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Conseil municipal de Gap - Page 38

  • Gap: nouveaux rythmes scolaires

     Que de temps perdu!

    Avec la rentrée et l'application des nouveaux rythmes scolaires dans les écoles, notre groupe s'interroge sur le rapport au temps de M. le Maire. En effet M. Didier n'a cessé de reporter les décisions qu'il devait prendre en demandant d’abord une année de délai pourtant impossible au lieu de se mettre au travail pour organiser le contenu des nouvelles activités périscolaires.

    Au final, la ville de Gap s'est vue imposer la nouvelle organisation du temps scolaire hebdomadaire, faute d'avoir répondu dans les temps impartis et d'avoir pris en compte le temps passé par les conseils d'école à travailler sur des nouveaux emplois du temps.

    A force de prendre son temps et de donner du temps au temps, le maire de Gap a fait perdre leur temps aux plus de 3000 enfants et aux familles gapençaises et à toutes celles et ceux qui travaillent dans ou en lien avec l'école.

    Il a choisi, sous la contrainte du temps qu'il a laissé filer, de décider sans concertation. Espérons juste qu'il va replacer l'intérêt des enfants au centre de son temps de mandat et prendre ses responsabilités !

     

    Françoise Perroud et Jean-Claude Eyraud

     

  • Conseil d'administration du C.C.A.S. de la ville de Gap

    COMMUNIQUE À LA PRESSE

     

    gapLe 21 août, le Conseil d’Administration du Centre Communal d’Action Sociale (C.C.A.S.) s’est réuni afin d’adopter les tarifs des activités des accueils de loisirs sans hébergement (ALSH) pour l’année scolaire 2014/2015.

    Un tarif spécifique a été créé pour le mercredi après-midi, dans le cadre de la mise en place de la réforme des rythmes scolaires.

    La vice-présidente du C.C.A.S. a proposé de fixer à 2% la hausse de l’ensemble des tarifs existants pour les activités des accueils de loisirs sans hébergement.

    Lors de la dernière mandature de Roger DIDIER, les tarifs ont été augmentés de 2 % chaque année.

    Durant la même période, les revenus des familles ont stagné voire baissé.

    La crise économique et sociale que traverse notre pays continue de s’aggraver.

    Je me suis opposé à l’augmentation des tarifs de 2% en votant contre la délibération proposée.

    Celle-ci a malgré tout été adoptée à la majorité.

     

    Gap le 21 août 2014

     

    Jean-Claude EYRAUD administrateur du C.C.A.S.

    Groupe « tous capables G.A.U.C.H.E. » au conseil municipal

     

     

     

     

     

  • Conseils citoyens : pas de modèle imposé mais un « cadre de référence »

    Le ministère de la Ville a mis en ligne le « cadre de référence national » concernant les futurs « conseils citoyens ». Ces conseils font partie des nouveautés des prochains contrats de ville que les communes et leurs intercommunalités devront signer d’ici au 31 décembre 2014. Leur création répond à la volonté de « co-construction » de la politique de la ville avec les habitants, comme le précise dans son article 1er la loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 21 février 2014.
    En principe, chaque quartier prioritaire de la politique de la ville devra se doter d’un conseil citoyen, mais le cadre de référence ouvre la possibilité qu’il y en ait moins. C’est l’une des premières réponses que trouveront les élus aux nombreuses questions (voire suspicions) que la création de ces conseils a suscitées. Autre réponse à une question lancinante : oui, le conseil citoyen pourra se « substituer au conseil de quartier » ou devenir gestionnaire des Fonds de participation des habitants, très développés dans le nord de la France.
    Au gré de la lecture de ces 18 pages, les maires seront rassurés sur un point : il n’y a pas de modèle type imposé. C’est bien le « contexte local » qui doit « avant tout être pris en compte », indique le guide au titre des principes généraux. Outre donc ce principe de « souplesse », le guide en précise d’autres, comme « l’indépendance », « la pluralité » ou encore « la parité » de leur composition : les conseils se composeront « d’une part de représentants d’associations et d’acteurs locaux, et d’autre part, d’habitants tirés au sort en respectant un principe paritaire », sachant que ce collège habitants devra compter pour « au minima 50 % des membres du conseil ». Des pistes sont données pour organiser ce tirage au sort (fichiers EDF, des organismes HLM...) et ne pas le faire reposer uniquement sur les listes électorales (« afin de garantir la représentation des habitants non inscrits et des résidents non communautaires »).
    Pour garantir que les conseils citoyens soient impliqués dans toutes les étapes du contrat, le cadre de référence précise que « des représentants des conseils citoyens participeront aux instances de pilotage des contrats de ville ». D’autres conseils sont plus elliptiques comme celui selon lequel le conseil doit être « positionné de manière stratégique auprès des acteurs et instances institutionnels pour que la parole des habitants exprimée au sein des conseils citoyens soit légitimée et prise en compte ».
    En abordant successivement les missions, la mise en place, l’organisation et le fonctionnement, ainsi que l’accompagnement et la formation des conseils citoyens, cet « outil de méthode » n’offre donc pas de solution clé en main, et la tâche n’en sera pas forcément plus simple... D’ailleurs, le gouvernement reconnait que leur création avant la signature des contrats de ville fin 2014 est « l’idéal » mais sans illusion : le cadre de référence donne la possibilité de réduire cette ambition, « si cette mise en place n’apparaît pas envisageable », et de se contenter dans ce cas de « mobiliser des instances existantes ».
    E.S.

    Télécharger le Cadre de référence.

  • Suppression des jardins familiaux du quartier de Fontreyne

    27364_100001115076350_6844_n.jpgM. le maire,
     
    Nous avons appris par la presse que vous aviez décidé, unilatéralement, de supprimer les jardins familiaux du quartier de Fontreyne.
    Nous ne connaissons pas les motifs de votre décision et nous regrettons, une fois de plus, l'absence totale de transparence.
    A notre connaissance, la commission en charge du dossier n'a pas été consultée à ce sujet et à aucun moment les conseillers municipaux n'ont pu donner leurs avis.
    Avez-vous pris l'avis des partenaires du CUCS ?
    Avez-vous envisagé une solution alternative ?

    Dans l'attente de vous lire, recevez nos cordiales salutations.

    Françoise PERROUD et
    Jean-Claude EYRAUD
    Conseillers municipaux groupe "tous capables G.A.U.C.H.E."