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  • HAUTES-ALPES Le chômage augmente 0,6 % en septembre


    IMGP0016.JPGpar La Rédaction du DL | le 27/10/09

    HAUTES-ALPES

    Les mois se suivent et se ressemblent sur le front du chômage. En septembre, le Pôle emploi a constaté une hausse de 0,6 % du nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A (les "sans-emploi"). Cela porte à 12,4 % la hausse du chômage dans le département. Il est à signaler que ces chiffres sont les moins mauvais de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur qui affiche une hausse de 22,6 % en un an.
    Un constat inverse s'opère cependant avec les autres catégories de demandeurs d'emploi (activité réduite au cours du mois). Leur nombre a varié à la baisse de 2,1 % en septembre, alors que la hausse sur un an atteint 15 %. Sur cet indicateur, les Hautes-Alpes se rapprochent davantage de la moyenne régionale.
    À signaler aussi que sur le plan régional, les entrées à Pôle emploi augmentent sensiblement.

    Embellie dans les
    Alpes-de-Haute-Provence

    Le département voisin connaît une petite éclaircie sur le front de l'emploi. Le nombre de demandeurs d'emploi est en baisse de 0,1 % pour la catégorie A et de 0,6 % pour le cumul des catégories A, B et C.

     


    Paru dans l'édition 05A du 27/10/2009
  • DÉMÉNAGEMENT DE LA BIBLIOTHÈQUE DE L'ÉCOLOGIE :

    URGENT : APPEL À DES  BÉNÉVOLES

     

     

    La Bibliothèque de l'Écologie est contrainte de déménager des locaux municipaux de Gap qu'elle occupait depuis sept ans. Sa réinstallation dans de nouveaux locaux et dans le cadre d'un projet global  n'aura pas lieu dans l'immédiat. En revanche, il faut impérativement déménager avant Noël la totalité (environ 400 m3) par camions vers un lieu de stockage.

    L'ampleur de la tâche est immense : 60 000 livres, 1000 collections de périodiques, un volume considérable de documentation, mobilier, etc.

    Pour la mise en cartons des livres et périodiques et le démontage des étagères, nous recherchons  des bénévoles (groupes d'amis, venez au moins une journée !...).

    Travail demandé : de 9 heures du matin à 18h30, mise en cartons  attentionnée dans une bonne ambiance conviviale.

    Période de travail : du lundi 2 novembre au vendredi 11 décembre, y compris le mercredi 11 novembre et les week-ends des 7-8 novembre et 28-29 novembre.

    Il serait souhaitable qu'il y ait tous les jours du lundi au vendredi trois équipes de deux personnes.

    La coordination sera assurée par un responsable de chantier.

    Il serait nécessaire aussi qu'une personne disposant d'un fourgon cherche tous les jours des cartons à bananes chez deux commerçants.

    Le repas du midi sera offert sur place. Vous pouvez aussi apporter des en-cas.

    Nous contacter, de préférence par courriel : roland.demiller@free.fr

    ou par téléphone : 04 92 52 40 39.

    En cas d'absence, merci de laisser un message sur le répondeur, nous vous rappellerons.

    Votre aide précieuse sera la bienvenue.

    Nous vous en remercions mille fois d'avance.

    MERCI DE DIFFUSER LARGEMENT

    Roland de MILLER et l'équipe de la Bibliothèque de l'Écologie.

    8 cours du Vieux Moulin

    05000 Gap

    tél : 04 92 52 40 39

  • Le ministère de la santé «débloque»

    hopital_Gap.jpg Le projet d'arrêté de fermetures des blocs opératoires pratiquant moins de 1500 actes annuels poursuit et accentue la guerre menée par les gouvernements successifs contre les hôpitaux de proximité de taille réduite. La dernière loi dite "Bachelot" ne fait que généraliser les pratiques antérieures, en les rendant plus opérationnelles avec la mise sur pied d'un pouvoir pyramidal et antidémocratique dont les ARS sont le pilier. M. Vallencien voilà quelques années s'en prenait à environ 113 blocs dont certains sont déjà fermés ! et aujourd'hui c'est encore l'escalade avec 182 annoncés en plus. Obernai, Ruffec, Champagnole, Aubagne, Albi, Castelnaudary, la plupart des hôpitaux bretons de taille moyenne ou petite, Clamecy, Châtillon sur Seine, Belley, Gap-Sisteron, Paris Bellan, Briançon, Boulogne Billancourt, Chalon, Decazeville, Die, Lisieux, Montceau-les-Mines, Montluçon, Thouars, Vouziers… sont face à des menaces de destructions partielles ou totales de services chirurgicaux. Des centaines de structures hospitalières sont démantelées et fragilisées, et la chirurgie est désormais assurée pour plus des 2/3 par le privé ou sévissent souvent dépassements d'honoraires et parfois dessous de table. Certaines localités n'ont plus d'offre publique de santé et les patients sont confrontés à d'intolérables pressions financières supplémentaires, ce qui va encore réduire les nécessaires interventions pour beaucoup de nos concitoyens.

