ville de Gap et du sud des Hautes-Alpes ne peuvent pas rester insensibles à la fermeture prochaine du service de réanimation de la ville de Briançon.
    En effet nous défendons un principe de d'équilibre de l'offre de soins dans les Hautes Alpes qui tienne compte de nos spécificités, des conditions et des délais d’acheminement des malades, notamment l'hiver. 
    La présence d’un service de réanimation pour garantir la sécurité d’accueil des patients en cas d’aggravation de leur état, dans un hôpital où l’offre de soins est aussi large (chirurgie, maternité, urgences, médecine) ne peut être contestée.
    Dans cet esprit, nous soutenons sans réserve les actions en cours, afin que le service de réanimation de Briançon soit pérennisé.
     
    Françoise PERROUD et Jean-Claude EYRAUD
     
     
     

     

  • Conseil municipal de la ville de Gap, séance du 8 décembre 11

    Gap_neige.jpgLIRE le procès verbal du dernier conseil municipal de la ville de GAP et ci-dessous les dates des séances de 2012.

     

    Dates des prochains conseils municipaux :

     

    Vendredi 10 Février (débat d’orientation budgétaire)

     

    Jeudi 29 Mars (budget primitif)

     

    Vendredi 22 Juin

     

    Vendredi 28 Septembre

     

    Vendredi 09 Novembre

     

    Vendredi 14 Décembre

  • COMMUNIQUE DE PRESSE L’inacceptable fermeture du service de réanimation du Centre Hospitalier de Briançon

    Les principes conducteurs affirmés dans le Projet régional de santé sont louables : les objectifs proclamés de réduction des inégalités d’accès à la santé, de qualité et de sécurité des soins rassemblent tous les républicains, pour qui l’accès de tous aux meilleurs soins est une exigence viscérale.
    C’est au nom de ces principes que nous considérons que les lits de réanimation de l’hôpital de Briançon doivent être maintenus.
    Las, nous constatons sur cette question la dissonance entre les principes formulés et leur application.
    Les regroupements et réorganisations des hôpitaux publics entre eux représentent une question complexe : les objectifs de qualité des soins, d’expertise et de sécurité doivent être placés au coeur de cette réflexion, mais ces objectifs ne doivent pas servir d’alibi à une gestion de la pénurie des moyens hospitaliers, ni à un renoncement à la présence sur les territoires des services publics vitaux.
    Les arguments récemment avancés dans la presse par un membre du comité directeur de l’ARS pour justifier la fermeture des lits de réanimations à l’hôpital de Briançon sont essentiellement comptables : on ne peut l’accepter.
    On ne peut accepter que les contraintes budgétaires imposées aux hôpitaux impliquent une perte de chances pour les patients du nord des Hautes-Alpes, sur un territoire aussi vaste et
    où les conditions et les délais d’acheminement des malades sont aussi contraints, notamment selon les saisons
    Dans ce contexte, annoncer que les patients, en cas de mauvais conditions météorologiques, peuvent attendre 48 heures dans une salle de déchoquage avant d’être admis en réanimation, est une hérésie sur le plan médical et un risque mortel pour les malades concernés.
    La présence d’un service de réanimation pour garantir la sécurité d’accueil des patients en cas d’aggravation de leur état, dans un hôpital où l’offre de soins est aussi large (chirurgie, maternité, urgences, médecine) ne peut être contestée.
    Ladislas POLSKI
    Conseiller Régional Délégué aux Maisons Régionales de Santé
    Représentant la Région à la Conférence Régionale de la Santé et de l’Autonomie
    Joël GIRAUD
    Vice Président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
    Délégué au Massif Alpin