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ENSEMBLE 05 - Page 575

  • DOSSIER: Vidéosurveillance

    Photo_cameras_videosurveillance_s.jpgEcoles, transports, espaces publics, la principale réponse aux problèmes de sécurité est désormais partout la même : vidéosurveillance. Depuis l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, le gouvernement a fait du développement de cet outil l’un des axes majeurs de sa politique de sécurité. Le 2 octobre 2009, François Fillon en faisait la "priorité absolue" du gouvernement en la matière. Dans une circulaire du 5 mars 2010, le secrétaire général du Comité interministériel de prévention de la délinquance annonce ainsi qu'il disposera en 2010 d'une enveloppe renforcée de 49 millions d'euros, dont 30 millions (donc plus de 60 %) sera consacré à la vidéosurveillance. Pourtant l'efficacité de cette technologie est très limitée et son coût financier très lourd pour les collectivités locales que l'Etat cherche à impliquer de plus en plus. Au final, outre les problèmes de contrôle de ces dispositifs au regard des libertés individuelles, ne s'agit-il pas d'une impasse pour les politiques de sécurité ? Et si la vidéo est un "juteux marché" pour les entreprises privées, ne serait-ce pas une petite gabegie pour les finances publiques ?

    Lire nos deux chroniques :

  • Communiqué commun des organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA

    0501220223_20100502202570242830.jpg[435x-1].JPGEmploi, salaires, retraite : tous mobilisés, rassemblés et exigeants

    Dans un contexte économique et social caractérisé par une situation de l’emploi dégradée, des difficultés de pouvoir d’achat et une aggravation des conditions de travail pour de nombreux salariés, dans le public et dans le privé, en France et en Europe, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA réaffirment que la sortie de crise passe par des politiques publiques en faveur d’une relance économique intégrant la satisfaction des besoins sociaux.

    Avant même que le Président de la République ne réunisse un "sommet social" le 10 mai 2010, le Premier ministre annonce un gel des dépenses de l’Etat pour les 3 ans à venir. Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA condamnent cette annonce et considèrent que la réduction des déficits ne peut être envisagée sans assurer la cohésion sociale et la réduction des inégalités, en particulier par une fiscalité plus redistributive.

    Donner la priorité à l’emploi stable, améliorer les salaires et le pouvoir d’achat, réduire les inégalités, réorienter la fiscalité vers plus de justice sociale, investir pour l’emploi de demain par une politique industrielle prenant en compte les impératifs écologiques et par des services publics de qualité restent nos objectifs communs.

    Concernant les retraites, elles rappellent que l’emploi "en quantité, en qualité et qualifié, reconnu et valorisé" doit devenir une priorité dans les entreprises et les administrations pour redonner du sens au travail, à la société toute entière. C’est une source de financement incontournable pour assurer le devenir et la pérennité de notre système de retraites par répartition basé sur la solidarité intergénérationnelle. Une plus juste répartition des richesses, la réduction des inégalités, l’égalité entre les Femmes et les Hommes au travail s’imposent aussi pour garantir à tous un bon niveau de vie à la retraite. L’âge légal de départ en retraite à 60 ans doit être maintenu. La pénibilité du travail doit être reconnue et ouvrir des droits à un départ anticipé à la retraite.

    La concertation en cours, le calendrier extrêmement serré imposé n’offrent pas une qualité de dialogue social acceptable pour répondre à un tel enjeu de société, d’autant que les seuls éléments de la réforme proposée restent le recul de l’âge légal de départ à la retraite et l’allongement de la durée de cotisation dans un cadre budgétaire constant.

    Pour toutes ces raisons et dans un cadre unitaire, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA appellent les salariés, les retraités, les jeunes et les privés d’emploi à une journée nationale de mobilisation le jeudi 27 mai 2010 pour interpeller ensemble les pouvoirs publics, tous les employeurs et peser sur les choix à venir.

    Elles appellent l’ensemble de leurs organisations à se rencontrer pour décider, dans les entreprises et lieux de travail, d’actions unitaires de haut niveau donnant lieu à des grèves et des manifestations interprofessionnelles dans les territoires.

    Le 6 mai 2010

  • CERISE N° 68

    Au sommaire du numéro 68 - 7 mai 2010 :

    • - la une : Les Grecs ont des atouts
    • - le merle moqueur a "un peu peur" !?
    • - l'agenda militant : culture Rom,  femmes (2), politique et événement, l'Appel et la pioche,  la gauche, tribunal Russell
    • - les liens : art et culture, communisme
    • - le gâteau :  "La Grèce est sauvée", quelle Grèce et à quel prix ?
    • - délicieux :   2 titres -auto-gestion, désir individuel/conscience collective
    • - le cocktail : FASE, PCF, culture, Gérin (suite...), contre la précarité, services publics
    Bonne lecture

    Les griottes
  • GAP FOIRE EXPO 2010

    IMGP0020.JPGIMGP0028.JPGIMGP0023.JPGIMGP0031.JPGUne inauguration animée!

  • Conseil municipal de la ville de Gap du 7 MAI 2010

    L'intercommunalité au cœur des débats au conseil municipal de Gap ce vendredi soir. Le maire Roger Didier a annoncé qu'un schéma d'intégration de la ville dans la communauté de communes de la Vallée de L'Avance était à l'étude. Une intégration qui serait une première étape vers la naissance d'une communauté d'agglomération gapençaise.

    Le schéma présenté par Roger Didier se ferait en 3 temps. 1ère étape : l’intégration de Gap dans la communauté de communes de la Vallée de L’Avance, aux côté de 9 communes dont Chorges et La-Bâtie-Neuve. Deuxièmement : élargissement des compétences. Troisièmement : transformation en communauté d’agglomération, qui pourrait ensuite s’élargir. Mais beaucoup reste à faire. Le projet devra notamment être majoritairement adopté par tous les conseils municipaux. Et puis, il faut que les collectivités s’entendent sur les compétences.

    Ce projet pourra être possible à condition que la loi votée par le parlement rabaisse le seuil de la communauté d’agglomération à 30 000 habitants (50 000 initialement). Pour le conseiller municipal du groupe « GAUCHE » Jean-Claude Eyraud, il faudrait justement voir plus large.

    En attendant, toute l’opposition a demandé à être associée à la réflexion, à l’image de Jean-Marc Passeron (En Avant Gap) et Bernard Jaussaud.

    Si rien n’est encore fait, la Ville de Gap se dit toutefois décidée à aller vite. Avant d’être contrainte par la loi en 2014.

    Source Alpes 1