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  • LA FORTUNE DES 10 FRANCAIS LES PLUS RICHES A TRIPLE EN HUIT ANS

     

    Scandaleux ! La fortune des 10 Français les plus riches a triplé en à peine 8 ans...

    De gauche à droite voici le classement 2017 des Français les plus riches:

    1. Bernard Arnault (LVMH) : 38,6 milliards d’euros

    2. Liliane Bettencourt (L’Oréal) : 36,7 milliards d’euros

    3. Serge Dassault (Groupe Dassault) : 14, 9 milliards d’euros

    4. François Pinault (Kering ex-PPR) : 14,6 milliards d’euros

    5. Patrick Drahi (Altice) : 12 milliards d’euros

    6. Gérard Wertheimer (Chanel) : 10,9 milliards d’euros

    7. Alain Wertheimer (Chanel) : 10,9 milliards d’euros

    8. Emmanuel Besnier (Lactalis) : 10,5 milliards d’euros

    9. Xavier Niel (Iliad) : 7,5 milliards d’euros

    10. Vincent Bolloré (Groupe Bolloré) : 4,8 milliards d’euros

    TOTAL 161,4 milliards d’euros

    Dit autrement : 161 400 000 000 €

    Celles et ceux qui réfutent l’existence de la haute bourgeoisie n’ont qu’à bien se tenir. En pleine période de crise économique, entre chômage record et récession de la production, les Français les plus riches ont vu leur fortune littéralement exploser. La vitesse inouïe à laquelle le grand capital se développe creuse le fossé entre les classes sociales et confirme la domination de la caste des milliardaires sur l’outil productif français. Les ennemis du progrès social ont un visage, et le faire connaître relève d’un intérêt supérieur pour la nation et son avenir.

    Et ils ne s’en cachent même plus. Les Français les plus riches voient leur fortune gonfler à vue d’œil, tandis que la morosité imbibe toujours l’économie nationale. Sorti au début du mois dernier, le classement annuel du magazine Challenges étale les richesses d’une petite caste, si gigantesques qu’elles sont une injure pour le commun des travailleurs. En décryptant ces chiffres, la société française apparaît sous son vrai jour : un système capitaliste dans l’intérêt exclusif de la haute bourgeoisie, qui tire toujours ses abondantes ressources de l’exploitation de la classe ouvrière, donc vous...

    On nous parle de crise depuis des années, que la classe moyenne doit se serrer la ceinture et sacrifier nos vies à enrichir celles d'une minorité toute puissante. Que nous sommes responsables de l'évaporation de notre argent publique pendant qu'ils s'exilent dans les paradis fiscaux.

    En France, une PME est assujettie à 33,33% d’impôt sur les sociétés, elle en paye généralement 28% réellement, après application des crédits d’impôts ou abattements légaux ; alors qu’une entreprise du CAC 40 émarge en moyenne à 8% seulement. Dans ce cas précis ce n'est pas une crise mais un hold-up, un racket organisé et légalisé purement et simplement, disons les choses telles qu'elles le sont réellement !

    "Que les riches vivent plus simplement, afin que les pauvres puissent simplement vivre..."

    PS : N'hésitez pas à partager l'information autour de vous afin que cette réalité soit exposée au plus grand nombre, c'est juste plus possible qu'une poignée d'hommes et de femmes se gavent sur la misère du reste du monde... Nous comptons sur vous.

     

  • Demander le programme (extraits de « l’avenir en commun »)- 2,85 € dans toutes les bonnes librairies.

    Parmi les déferlantes qui tombent sur Mélenchon, susceptible de se qualifier pour le second tour, la critique de la fiscalité est l’une des plus importantes.

    Qu’en est-il ?

    Le programme prévoit bien une hausse des prélèvements de 120 milliards mais étalées sur 5 ans, soit 24 milliards par an. Idem pour l’investissement et les dépenses publiques 265 milliards (53 milliards /an) décomposés en 20 milliards d’investissement, équivalent au CICE et 33 milliards pour les nouvelles dépenses, soit moins que le pacte de responsabilité : 41 milliards.

