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  • Prochaine séance du conseil municipal de Gap

    autres-villes-autres-montagnes-gap-france-5510370136-926074.jpgLa séance du 23 octobre a été annulée.

    Elle est reportée au SAMEDI 14 NOVEMBRE en début d'aprés-midi.

    A suivre...

  • Annulation du conseil municipal de la ville de Gap du 23/10/09

    horloges-cabanes-gap-france-8819085956-894726.jpgNous savions que la démocratie n’allait pas très bien à Gap. Mais ce soir, avec la suppression de la séance du conseil municipal, elle fait un accès de fièvre. Lorsqu’une municipalité est incapable de répondre à des situations injustes (certains ont un local d’autres non) il ne faut pas s’étonner que les actions se multiplient pour faire valoir le droit. Le syndicat Solidaires lorsqu’il demande d’avoir des locaux comme les autres syndicats est dans son droit d’autant plus que, selon Monsieur le Maire, il y a de nombreuses associations dans le même cas. Lorsque la démocratie laisse les syndicats et les associations à la rue, il faut affirmer qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Les élus devraient commencer par satisfaire les besoins démocratiques des citoyens de la ville : local, lieu d’expression, aide matérielle… Lorsque ceux-ci sont laissés en friche sommes-nous encore en démocratie ? Cette situation était ubuesque : le maire fait un chantage indigne de son poste " ou vous sortez de l’hémicycle ou j’arrête la séance " Ne pouvait-il pas proposer aux conseillers de faire une interruption de séance et demander à rencontrer quelques représentants du syndicat ? Cela lui aurait évité de reprogrammer une séance.

    Jean-Claude EYRAUD
    Conseiller municipal
    Groupe G.A.UC.H.E.
  • GAP Le point sur la grèves à France Télécom


    par La Rédaction du DL | le 21/10/09

    La date d'hier pourrait être historique. En tout cas, elle restera symbolique dans les Hautes-Alpes. Le rassemblement proposé hier matin par l'intersyndicale CFTC, CFDT, Sud et CGT, dans la cour du centre d'appel France Telecom de l'avenue Jean-Jaurès était inédit. « Cela faisait bien longtemps que l'on n'avait pas vu autant de monde quitter son poste de travail à l'appel d'une grève », constate Laure Prost, délégué du personnel CFDT.

    « En plus, tout s'est organisé hier soir (NDLR : lundi soir) à la demande des salariés eux-mêmes », renchérit Michel Coia de Sud.

    Résultat : ils étaient plus d'une cinquantaine du centre d'appel et du site de Ladoucette à venir parler de leur "mal être" au travail. Il ne restait quasiment plus personne dans le petit immeuble de l'avenue Jean-Jaurès hier entre 10 h et 11 h 30.

    Le site "mouroir",

    la solitude du technicien

    Le malaise était palpable dans la petite cour. Entre les interventions de représentants syndicaux et délégués du personnel, des salariés ont pris la parole pour expliquer leurs difficultés.

    Comme cette femme qui, en 5 ans, a changé trois fois de travail et déclare « travailler aujourd'hui dans un site aux allures de mouroir ». Ou encore ce salarié de Veynes qui dit « souffrir de la solitude dans son poste de technicien. On ne peut plus voir les autres collègues pour boire un café. Si on ne se téléphone pas, on est seul toute la journée et toute notre vie. Sans parler des charges quotidiennes de travail où les délais de route ne sont pas comptés dans notre journée » !

    Un collègue technicien ajoute : « Dans certains cas, on n'a même pas le temps de faire le trajet sur la journée. Quand on téléphone en interne, on nous demande notre code et même pas notre nom ».

    Des objectifs

    "inatteignables"

    Une salariée dénonce : « Les objectifs sont tellement "inatteignables" qu'on les met sous le coude, sans les regarder ».

    Un autre poursuit : « On doit arrêter les fermetures de boutiques. Après celle de Sisteron, c'est la menace sur Briançon. Et le respect du client dans tout cela ? Rien. Il n'est vu uniquement que comme une pompe à fric ».

