Monsieur le Maire,
Non je n'ai pas le monopole du cœur, ni vous ni moi, mais je n'ai pu m'exprimer hier soir tellement j'ai été effaré de votre attitude et de celle de vos collègues, concernant ma question orale sur l'aide que la commune pourrait apporter à ce drame humain, même si je suis d'accord avec vous sur le rôle que devrait jouer l'Etat Français et surtout l'Europe.
Je suis heureux d'avoir pu être le porte parole de ces associations que vous méprisez et des migrants que vous ignorez.
Je prend acte de votre inhumanité et de celle de vos collègues, nous le ferons savoir par tous les moyens dont nous disposons.
Cordialement,
Joël Reynier
conseiller municipal et communautaire de GAP