    Ce plan de relance pèse 2,4 du PIB bien loin de la collectivisation massive de l’économie. Projet d’inspiration Keynésienne et non marxiste.

    Mais pour quoi faire ?

    • Engager un plan de relance de l’activité et de l’emploi au service de la transition écologique. (Mesure 18).

    • Mobiliser l’argent pour financer les petites et moyennes entreprises (mesure 21)

    • Protéger et généraliser l’économie sociale et solidaire et l’économie collaborative (22)

    • Augmenter les salaires, SMIC à 1326 € pour 35 heures. (30)

    • Restaurer le droit à la retraite à 60 ans, augmenter les petites pensions. Minimum vieillesse = seuil de pauvreté environ 1 000 €.(31)

    • Réprimer les inégalités hommes/femmes (32)

    • Eradiquer la pauvreté (33)

    • Créer 3,5 millions d’emplois (300. 000 économie de la mer-300 000 dans l’agriculture paysanne et bio, 900 000 par la transition énergétique et 2millions par la relance de l’activité et l’emploi public.

    Qui doit payer ?

    • IRPP (14 tranche au lieu de 5 aujourd’hui)- Toute personne qui gagne moins de 4 000 €/mois paiera moins qu’aujourd’hui. Entre 4 000 € et 6 000 € stabilité. Au-delà de 6 000 € augmentation. Dernière tranche à 90% pour les salaires > à 33 000 euros mois ce qui représente 0,05 de la population. Il convient de préciser que ces derniers bénéficieront des taux de chacune des tranches intermédiaires.

    • Evaluer chaque niche fiscale, il y en a 451, elles représentent 60 à 70 milliards d’euros et supprimer celles qui sont injustes, inefficace socialement ou nuisibles écologiquement.

    • Renforcer l’impôt de solidarité sur la fortune.

    • Refonder l’impôt sur les sociétés pour établir l’égalité entre les PME et les grands groupes.

    • Augmenter les droits de succession sur les gros patrimoines > 33 millions d’euros…36

    • La fraude et l’évasion fiscale représentent 80 milliards d’euros.

    Compensations

    • Baisse de la TVA sur les produits de première nécessité.

    • Taux majoré sur les produits grands luxes.

     

    Fait le 14/4/2017 A Embrun

     

    Gérard LADOUX

     

  • Mesdames Messieurs les Elus de la Ville de Gap, de son CCAS et de la Communauté d’agglomération Gap Tallard Durance.

    27364_100001115076350_6844_n.jpgAdresse des SYNDICATS CFDT, CGT et FSU de la ville de GAP

