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  • Suppression des jardins familiaux du quartier de Fontreyne

    27364_100001115076350_6844_n.jpgM. le maire,
     
    Nous avons appris par la presse que vous aviez décidé, unilatéralement, de supprimer les jardins familiaux du quartier de Fontreyne.
    Nous ne connaissons pas les motifs de votre décision et nous regrettons, une fois de plus, l'absence totale de transparence.
    A notre connaissance, la commission en charge du dossier n'a pas été consultée à ce sujet et à aucun moment les conseillers municipaux n'ont pu donner leurs avis.
    Avez-vous pris l'avis des partenaires du CUCS ?
    Avez-vous envisagé une solution alternative ?

    Dans l'attente de vous lire, recevez nos cordiales salutations.

    Françoise PERROUD et
    Jean-Claude EYRAUD
    Conseillers municipaux groupe "tous capables G.A.U.C.H.E."

  • Communiqué du Mouvement de la Paix

    Le comité départemental des Hautes-Alpes du Mouvement de la Paix condamne fermement l'agression dont a été victime une personne rue Bayard à Gap le 22 juillet en soirée.

    C'est un incident grave et intolérable sur lequel il faut être vigilant.

    Nous apportons notre total soutien à la victime et à son éducatrice, ainsi qu'au centre La Source dans lequel elle travaille.

    Ces évènements n'ont aucun lien avec la manifestation "pour la Paix au Proche-Orient" qui a rassemblé dans le calme près de 300 personnes hier soir à Gap. De nombreux participants portaient un badge avec le drapeau israélien et le drapeau palestinien n'ont aucunement été inquiété. Dès le début de la manifestation, des consignes claires avaient été données, ce que les journalistes et les forces de l'ordre présentes peuvent confirmer. Cette responsabilité des organisateurs est largement reconnue par la Préfecture.

    Le Mouvement de la Paix conteste la manière "sensationnelle" dont un certain nombre de médias et responsables politiques, non présents à la manifestation, traitent de cet évènement.
    La récupération à des fins partisanes ne participent pas au calme dans lequel notre société a besoin d'évoluer. Ainsi parler de 'lynchage", de "manifestation pro-palestinienne", de "jeunes encagoulés" ou de "débordements de la manifestation" ne sont pas la réalité. Nous appelons au calme et nous demandons à tous ceux qui ont des responsabilités, médias, politiques, associatifs, éducateurs, forces de l'ordre, ..., à ne pas mettre de l'huile sur le feu.

    Nous refusons l'amalgame qui est fait entre une manifestation digne, sans débordement, gérée sainement par les 13 organisations présentes, jusqu'au départ de l'ensemble des participants de la Place de la république, et un acte intolérable réalisé plus tard dans la soirée, loin du lieu de dispersion de la manifestation.

    Pierre Besnard, Préfet des Hautes-Alpes et Pierre Villard, président du Mouvement de la Paix ont convenu de se rencontrer prochainement.

    Nous invitons toutes les personnes qui s'offusquent de cette inadmissible et tragique agression à manifester dignement mardi prochain pour que cessent les bombardements sur la bande de Gaza et les tirs de roquettes sur Israël.

    Le meilleur moyen que ce conflit n'ait pas d'influence en France et ne donne pas lieu à des actes passables de délits, c'est qu'il cesse au plus vite !

     

     

  • Réaction

    Je condamne avec fermeté l'agression qui s'est produite à Gap à l'encontre d'une femme en situation de handicap. Les auteurs doivent être durement condamnés. Cet acte est inadmissible et intolérable dans notre république. J'ai une pensée pour les proches et la famille de la victime.

    JC Eyraud

  • Evasion fiscale: le hold-up du siècle !

    Voir ou revoir l'émission qui a été diffusée sur ARTE le 22 juillet 2014:

    http://www.arte.tv/guide/fr/047158-000/evasion-fiscale?autoplay=1

  • Arts, culture et territoires, le partage de l’interrogation, le courage de l’imagination

    En préalable à la réunion du Conseil des Collectivités Territoriales pour le Développement Culturel (CCTDC) du 17 juillet à Avignon, présidée par la Ministre de la Culture, les 11 associations d’élu(e)s* qui le composent ont lu la déclaration liminaire suivante :

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    On ne peut nier l’impact de la structuration territoriale ni celui d’une inquiétante baisse programmée des moyens budgétaires de collectivités. Mais la responsabilité culturelle politique, si elle peut s’adapter ou s’appuyer sur l’organisation territoriale, ne saurait y être entièrement indexée.

    Le courage de l’imagination.

    Un “territoire culturel” n’est pas un périmètre géographique fixe mais un ensemble de personnes liées par une communauté d’émotions, de confrontations de valeurs, de dialogues d’identités, d’héritages et de goûts. Ces communautés culturelles multiples, croisées, ignorent les frontières administratives car la culture et les arts croisent l’intuition la plus personnelle et la teneur d’universalité de leur puissance d’émancipation, le “terrain” et le monde, le proche et le lointain.

    Il relève de l’intelligence politique d’imaginer de nouveaux territoires culturels et de s’engager dans des coopérations à la fois entre collectivités et avec les personnes en élaborant des projets et des dispositifs mêlant les savoir-faire professionnels et le dynamisme créateur de chacun.

    De tels projets développés conjointement entre élus, artistes, professionnels et citoyens sont déjà une réalité.

    Il faut mettre en valeur les initiatives, les approfondir et être capable d’en inventer de nouvelles quand cela est nécessaire. Les politiques culturelles ont toujours été un espace d’imagination politique. Elles doivent continuer de manifester ce courage de l’invention, ce refus de la résignation, cette tension joyeuse de la construction libre de l’avenir.

    Le partage de l’interrogation.

    Un “territoire culturel », c’est un espace partagé d’inventivité artistique. A la liberté des artistes et des initiatives culturelles privées doit s’ajouter celle de la créativité politique, par-delà les habitudes, les contraintes des périmètres administratifs et la raideur d’une gouvernance verticale qu’ils induisent.

    Cette liberté se nourrit de dialogues, d’interrogations partagées, échangées.

    Elles sont multiples. Comment créer les conditions de l’exercice effectif pour tous du droit à expérimenter les langages artistiques ? Comment articuler le territoire dans son identité et l’invention artistique dans son universalité ? Comment compléter l’organisation d’une offre culturelle avec l’écoute de l’apport culturel de chacun ?

    Comment éviter instrumentalisation des artistes et des acteurs culturels sans renoncer à leur participation citoyenne ? Comment créer des territoires de liberté et des libertés de territoires ?

    Au moment où grondent les inquiétudes et émergent des tentations de repli, c’est au partage de l’interrogation et au courage de l’imagination que les associations d’élus co signataires des déclarations d’Avignon 2010, 2012 et 2013 convient aujourd’hui tous ceux qui savent que l’essor des arts et de la culture est la condition indispensable de la vitalité démocratique de notre société.

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    Avignon texte de onze associations d’elus

    * Association de Maires Ruraux de France, Association des Petites Villes de France, Association des Maires de France, Villes de France (ex Fédération des Villes Moyennes), Association des Maires des Grandes Villes de France, Associations Ville et Banlieue, Association des Communautés de France, Association des Communautés Urbaines de France, Assemblée des Départements de France, Association des Régions de France, Fédération Nationale des Collectivités Territoriales pour la Culture