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  • Elections municipales à GAP en mars 2014:communiqué à la presse

     

    gapLa situation économique et sociale de notre pays et en Europe ne cesse de se dégrader : pour y faire face il est de notre responsabilité de poursuivre notre engagement politique en portant nos valeurs de solidarité, de liberté, d'égalité et de fraternité.

    Depuis des mois, le travail commencé lors des réunions «des capables» nous a permis d’élaborer des propositions pour changer la vie dans notre ville.

    De nombreux citoyens y ont participé avec plaisir et enthousiasme.


    Cette démarche m’a conduit à vérifier qu’il est possible de rassembler et de construire une alternative citoyenne au fonctionnement politique habituel. Redonner confiance en proposant un changement politique pour notre cité, est l’objectif que je m’assigne. Je suis donc candidat à la candidature pour conduire une nouvelle fois la liste « G.A.U.C.H.E. » aux élections municipales à Gap en mars 2014.


    Toutes celles et tous ceux qui partagent cette démarche de démocratie active sont invités à assister à l’assemblée citoyenne du vendredi 28 juin 2013 au CMCL Bld Pierre et Marie Curie à Gap de 15h à 23h.


    Gap, le lundi 24 juin 2013


    Jean-Claude Eyraud


    Conseiller municipal de la ville de Gap du groupe G.A.U.C.H.E.


    (GAP, Alternative, Unitaire, Citoyenne, Humaniste, Ecologique)

  • Le SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) de l'aire gapençaise: enquête publique du 21 juin au 25 juillet 2013

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    LIRE et TELECHARGER le LIVRET de L'ENQUETE PUBLIQUE.

  • Retraites : Les Mutuelles de France s’inquiètent des premières annonces qui ont été faites à l’issue de la conférence sociale.

    mutuelle_de_france_0405.pngAlors que la crise économique et sociale frappe chaque jour plus de Français, les pistes de travail esquissées semblent n’aller ni dans le sens de la justice ni celui de l’égalité.
    Depuis plus de 15 ans, les pouvoirs politiques n’ont eu de cesse de réclamer « des efforts » aux Français afin de préserver notre système de retraite par répartition. Chacune de ces réformes a conduit à une restriction des droits des salariés, sans pour autant assurer une retraite pour les générations futures.
    Nous rappelons qu’en 2010, l’espérance de vie en bonne santé a diminué en France. Cette seule donnée devrait conduire les adeptes de l'allongement de la durée de cotisation et du recul de l'âge légal à plus de prudence.
    La Fédération des mutuelles de France appelle le gouvernement à laisser derrière lui les vieilles recettes libérales qui ont montré leur inefficacité, et à faire preuve d'innovation et d'audace.
    Cette énième réforme des retraites constituera un nouvel échec si elle n’est pas l’occasion de mettre en oeuvre une profonde réforme de notre système de protection sociale solidaire, dont font partie les retraites et l’assurance maladie notamment.
    Seule cette refonte permettrait de mettre à contribution l’ensemble des revenus qui aujourd’hui ne participent pas à la solidarité nationale, augmentant ainsi des recettes à la hauteur des besoins.
    Les Mutuelles de France appellent les partenaires sociaux à privilégier une réforme de progrès social pour tous les Français plutôt que des mesures court-termistes injustes.


    Montreuil, le 21 juin 2013

  • Les trois quarts des communes ne perçoivent pas la totalité de la taxe de séjour

    Méconnaissances des capacités d'accueil, absence de moyens de contrôle, complexité de recouvrement : la taxe de séjour, perçue par les communes touristiques depuis plus de cent ans, aurait besoin d'être réformée. C'est ce qui ressort d'une étude publiée par l'Association nationale des maires des stations classées et des communes touristiques, réunie en congrès ces derniers jours.

    A l'occasion de son congrès à Fouesnant-les-Glénan, du 12 au 14 juin 2013, l'Association nationale des maires des stations classées et des communes touristiques (ANMSCCT) publie une étude sur "Les communes touristiques face à la taxe de séjour". Réalisée par le cabinet de conseil CTR, celle-ci a été menée sous la forme d'un questionnaire adressé aux 1.100 collectivités membres de l'association. Les 304 réponses reçues sont représentatives des 2.524 communes qui appliquent la taxe de séjour (auxquelles s'ajoutent 633 EPCI).
    Elles confirment les difficultés spécifiques liées à cette taxe, qui remonte à 1910 - avant l'impôt sur le revenu des personnes physiques ! - et dont la réforme est régulièrement évoquée sans jamais aboutir. La première difficulté tient à la méconnaissance de l'assiette, puisque nombre de communes n'ont qu'une vision partielle de leurs capacités d'accueil. Ainsi, 27% des répondants disent ne pas connaître les capacités d'accueil des résidences de tourisme (23% pour les villages vacances et 17% pour les meublés). Les modalités de perception varient également : la taxe est perçue par la commune dans 62% des cas, par l'EPCI auquel elle est déléguée dans 24% des cas et par l'office de tourisme dans 14% des cas. De même, trois régimes d'imposition coexistent : le réel (66% des cas), le forfait (21%) et le mixte (13%).

    Une réforme nécessaire

    Mais la principale difficulté réside dans la sous-collecte manifeste de cet impôt indirect : au total 74% des communes déclarent ne pas percevoir la taxe de séjour de façon exhaustive. Interrogées sur le type de structures auprès desquelles elles estiment sous-collecter, les communes évoquent en premier les meublés (53% de citations), les gîtes (23%), les chambres d'hôtes (22%), les agences immobilières (17%), les hôtels (16%) et les terrains de campings (16%). En revanche, la couverture est presque exhaustive sur les ports de plaisance (4%), les villages de vacances (5%) et les résidences de tourisme (7%).
    Interrogées sur les problèmes rencontrés avec la taxe de séjour, les communes placent en tête l'absence de moyens de contrôle (76% de citations), suivie du problème du recensement des capacités (69%), de la complexité du recouvrement (49%), des relations avec les hébergeurs (32%) et de la lourdeur déclarative (24%). L'étude rend compte également des différents moyens mis en œuvre pour surmonter ces difficultés : recrutement d'un agent spécialement chargé de la gestion de cette taxe, relances, rapprochement de fichiers, taxation d'office (solution pratiquée, mais illégale)... Dans ces conditions, la réponse à la question conclusive ne surprendra guère : 58% des communes interrogées estiment nécessaire de réformer la taxe de séjour. La même proportion souhaite que les tarifs soient réévalués (la dernière revalorisation étant jugée trop ancienne), tandis que 44% espèrent une réforme de l'assiette, jugée trop restrictive. Les autres demandes portent sur la simplification de la procédure de déclaration, sur la mise en place de mesures incitatives et de campagnes de communication, ainsi que sur le renforcement des moyens de contrôle, de poursuite et de répression de la fraude.

    Jean-Noël Escudié / PCA