    STOP à l'explosion des arrêts de travail dans nos collectivités,
    OUI à l'amélioration des conditions de travail,
    NON à la répression sur nos rémunérations
    Le dernier CT réuni le 07 avril a été une mascarade, un dialogue de sourds !!!
    Nous, représentants syndicaux, dénonçons et refusons la méthode de travail qui nous est imposée lors des instances.
    Nous exigeons de la collectivité que les décisions importantes impactant la vie professionnelle et en conséquence nos vies personnelles, soient travaillées au préalable, en concertation avec les
    représentants du personnel par la création de groupes de travail, comme cela était d’usage dans nos collectivités. Nous rappelons la circulaire du 28 mai 1982 modifié en 2014 sur le renforcement de la qualité du dialogue social qui réaffirme l'importance de l'association des personnels aux évolutions en cours, pour une meilleure gestion des ressources humaines préservant l'intérêt des usagers et promouvant de meilleures conditions de travail.
    Lors des débats en séances, malgré des arguments précis et chiffrés de vos représentants, les élus passent leur dossiers, en force.
    Comme souvent, lors de ce dernier CTP, nous n'avons pas pu aborder nos questions, notamment celles concernant les conditions de travail déplorables de certains services tels l'EHPAD ou l'état civil...
    Vendredi dernier la collectivité nous a présenté notamment :
    - un plan de formation, totalement différent du précédent que nous avions co-construit avec les élus et la DRH. La collectivité nous a demandé de le voter en l'état et de le modifier après !!!!
    - un plan de lutte contre l'absentéisme basé principalement sur la stigmatisation et la répression des agents malades . La collectivité, dès le 1er mai 2017 :
    * supprimera le régime indemnitaire dés le premier jour d'absence au prorata de la durée de
    l'arrêt de travail
    * supprimera le versement de la prime de fin d'année dès le 20ème jour d'absentéisme
    * répercutera l’absentéisme sur l’avancement de la carrière professionnelle
    * créera une Commission de Retour à l’Emploi devant laquelle vous aurez tout le loisir de
    demander un recours gracieux à l'employeur, qui l'examinera : Commission constituée du DRH, d’élus du CHSCT, du médecin du travail, de la psychologue du travail et du supérieur hiérarchique . Comme l'indique la circulaire ministérielle, nous soutenons qu'il faut une politique s'appuyant sur des démarches d'amélioration des conditions de travail et de qualité de vie au travail. Nous avons nous même, à de nombreuses reprises, alerté sur l'état de santé (physique et psychologique) des agents, sur l’augmentation inquiétante des arrêts de travail.
    Les chiffres parlent d'eux-mêmes: sur la période 2001-2009 la maladie ordinaire représentait 9,71 jours d'absence par an et par agent alors que la moyenne nationale sur cette période représentait 12,95 jours d'absences dans les collectivités de la même grandeur.
    En 2011 la maladie ordinaire de nos collectivités bondit à 14,81 jours pour une moyenne nationale de 13,78 jours par an et par agent, pour une valeur à ce jour de 25 jours ... Mais que s'est il donc passé !!
    Nous soutenons que la collectivité créée elle-même les causes des arrêts de travail et veut punir
    ensuite les agents en souffrance.
    La maladie n'est pas un choix! STOP au « fonctionnaire bashing »
    Les représentant syndicaux ont donc, à l'unanimité, voté CONTRE tous ces textes car ils sont
    un nouveau recul sur les avancées sociales. Nous refusons de laisser les choses en l'état,
    nous refusons que ces textes passent en Conseil Municipal et y soient adoptés après une
    deuxième séance du CT qui sera aussi stérile que la première …. Cela suffit!!!!!!
    Nous présentons donc à la collectivité les demandes suivantes pour réponses avant le 25 Avril 2017:
    • L’abandon de ce plan de lutte contre l'absentéisme
    • Un bilan en 2017 sur toutes les préconisations soulevées par l'étude RPS (risques
    psychosociaux) du cabinet CATEIS
    • Une nouvelle étude sur les conditions de travail et les RPS auprès des 3 collectivités au
    même titre que celle demandée pour les EHPADs en CHSCT dés cette année
    • La création immédiate d'un groupe de travail en vue de l'amélioration de l'absentéisme
    dans nos 3 collectivités
    • L’arrêt des changements arbitraires et successifs du temps de travail, précédemment
    validés en CT après concertation des personnels notamment pour les services de l'état
    civil, du guichet unique…
    • Le rétablissement, dés septembre, des temps partiels à 80% et 90% pour ne plus
    pénaliser les agents (majoritairement des femmes) qui souhaitent travailler ET élever
    leurs enfants, comme la loi l'a prévu
    • la suppression immédiate des cycles de 35h pour les nouveaux embauchés et les
    mutations internes et le retour à l'application du protocole d'accord sur le temps de travail
    • La titularisation sans délai des contractuels restant dans le cadre de la loi Sauvadet
    • L’arrêt des horaires coupés jusqu‘à 3 fois par jour pour les agents les plus précaires qui
    viennent travailler pour 3x1 ou 2h par jour
    • La suppression des contrats sous statut « centre de gestion » au profit des contrats
    « Mairie »
    • le versement de la prime de fin d'année pour les contractuels dés la 1ere année de
    présence dans la collectivité, dés 2017
    • la participation forfaitaire de la collectivité à nos cotisations pour la mutuelle santé et/ou
    pour la garantie maintien de salaire des agents à hauteur d'une cotisation d'un agent au
    SMIC, dés 2017
    • Le paiement des heures supplémentaires faites à la demande de la collectivité dés
    aujourd’hui
    • La mise en place d’horaires variables
    • De la clarté sur les avancements et promotions basée sur des critères objectifs et connus
    et des explications sur les non promotions
    • La mise en place d'une solution (dédommagement financier, participation assurance,
    indemnité...) pour les agents se déplaçant avec leur véhicule personnel
    • L’augmentation de la prime de fin d'année à hauteur du SMIC dans l'esprit de sa création
    par la création d’une prime complémentaire dés la fin de cette année
    • Le respect des droits syndicaux
    • Le respect des instances paritaires et des représentants du personnel
    Une Assemblée Générale aura lieu le 27 Avril 2017 à 17h45 aux Services Techniques pour rendre compte aux agents de ces réponses
    La ville DOIT « mettre le paquet »
    pour son personnel municipal « emblématique » !!!!
    (cf DL du 11 avril 2017)
    On est tous des RAPACES

