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  • Gap Foyer Bellevue: Il nous reste 5 mois pour étudier la mise en place d'une résidence sénior !

    Hautes-Alpes: "les personnes valides vont se retrouver dans un établissement pas adapté à leur situation" Jean-Claude Eyraud

    Le problème persiste. Les résidents de Bellevue vont être relogés à l'Adret. En cause, d'après le maire de Gap, des logements qui ne sont plus au normes de sécurité. De nombreux problèmes se posent. Pour certains pensionnaires ce sont des problèmes de surface et de prix qui se posent. C'est 300 euros de plus.

    Le problème pour Jean-Claude Eyraud, les personnes valides qui y résident. Le nouvel établissement sera adapté aux personnes dépendantes, mais les personnes encore en capacité d'autonomie vont se retrouver dans un établissement pas adapté à leur situation :

    - See more at: http://www.dici.fr/actu/2015/11/20/hautes-alpes-personnes-valides-se-retrouver-un-etablissement-adapte-situation-jean-claude-eyraud-671117#sthash.yN8B7o7v.1cVSp36q.dpuf

    Le problème persiste. Les résidents de Bellevue vont être relogés à l'Adret. En cause, d'après le maire de Gap, des logements qui ne sont plus au normes de sécurité. De nombreux problèmes se posent. Pour certains pensionnaires ce sont des problèmes de surface et de prix qui se posent. C'est 300 euros de plus.

    Le problème pour Jean-Claude Eyraud, les personnes valides qui y résident. Le nouvel établissement sera adapté aux personnes dépendantes, mais les personnes encore en capacité d'autonomie vont se retrouver dans un établissement pas adapté à leur situation :

    - See more at: http://www.dici.fr/actu/2015/11/20/hautes-alpes-personnes-valides-se-retrouver-un-etablissement-adapte-situation-jean-claude-eyraud-671117#sthash.yN8B7o7v.1cVSp36q.dpuf

    Écouter l’interview réalisé par D!CI TV:

    http://www.dici.fr/actu/2015/11/20/hautes-alpes-personnes-valides-se-retrouver-un-etablissement-adapte-situation-jean-claude-eyraud-671117#sthash.yN8B7o7v.uxfs&st_refDomain=t.co&st_refQuery=/8IRGnzJftO

  • Bradage des concessions hydrauliques, le réseau électrique prend l’eau


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    A la demande du CCE EDF SA, une expertise a été réalisée par l’Institut énergie développement (IED) sur les effets de l’ouverture des concessions hydrauliques au privé, prévue dans la loi de Transition énergétique, du 17 août 2015. Les conclusions sont sans appel, cette ouverture mettrait en péril la sécurité de l’approvisionnement électrique du territoire, la sûreté des installations et la gestion des ressources en eau du pays. Explications.


    Le système électrique français a été construit sur un principe de service public : un opérateur, EDF, une complémentarité des moyens de production capables de répondre à tout moment à la demande des consommateurs, sans rupture d’approvisionnement, avec un tarif unique régulé sur tout le territoire. Dans ce dispositif, l’hydroélectricité est l’énergie centrale indispensable à toute la chaîne de production. Elle permet une régulation du réseau immédiate et assure une complémentarité essentielle avec le nucléaire par « lâcher d’eau », lorsqu’il convient de refroidir la température des fleuves sources froides des centrales, ou par « renvoi de tension » si nécessaire, afin de garantir leur alimentation électrique. Ouvrir les concessions hydrauliques au plus offrant, mettrait en grave danger ce système basé sur la recherche de l’intérêt général. En effet, quel opérateur privé aura comme objectif de préserver ce service à la Nation alors que les pics de consommation seront pour lui le moyen de vendre assurément, et avec profit, sa production ?


    Sûreté des ouvrages


    Les barrages et les digues des ouvrages hydrauliques emmagasinent des énergies considérables dont le relâchement brutal est susceptible de créer un risque de sécurité publique majeur, pour les populations. Ils sont donc conçus pour satisfaire ces exigences dans différentes situations, y compris de catastrophe naturelle. Le maintien en état du patrimoine hydraulique sur la durée est aussi un enjeu majeur de la sûreté nationale. Il est donc nécessaire d’exercer, avec rigueur, un suivi permanent du génie civil des grands ouvrages, ce qui a été réalisé depuis des décennies, par EDF. L’exploitant est directement chargé du contrôle et de la surveillance des barrages. L’Etat, quant à lui, s’assure que les mesures nécessaires à la protection des populations sont bien appliquées.
    Qu’en serait-il si l’ensemble de ce patrimoine était géré par des opérateurs privés multiples ? Auraient-ils envie de dépenser de l’argent pour le maintenir en état, l’entretenir et, au fil du temps, auraient-ils les moyens financiers nécessaires pour continuer à le faire ?
    L’hydroélectricité est un mode de production d’énergie dont les installations apportent d’autres usages autour de l’eau - bien public par excellence -. Actuellement, ces aménagements sont considérés comme une ressource à disposition de la collectivité pour en « ajuster » les diverses utilisations : irrigation pour l'agriculture, alimentation en eau potable, industrie, loisirs... Quel opérateur voudrait se mettre ainsi à disposition de la collectivité, sans contre partie ?
    Des raisons majeures pour renoncer à tout projet d’ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques ; voie dans laquelle de nombreux pays européens ont refusé de s’engager. Pourquoi la France devrait-elle le faire ? L’heure est à la réaction des citoyens !