    Une nouvelle fois l'idéologie dominante - à nos yeux irresponsable- de restructurer et de concentrer les structures sanitaires sévit. L'intérêt des personnes et des territoires est une nouvelle fois ignoré, les personnels ne sont pas consultés, les élus locaux non plus. L'accès égalitaire à une santé de proximité n'existe plus. Le maillage territorial sanitaire que l'étranger nous enviait devient peau de chagrin. On désertifie des territoires entiers, on augmente les zones blanches sanitaires… et on accentue les dépenses, les risques, les temps d'accès aux soins, en multipliant des transferts, ce qui est en plus écologiquement stupide. Pire on laisse de côté les personnes plus isolées, les plus démunies, qui ne consultent plus ou moins : 15 % de français ne consulteraient déjà plus, 20% des consultants ont disparu là où on a déjà procédé à des regroupements reconnaissent les présidents de CME-Commissions médicales d'établissements.

    L'hôpital pivot ou central n'en profite guère. Au contraire les files d'attente s'accentuent, et là encore également les temps d'attente, souvent pour des besoins sanitaires bénins qui auraient largement pu être traités localement. Les personnels - déjà de moins en moins nombreux- sont stressés, sous pression, et sont condamnés à faire plus vite et forcément plus mal l'accueil et les soins nécessaires.

    La Coordination nationale condamne fermement ce projet d'arrêté comme elle condamne toute la politique territoriale en matière de santé menée depuis une quinzaine d'années. Il faudrait rétablir une vraie démocratie sanitaire, partir des besoins des personnes (usagers et personnels) et des territoires, faire jouer à plein le principe de subsidiarité (traiter ce qu'on peut sur place, c'est-à-dire la très grande majorité des demandes) et orienter vers des sites spécialisés et plus dotés les rares cas qui le nécessitent. Et surtout augmenter considérablement le recrutement des personnels et veiller à ce qu'enfin ils soient mieux répartis territorialement. Bref une toute autre politique, nettement plus courageuse, qui profiterait enfin aux principaux intéressés, les utilisateurs (patients, usagers, familles et proches) et tous les personnels des structures sanitaires

  • Communiqué à la presse

    bandeau_logo.jpgLe conseil d'administration de l'OPH 05 est appelé à se prononcer le mercredi 28 octobre prochain sur la politique relative aux loyers pour l'exercice à venir.
    L'indice de référence des loyers (IRL) qui correspond à la moyenne sur les 12 dernièrs mois, de l'évolution des prix à la consommation publié le 14 octobre est de 0,32 %, il était de 2,95 % à la même période l'année dernière.
    L'augmentation des loyers au 01/01/09 avait été de 1,5%.
    Compte tenu de ces éléments et dans la période actuelle de hausse du chômage, de la précarité et de la pauvreté, les administrateurs CGT 05 et INDECOSA-CGT 05 exigeront le gel des loyers pour  l'année 2010.
    Gap le 26 octobre 09

  • La Mutualité Française Hautes-alpes n’est pas d’accord : Denis PHILIPPE, Président de la Mutualité Française Hautes-Alpes demande aux mutuelles du département de ne pas prendre en charge les médicaments dont le taux de remboursement passerait à 15%

    1er mai.JPGDans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2010, les pouvoirs publics envisagent l’instauration pérenne d’un niveau de remboursement à 15% pour certains médicaments dont le service médical rendu est insuffisant, faible ou modéré.

    Denis PHILIPPE, Président de la Mutualité Française Hautes-Alpes demande aux mutuelles du département de ne pas prendre en charge les médicaments dont le taux de remboursement serait porté à 15%.

    En effet, il considère que si la Haute Autorité de Santé juge un médicament inefficace scientifiquement, il n’y a pas de raison qu’il soit pris en charge par les mutuelles. Cela s’inscrit dans la politique voulue par la Mutualité Française qui ne veut plus être un payeur passif.
    Les mutuelles souhaitent désormais concentrer leurs efforts financiers pour leurs adhérents afin que ceux ci accèdent à des soins de qualité.