Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ENSEMBLE 05 - Page 18

  • NOUVELLE UNION POPULAIRE ECOLOGISTE ET SOCIALE : L’ESPOIR A GAUCHE

      logo.pngAprès des années de division et de défaites, l’accord conclu entre les diverses forces de gauche et écologistes représente un espoir pour celles et ceux qui ne veulent pas d’un second quinquennat entièrement macroniste et qui rejettent absolument les propositions de l’extrême droite.

                Espoir parce que cette unité enfin réalisée peut permettre d’enrayer la spirale des défaites. Le système électoral et l’affaiblissement de la gauche exigent une unité de candidature par circonscription. Elle est réalisée.

                Espoir aussi parce que, sur la lancée du score réalisé à la Présidentielle par Jean-Luc Mélenchon, c’est sur des bases radicales que s’est concrétisé cet accord défendant notamment la retraite à 60 ans, qui sera un combat essentiel contre les projets macronistes. Un accord qui pose aussi la question de la planification écologique et qui prône la VIème République. C’est-à-dire que les revendications sociales, écologiques et démocratiques sont mises en avant et peuvent mobiliser celles et ceux qui veulent un autre monde.

                C’est pourquoi, dans les semaines qui viennent, tout doit être fait pour que le maximum de voix se portent sur les candidates et les candidats de la NUPES. ENSEMBLE ! prendra toute sa place dans cette bataille, avec ses collectifs locaux et les militant-es d'ENSEMBLE! qui participent à l'Union Populaire, pour que se constituent des assemblées locales de la NUPES, avec les forces politiques et des citoyens et citoyennes en soutien aux candidatures unitaires.

                Bâtir un autre monde, c’est possible. Toutes et tous ensemble, maintenant.

  • La mise en sécurité sociale de la population est la priorité !


    mdf-nouveau-logo-dimensions-site_1442223610.jpgLa réélection d’Emmanuel Macron a écarté, pour cette fois, la menace de l’extrême droite, mais le vote qui l’a permise ne peut, en aucun cas, être interprété comme un soutien aux propositions néolibérales portées par le président sortant. Elles ne peuvent non plus tenir lieu de solutions pour satisfaire les besoins de la population.

    L’enjeu du second tour de l’élection présidentielle était de préserver la démocratie face à la menace de l’extrême droite. La seule option était le vote Macron. Ce dernier a été réélu grâce à la mobilisation d’un vote-barrage qui ne traduit aucunement une adhésion à son programme. Ce second tour est également marqué par une forte abstention et par le niveau historiquement haut atteint par l’extrême droite qui a attiré plus de 13 millions de voix, soit près de 10 points de plus qu’en 2017.

    Le quinquennat qui vient de s’écouler n’a pas résolu les crises qui secouent la société française, il les a aggravées. La même politique poursuivie cinq ans de plus produira les mêmes résultats. Pire, elle les amplifiera.

    Il est urgent de répondre aux besoins de notre société fracturée d’injustices et d’inégalités : la mise en sécurité sociale de la population doit devenir la priorité dans la période qui s’ouvre, notamment à l’occasion des élections
    législatives des 12 et 19 juin. C’est ce que nous réaffirmerons dès les manifestations du 1er mai prochain.

    Les militants des Mutuelles de France se mobiliseront dans les semaines qui viennent pour porter ces questions dans le débat public pour une Sécurité sociale de haut niveau, dotée de financement juste, adaptée aux besoins de la
    population, et pour un accès équitable aux complémentaires santé mutualistes et solidaires. Ils défendront l’hôpital public, acteur de santé essentiel maltraité depuis quinze ans, et des politiques publiques permettant de lutter efficacement contre les déserts médicaux. Ils militeront pour le respect des libertés fondamentales et le développement de la démocratie en santé, moyen efficace de sortir de la crise qui entrave notre système de santé.
    Ils s’engageront pour préserver la santé et la protection sociale des dérives du secteur marchand en se fondant sur le service public et l’ESS.

    La santé n’est décidément pas une marchandise, c’est un droit pour toutes et tous. Les propositions pour rendre ce droit effectif ont été regroupées par la Fédération des mutuelles de France dans son « cahier de propositions pour mettre la population en sécurité sociale », accessible sur
    www.lasanteestundroit.fr.

