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  • Stade de glace de Gap: les derniers chiffres annoncés par le maire !

    122167-mairiedegap.jpgLors de la dernière séance du conseil municipal de Gap, notre groupe a interrogé le maire au sujet du montant final et définitif de l'investissement du stade de glace.

    D'aprés les éléments fournis, qui ne sont pas définitifs car "toutes les réserves ne sont pas lévées, notamment concernant la tenue de la glace pour la piste extérieure et la consommation réelle d'energie (1 an de facture)", le montant HT est de 13 207 000 € + la révision des prix 800 000 €+ le reliquat de taxes non récupérables 4,2% = environ 14 200 000 € HT.

    Concernant la subvention de la région, elle pourrait être de 1 000 000 € dans le cadre d'un contrat de développement régional. Si cette subvention devait être versée, elle est très loin du montant annoncé par le maire dès le lancement de la réalisation.

    Enfin, le déficit de gestion annuel serait de 330 000 € HT, chiffre annoncé par le maire mais pour lequel nous n'avons pas de justificatifs.

    JC Eyraud

  • Comment aborder la dépendance des personnes agées ?

    Réveillons la Démocratie vous invite a sa dernière réunion de l'année 2012-2013.

  • TOUS CAPABLES !

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  • Rassemblement du 19 juin Déclaration des organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, UNSA, membres de la CES

    Les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, UNSA membres de la Confédération européenne des syndicats s’inscrivent dans la campagne décidée par la CES en vue du Conseil européen des 27 et 28 juin 2013 qui doit examiner une feuille de route pour une dimension sociale de l’Union économique et monétaire (UEM).

    Les politiques d’austérité font la démonstration de leur inefficacité, l’Europe doit changer de cap. Si les politiques économiques coordonnées et l’objectif d’assainissement des finances publiques sont nécessaires, les organisations syndicales françaises membres de la CES considèrent cependant qu’il est urgent de mettre fin à des coupes injustes dans les dépenses publiques qui contribuent à augmenter le chômage, les inégalités, la pauvreté, dégradent les services publics et aggravent la récession.

    Elles se prononcent en faveur d’une politique d’investissements favorisant une croissance et des emplois durables, des mesures permettant de mettre fin à la concurrence en matière de salaires et de conditions de travail, à la concurrence fiscale, à la fraude et à l’évasion fiscale. C’est le sens de la proposition de contrat social pour l’Europe qu’elles soutiennent. Cela doit se traduire notamment par l’instauration d’un salaire et de revenu minimums dans chaque Etat européen et la mise en œuvre d’initiatives en faveur de l’emploi des jeunes.

    La dimension sociale de l’Europe doit faire partie intégrante de la gouvernance économique et budgétaire. Dans cet objectif, les partenaires sociaux doivent être associés au niveau national et au niveau européen, aux différentes étapes des processus d’élaboration des politiques au sein de la gouvernance économique et sociale européenne. Le dialogue social doit permettre d’apporter des solutions justes aux problèmes auxquels sont confrontés les salariés.

    A leur demande, la CES et les organisations syndicales françaises qui en sont membres seront reçues par le Président de la République le 19 juin. Elles lui feront part de leurs demandes et attendent du chef de l’Etat et du gouvernement qu’ils portent ces objectifs et ces priorités lors du Conseil européen des 27 et 28 juin 2013.

    En appui à cette démarche et dans le cadre d’une campagne syndicale européenne, les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, UNSA appellent à participer au rassemblement qu’elles organiseront à Paris le 19 juin, jour de la rencontre de la Secrétaire générale de la CES et des Secrétaires généraux et présidents des organisations françaises avec le Président de la République.

    Paris, le 29 mai 2013

  • Un rendez-vous manqué par absence de démocratie !

     

    attac 05

    Centre social du centre- ville

    Rue Pasteur prolongée

    05000 GAP                                                                         le 26 mai 2013

    Communiqué

     

    Un rendez-vous manqué par absence de démocratie !

    Vous avez été nombreux à réagir au refus par Karine Berger d’un débat avec les 80 citoyens présents vendredi 10 mai à 20h au Royal.

     

    Ce rendez-vous citoyen se voulait un moment d’échange, de démocratie participative pendant lequel les associations organisatrices et les citoyens auraient pu interroger Karine Berger sur son action de député depuis un an, parler des problèmes de notre département, entendre l’appréciation de la situation par notre députée, la motivation de son point de vue sur les décisions prises et les prochaines étapes de l’action gouvernementale et de l’assemblée législative ...

     

    Karine Berger malgré l’insistance des organisateurs a refusé le débat, n’acceptant de répondre qu’aux questions déposées par les associations, en menaçant de quitter la salle si des interpellations venaient de la salle sans être immédiatement interrompues ".

    Sur son site on pouvait lire "19h – Gap – Réunion débat avec des associations".

     

    Certains reprochent aux organisateurs  d’avoir décidé de maintenir la rencontre malgré la réactions de notre députée 4 jours avant le rendez-vous prévu. Le choix n’était pas simple .

    Nous avions négocié depuis 4 mois avec les associations et le secrétariat de Karine Berger

        pour trouver une date compatible avec les agenda de chacun et avec la disponibilité des salles municipales

    -      pour se mettre d’accord sur une liste de questions pas trop longue pour laisser place au débat.

     

    Aurions nous dû tout laisser tomber …………………….. ????

     

    Par contre nous pensons qu’il ne faut pas en rester là mais utiliser ce rendez-vous manqué pour réaffirmer ce que nous attendons de la démocratie et de notre député : En particulier :

     

    ·        qu’elle nous représente à l’assemblée nationale et donc qu’elle nous écoute

    ·        qu’elle ne se contente pas de nous rapporter "la bonne parole" du gouvernement et du PS

    ·        qu’elle accepte de considérer ses électeurs comme des gens sensés et intelligents auprès de qui elle peut apprendre des choses dans le cadre d’un débat public serein et constructif 

    ·       de rapprocher nos élus des citoyens, au lieu de creuser le fossé qui nous sépare cruellement. 

     

    Nous confirmons notre volonté de poursuivre la construction d’une démocratie participative sur notre département.

     

    Pour le Bureau d’attac 05

    attac05@attac.org