    Contact presse : Jean-Luc Magnaval - 06 08 86 33 75
    Contact évènement : Pascale Dufossé - 01 82 24 85 20
    CCE EDF SA – 45 rue Kléber 92300 Levallois-Perret
    Mail : cce-edf-sa @edf.fr

     

  • Régionales de décembre 2015 : comment voter par procuration ?

    (photo-fabrice-anterion).jpgVacances, obligations professionnelles, formation, état de santé... Les électeurs absents de leur domicile pour les élections régionales des 6 et 13 décembre 2015 peuvent voter par procuration.

    Pour tout savoir sur les démarches, retrouvez en ligne la fiche pratique concernant le vote par procuration sur le site https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A10136

    Cette fiche précise d’abord les conditions à remplir par la personne recevant la procuration (le mandataire) qui ira voter à la place de la personne absente (le mandant). Elle détaille ensuite la procédure d’établissement de la procuration par le mandant : lieu, pièces à fournir, délais sachant qu’il est désormais possible de remplir une demande de vote par procuration depuis son ordinateur, en utilisant le formulaire Cerfa n°14952*01 disponible en ligne. Il faut néanmoins toujours se présenter en personne au commissariat de police, à la brigade de gendarmerie ou au tribunal d’instance du domicile ou du lieu de travail afin de valider toute demande. Cette fiche indique par ailleurs la durée de validité de la procuration (en principe, la procuration est établie pour une seule élection, mais le mandant peut aussi l’établir pour une durée limitée). Enfin, elle détaille comment se déroule le vote, le mandataire devant se présenter muni de sa propre pièce d’identité au bureau de vote du mandant.

    Illustration 1

  • GAP: prochaine séance du conseil municipal

    20151108_135735_resized.jpgLa prochaine séance du conseil municipal de Gap se tiendra le vendredi 11 décembre à 18h15 à l'hôtel de ville, la séance est publique.
    Nous la préparerons le mardi 8 décembre à 18h30 salle "la mutualité" immeuble le St Denis à Gap.

    Amicalement,

    Jean-Claude EYRAUD

  • Communiqué de Ensemble! Mouvement pour une alternative de gauche écologiste et solidaire. Non à l'état d'urgence !

    vignette_clr_ensemblemagesfdg__0.pngLes députés viennent d'approuver la prolongation de l'état d'urgence, députéEs du Front de gauche incluEs.
    Pour « Ensemble! », si des mesures sont nécessaires pour assurer la sécurité des populations, l'état d'urgence fait peser de graves menaces sur les libertés publiques et le droit de manifestation.
    Déjà, plusieurs manifestations ont été interdites : celles contre les violences faites aux femmes le 21 novembre, en solidarité avec les réfugiéEs le 22 novembre, et, à l'occasion de la Cop 21, les 29 novembre
    et 12 décembre. Ce dispositif s'inscrit dans un processus de durcissement constant des textes législatifs parallèlement à une réduction des moyens de la police et de la justice.
    L'état d'urgence implique que l'autorité administrative a pendant trois mois la prééminence sur la justice.
    L'actuelle surenchère sécuritaire puise dans les propositions de la droite et de l'extrême-droite. Elle les légitime.
    Ainsi en est-il de l'assignation à résidence pour les personnes censées menacer l'ordre public ou dont le comportement, les fréquentations iraient dans ce sens. Toutes les interprétations extensives, les stigmatisations sont rendues possibles.
    Ainsi en est-il du recours possible de bracelet électronique pour certains assignés à résidence, de la déchéance de nationalité ou du visa de retour.
    En parallèle, le gouvernement en profite pour donner son feu vert à l'armement des policiers municipaux et au port d'arme pour les policiers en dehors de leur service.
    C'est pourquoi, « Ensemble! » condamne la prolongation de l'état d'urgence voulue par F. Hollande et son gouvernement et qui préfigure ce que pourrait être la réforme constitutionnelle instaurant un
    régime civil d'état de crise.
    Ce n'est pas d'une refondation sécuritaire et autoritaire dont nous avons besoin mais d'une République sociale et démocratique, de plus d'égalité, de justice sociale et de liberté, ce qui implique la lutte contre le chômage et la précarité, contre tous les racismes, les discriminations.


    Le 19 novembre 2015.