  • communiqué de presse - mardi 26 avril 2022

    logo.pngMême si, comme tou-te-s les citoyen-ne-s attaché-e-s à la démocratie, les militant-e-s d’Ensemble 05 ont poussé dimanche soir un “ouf” de soulagement, ce fut une respiration de courte durée.

    Les résultats de ce scrutin témoignent d’une France divisée, où une large part de l’électorat a trouvé dans le vote Le Pen un débouché à ses colères et ses ressentiments. Durant l’assemblée générale d’Ensemble 05, un consensus apparaît pour dire l’urgence pour les militant-e-s de gauche à refonder leurs pratiques et mieux porter au quotidien le nécessaire combat antiraciste dans la population.

    L’analyse fine des résultats dans nos communes dévoilent aussi un risque de la progression d’un certain confusionnisme dont témoigne la volatilité de l’électorat d’un tour à l’autre. Nous devons plus et mieux savoir redéfinir et affirmer des valeurs qui identifient le camp de l’émancipation et du partage.

    Le monde rural, oublié, abandonné par les institutions publiques mais aussi souvent déserté par les partis et les syndicats, a souvent exprimé son amertume de la pire manière en utilisant le bulletin de vote Le Pen. Nous devons être lucides face à cette réalité et remettre au centre des mobilisations les aspirations de l’ensemble de nos concitoyen-ne-s. Alors que les urgences sociales et climatiques sont les priorités du moment, nous devons avoir conscience de l’urgence à écouter et à rassembler le plus largement possible les citoyen-ne-s les plus isolés qui se tournent vers l’abstention ou vers des votes sans issue. 

    Alors que s’ouvre la campagne des élections législatives, Ensemble 05 affirme qu’il est urgent de tout faire pour empêcher le président le plus mal élu de la 5ème République, d’avoir une majorité à l’Assemblée Nationale. En effet, un second quinquennat gouverné par la droite autoritaire du clan Macron serait une catastrophe pour nos concitoyen-ne-s les plus précaires, une catastrophe pour nos services publics et une catastrophe pour l’environnement.

    Dans ce paysage électoral polarisé entre une extrême droite dé-diabolisée par les médias et la droite au pouvoir soutenue par la plupart des grandes fortunes de ce pays, l’émergence d’un pôle populaire fut sans conteste l’une des bonnes nouvelles de ce scrutin.

    Les électrices et les électeurs ont utilisé le bulletin de vote Mélenchon pour dire leur accord avec un programme écologiste et démocratique et pour porter l’espoir d’une présence au second tour. La France Insoumise est légitime pour proposer aux législatives un élargissement de l’Union Populaire aux différentes forces de gauche mais aussi aux citoyen-ne-s. Pour qu’une union existe, il faut qu’elle se construise autour d’un mandat clair de législature. Un consensus doit notamment être trouvé autour d’une politique en faveur des classes populaires, d’une vaste planification écologique et d’une réforme de nos institutions. Cette démarche de rassemblement doit être la plus équitable qui soit notamment en permettant aux différentes organisations de garder leur autonomie en favorisant l’émergence de différents groupes parlementaires. Enfin, et c’est pour notre mouvement Ensemble 05 la condition centrale d’une transformation radicale de notre société, une fois un accord national conclu, cette unité doit se construire à partir des territoires autour d’assemblées citoyennes souveraines et en réseaux. Notre département a fait la preuve depuis plus de 10 ans qu’il est possible d’unir les citoyen-ne-s dans leur diversité. De nombreux outils existent pour animer des assemblées et faire émerger une vie démocratique de proximité. Cette campagne législative pourrait être un point de départ pour une refondation de nos pratiques politiques vers plus de participation citoyenne, de coopération et d’affranchissement mutuel.

    Les semaines qui viennent sont porteuses de périls pour notre peuple mais pourraient aussi porter l’espoir si nous sommes capables de nous dépasser. Ensemble 05 participera à toutes les opportunités pour faire vivre son orientation unitaire et émancipatrice.

    Sans attendre, rassemblons nous dans la rue pour construire le troisième tour social et emparons-nous du 1er Mai pour porter nos revendications écologistes, solidaires et démocratiques.