  • UNE DECISION GRAVE de CONSEQUENCES !

     

    Le vendredi 7 avril, le Président du CCAS de la ville de Gap a fait voter aux administrateurs une délibération  concernant la création d'un forfait linge au kg pour les résidents de l'EHPAD.

    Auparavant, le linge était compris dans la prestation.

    Désormais la prestation linge est externalisée et payée par chaque utilisateur.

     « Décision :

    Il est proposé :

    Article 1er : d'externaliser la prestation de nettoyage du linge des résidents.

    Article 2 : de fixer le prix de la prestation pour les résidents qui souhaitent utiliser ce service, comme suit :

    Lavage, séchage, défroissage, tri par résident, pliage, filmage par résident et transport :

    2,82 € TTC par kg.

    Avec repassage : 4,2 € TTC par kg

    Article 3 : que la prestation prenne effet dès la validation du budget hébergement par le Conseil Départemental, c'est-à-dire dès l'obtention du prix de journée. »

    Les familles vont devoir supporter en plus des tarifs d’hébergement déjà très élevés le lavage du linge du résident.

    Cette décision est totalement à l’opposé de la volonté de maîtriser les tarifs d’hébergement dans les EHPAD.

    Elle pénalisera une fois de plus les familles les plus modestes.

    Gap le 9 avril 2017

    Joël REYNIER

    Conseiller municipal du groupe « Tous Capables » G.A.U.C.H.E.

     

     

  • NOUVELLE TENTATIVE D’EXPULSION DE PLUMER

                                 MOBILISONS NOUS POUR SA LIBÉRATION

     

                             RASSEMBLEMENT PLACE DE LA RÉPUBLIQUE

                                            

                                           MERCREDI 5 AVRIL A 18H

     

    Déjà l’an dernier, une large mobilisation avait permis de stopper l’expulsion. Soyons nombreux pour une nouvelle fois, exiger sa libération du centre de rétention administratif de Marseille et sa régularisation définitive.

     

    Ce mardi 4 avril 2017, Elizardo Plumer, artiste peintre originaire de Cuba, a été arrêté et envoyé au centre de rétention administratif de Marseille.

    Ce cubain, arrivé en France en 2009, a tissé de nombreux liens dans les Hautes-Alpes et ses œuvres sont appréciées et largement reconnues.

    Des associations et des individus se mobilisent pour lui apporter leur soutien et dire à nouveau publiquement leur indignation face à la violence de ce procédé.

     

                                         La mobilisation avait payé

                             Nous ne lâcherons pas Plumer

                             Rassemblement dès ce mercredi,

                               place de la République, à 18H

     

                           Et les jours suivants si nécessaire !