    L'individualisation, le nomadisme, l'aspect compétitif mené à outrance furent à maintes reprises dénoncés.

    «On exige des mesures

    concrètes et immédiates»

    « Restez mobilisés pour que les choses changent et que vous ressentiez ces changements », conseille Eric Marchandiau, délégué CFTC Avignon-Gap.

    « On exige des mesures concrètes et immédiates, insiste Michel Mokobodzki de la CGT. On ne veut pas que la boîte coule, mais un dialogue constructif avec le retour du lien social ».

    Laure Prost de la CFDT ajoute : « Beaucoup de gens sont en maladie, nous recevons des salariés "démolis" dans nos permanences. Il y a une réelle montée du malaise au travail ».


    Frédérique FAYS
    Paru dans l'édition 05A du 21/10/2009
  • Conseil municipal du 23 octobre 09:questions orales de notre groupe

    Monsieur le maire,
    Gap.jpg1- Mise en œuvre des containers semi-enterrés ou enterrés
    Qu'elle est votre logique de mise en place ?
    Avez-vous prévu de faire un bilan de fonctionnement des containers installés ?
    Avez-vous prévu de refondre les tournées de ramassage des ordures ménagères ?
    2- Quartier de la gare
    Nous avons lu dans la presse locale que "les choses sérieuses commencent".
    Une réunion a eu lieu dernièrement sur le réhabilitation du quartier de la gare.
    Nous n'avions pas été confié à cette réunion.
    Vous avez annoncé à cette occasion la création d'un comité technique.
    Nous souhaitons être associé à l'élaboration de ce dossier qui vous l'avez annoncé sera une priorité de notre ville.
    3-Alimentation en eau potable de notre cité
    J'ai abordé en commission travaux la question de l'alimentation en eau potable de la ville de Gap et ceci compte tenu de la sécheresse qui frappe notre région.
    Nous subissons un étiage du Drac( prise d'eau superficielle des Ricous) et des sources préoccupant.
    Nous avons une réserve en eau de 40 jours environ.(réserve des Jaussauds)
    Les pompages des Ricous peuvent être mis en fonctionnement pour l'alimentation de la ville de Gap en eau potable uniquement sur demande dérogatoire à la préfecture.
    Toutefois ces pompages ont de faibles réserves et ne suffiront peut-être pas.
    Ils ont une incidence marquée sur l'assèchement du Drac à l'aval, d'où l'idée d'utiliser le pompage d'essai déjà réalisé de la Plaine de Chabotte qui peut alimenter notre ville en secours avec peu d'incidence sur le Drac, avec l'autorisation de la préfecture.
    Nous pensons que la ville devrait prendre rapidement les décisions suivantes:
    - utiliser le forage d'essai de la plaine de Chabotte en accord avec la CLEDA en secours,
    - lancer dés à présent l'appel d'offre pour l' équipement définitif de ce forage et la nouvelle canalisation,
    - poursuivre activement la recherche d'eau pour la diversification de l'alimentation en eau de la ville afin de s'affranchir des étiages répétés du Drac et l'abandon de cette ressource non satisfaisante.
    Bien cordialement,
    Jean-Claude EYRAUD
    Conseiller municipal
    Groupe G.A.U.C.H.E.


  • Conseil municipal du 23 octobre 09

    ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2010 : RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL ! ! ! !

    details-gap-france-2325708271-894037.jpgNous avons en mains depuis ce matin des éléments de débat d’orientations budgétaires 2010 de la ville de GAP.

    Nous allons entreprendre un travail collectif de préparation de ce débat qui constitue un moment essentiel de la vie de notre ville.

    Toutefois nous constatons une fois de plus le manque d’ambition de notre ville sur des orientations qui nous semblent impératives et urgentes :

    • Lancement d’une véritable coopération intercommunale,
    • Réduction de l’endettement,
    • Stabilisation de la pression fiscale,
    • Mise en place d’un plan pluriannuel des investissements,
    • Réduction de la facture énergétique de la ville,
    • ...
    • Nous reviendrons sur ces questions et bien d’autres lors de la séance du conseil municipal du 23 octobre 09.