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L'association France Palestine Solidarité 05 organise son Assemblée Généralele jeudi 22 novembre 2012 à partir de 17 hsalle Dum'Art 14 avenue commandant Dumont à GapCette AG se tiendra en présence de DIDIER FAGART membre du Conseil National de l'AFPS.Dans le cadre de la Semaine de la Solidarité Internationale l'AFPS05 organise une soirée publique :jeudi 22 novembre 2012 à partir de 20 h 30salle Dum'Art 14 avenue commandant Dumont à Gap.Après 20 min d'un diaporama sur le voyage en Palestine de 4 membres du groupe AFPS 05 en mars 2012,Didier Fagart membre du Conseil National de l'AFPS animera la soirée sur le thème :"Quel avenir pour la Palestine".Au moment où la Palestine demande à nouveau son adhésion à l'ONU et au moment où la bande de Gaza vit des moments tragiques,le thème proposé doit mobiliser tous les militants de la cause du peuple palestinien.AmitiésClaude
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Israël-Palestine, l’impasse permanente de la solution militaire Le Mouvement de la Paix demande l’arrêt immédiat des hostilités à Gaza
Avec la reprise d’opérations ciblées sur la bande de Gaza, qui ont eu pour conséquence l’assassinat d’Ahmad Jabbari, chef de la branche militaire du Hamas, Israël prend la responsabilité d’une relance de la violence au Proche-Orient.
Une fois encore, c’est en premier lieu, la population de Gaza déjà soumise à un blocus illégal et inhumain depuis 2007 qui en subit les conséquences. La sécurité de la population d’Israël ne sera en rien améliorée, comme en atteste les injustifiables tirs de roquettes subies par les populations frontalières.
Le risque d’un nouvel embrasement au Proche-Orient est réel. Israël menace la population de Gaza d’une intervention terrestre et l’armée poste ses chars aux abords du mur qui l’entoure.
A la veille d’une échéance électorale à l’occasion de laquelle Benyamin Netanyahou a annoncé l’alliance de son parti avec celui du leader d’extrême droite Avigdor Liberman, le gouvernement israélien choisit ainsi la politique du pire. Il n’hésite pas à proclamer sa volonté de renverser l’Autorité palestinienne, voire de liquider sa direction si la Palestine devient membre de l’ONU.
Dans cette situation grave, le Mouvement de la Paix dénonce la passivité du « Quartet1» qui n’a pris aucune initiative, ni même encouragé les diverses initiatives de négociations. Aucune pression réelle n’est exercée sur le gouvernement israélien qui mène une politique ôtant toute perspective d’avenir au peuple palestinien.
Le Mouvement de la Paix demande que tout soit fait pour obtenir l’arrêt immédiat des bombardements
israéliens.
Il s’adresse au gouvernement français, aux dirigeants de l’Union européenne pour leur demander d’exercer des pressions sur le gouvernement d’Israël pour qu’il se conforme au droit international, et pour qu’il lève le blocus de Gaza.
Les accords de coopération de l’UE avec Israël, qui sont soumis au respect des Droits de l’Homme, doivent être suspendus sans plus tarder.
La France doit répondre positivement à la légitime demande palestinienne d’adhésion à l’ONU.
Le Mouvement de la Paix invite tous ses comités à prendre des initiatives larges pour organiser l’action de protestation dans toute la France. Il invite tous les citoyens à s’adresser au Président de la République et au Ministère de Affaires étrangères. -
Le Sénat rejette le budget de la Sécurité Sociale : explication de vote du groupe CRC
Le Sénat a rejeté, le 15 novembre, l’examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013.
Les sénateurs ont rejeté la troisième partie du texte relative aux recettes par 186 voix contre et 155 pour puis, ils ont rejeté la totalité du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 par 186 voix contre et 155 voix pour.
Le vote du groupe CRC a été déterminant. La commission des Affaires sociales ayant ignoré l’intégralité 50 amendements déposés par les communistes, les élus ont choisit de s’opposer à ce budget d’austérité.
Explication de vote par Eliane Assassi :
Il ne peut y avoir de renforcement de la sécurité sociale, sans soutien durable à son financement sans mesures justes, solidaires, conformes aux principes fondateurs du Conseil national de la Résistance.
Des mesures positives ont été votées, l’article 11 par exemple. Mais nous regrettons que le Gouvernement ait choisi un financement assis sur la fiscalité plutôt qu’un renforcement des cotisations. La hausse du forfait social va dans le bon sens, mais l’assujettissement de l’intéressement et de la participation à cotisation sociale aurait créé des droits pour les salariés en matière de retraite et incité les employeurs à privilégier les salaires sur des rémunérations individuelles distribuées selon leur bon vouloir.
Le débat entre financement par les cotisations et financement par la fiscalité est essentiel ; il traite du modèle social que nous voulons construire. Si nous sommes tant attachés aux cotisations, c’est qu’elles sont une forme socialisée de salaire, un salaire différé, un prélèvement d’utilité sociale sur des sommes qui, sinon, iraient aux dividendes et à la spéculation. Tandis que la droite dénonce le coût du travail, nous mettons en avant le poids du capital. C’est pourquoi nous proposions une modulation des taux de cotisation en fonction des politiques salariales des entreprises et une contribution sur les dividendes. Le débat a été de qualité, il doit se poursuivre.
La majorité de gauche du Sénat et le Gouvernement pouvaient parvenir à dégager des recettes nouvelles, ne serait-ce qu’en reprenant les dispositions adoptées ici l’an dernier. Nous avons pris acte du vote par cette majorité de notre amendement sur la taxation des parachutes dorés, mais d’autres mesures étaient nécessaires parce que justes, comme l’instauration d’une cotisation patronale sur la part variable des rémunérations des opérateurs de marché ou la suppression des exonérations de charges pour les entreprises qui ne respectent pas l’égalité salariale entre les hommes et les femmes.
D’autres mesures auraient pu se substituer à l’article 16. Nous souhaitons comme vous, madame la ministre, une réforme de la dépendance ; son financement ne peut reposer sur les futurs bénéficiaires. Ce mécanisme d’inspiration assurantielle va au rebours des principes de notre protection sociale. Pourquoi le capital est-il moins soumis à cotisation que les salaires ?
Le débat sur l’huile de palme et la bière a été surréaliste. Le citoyen lambda, qui constaterait que nous y avons passé deux heures et demi -mais seulement une demi-heure sur la taxe des retraités- n’y verrait-il pas quelque indécence ?
Une partie des ressources prévues vient de mesures prises par le gouvernement précédent. Nous sommes encore nombreux à continuer à combattre les franchises médicales, la taxe sur les mutuelles, après avoir été si nombreux, à gauche, à en demander la suppression.
Les choix du Gouvernement ne permettent ni de desserrer l’étau de la crise financière, ni d’augmenter le niveau de la protection sociale des Français. Le groupe CRC prend toutes ses responsabilités. Il n’a d’autre choix que de rejeter cette troisième partie.
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Euromobilisation du 14 novembre contre l’austérité
- manifestation à Madrid
23 pays de l’Union européenne ont répondu le 14 novembre à l’appel à la mobilisation de la Confédération européenne des syndicats (CES) contre l’austérité.
- Manifestation à Paris
Grève générale en Espagne et au Portugal, manifestations et arrêts de travail en Grèce, en Italie, en France...
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CONFERENCE d'ATTAC le 24 NOVEMBRE à GAP: voyage au bout de la dette des états