  • Déclaration de 82 militant.es d’ENSEMBLE ! : L’urgence : bloquer l’extrême droite

    Les résultats du premier tour de l’élection présidentielle sont une mauvaise nouvelle. Le scrutin est marqué par une forte abstention, qui est devenue une donnée structurelle. La gauche est éliminée pour la deuxième fois consécutive, et ce malgré le très bon score réalisé par Jean-Luc Mélenchon et la dynamique de sa campagne. Ce score prouve qu’il existe dans le pays des forces pour résister à l’offensive libérale. Ce qui a manqué est un rassemblement, ce rassemblement qu’il faudra réaliser lors des législatives et dans les luttes contre la remise en cause des acquis sociaux qui se prépare, notamment sur les retraites.
     
                Mais, dans l’immédiat, un danger majeur se profile : la possible élection de Marine Le Pen. Ce serait un désastre pour tous et toutes et particulièrement pour celles et ceux qui sont ciblé·es depuis des années par les extrêmes droites. Le Pen utiliserait un appareil d’état centralisé et autoritaire avec tout l’arsenal répressif que lui autorise la 5e république et les lois liberticides des 15 dernières années pour accentuer les attaques contre toutes celles et tous ceux qu’elle déteste : les musulman·es, les juif·ives, les migrant·es et les réfugié·es, les LGBTQI+, les exclu·es de la société. Son projet de « préférence nationale » diviserait les travailleurs/ses et mènerait de fait à une société d’apartheid. Elle se propose de la mettre en œuvre en remettant en cause la Déclaration des Droits de l’Homme (nous dirions aujourd’hui et de la femme) de 1789. Les mesures sociétales obtenues au long des années : le mariage pour tous, les droits des femmes, le défenseur des droits… tout cela serait remis en question. Les libertés démocratiques seraient menacées. Marine Le Pen est l’héritière des fascismes du XXe siècle. Partout dans le monde où ses semblables ont pris le pouvoir les oppositions sont muselées, les organisations syndicales indépendantes interdites, les militant.es emprisonné.es ou tué.es. Sa façade sociale est une imposture, les plus démuni.es d’entre-nous seront les premier.es à s’en mordre les doigts. Le fascisme n’engendre que répression, guerre et misère.
     
                Il n’y a aucune bonne raison de ne pas utiliser tous les moyens à notre disposition pour combattre l’extrême droite et l’empêcher d’arriver au pouvoir. Utiliser le bulletin Macron pour battre Marine Le Pen, ce n’est en rien soutenir Macron et oublier les politiques antisociales et anti démocratiques qu’il a menées : c’est empêcher la victoire de Marine Le Pen dimanche, ni plus ni moins.
     
                Faisons barrage à l’extrême droite. Gardons en tête que, quoi qu’il se passe, il faudra continuer à protéger nos droits et faire valoir de nouvelles revendications en travaillant pour changer les institutions.
     
    Il faut battre Marine Le Pen dans les urnes, en utilisant le bulletin Macron, pour pouvoir ensuite battre Macron aux législatives et dans la rue.
     
    Etienne Adam (Calvados), Marie- Jo Albrecht( Gard), Bernard Allain (Bouches du Rhône), Janie Arnéguy (Gard), Louis-Marie Barnier (Seine et Marne), John Barzman (Seine-Maritime), Michel Blin (Côtes d’Armor), Nicolas Benies (Calvados), Jean-Michel Bertrand (La Réunion), Franco Biancardi (Seine Saint-Denis), Jean-Luc Blanchard (Aude), Francis Blanchet (Val de Marne), Laurence Boffet (Rhône), Mariano Bona (Isère), Bernadette Bouchard (Alpes Maritimes),  Florence Braud (Val d’Oise), Jean-Paul Bruckert (Doubs), Jean Brunacci (Loire - Atlantique), Rosine Charlut (Aude), Florence Ciaravola (Alpes-Maritimes), Jean-Claude Coqueret (ParisV-XIII), Colette Corfmat (Paris V-XIII), Bernard Couturier (Gironde), Armand Creus (Rhône), Pierre Cours-Salies (Haute-Garonne), Alain Dallongeville (Aude), Florence Dalzon (Savoie), Christiane Dedryver (Seine Saint-Denis), Jean Pierre Delbonnel (Savoie), Bruno Della Sudda (Alpes-Maritimes), Christian Delord (Gard), Daniel Desmé (Charente Maritime), Francis Dorra (Val de Marne), Gilbert Dumas (Rhône), Michelle Ernis (Seine Maritime), Jean-Claude Eyraud (Hautes-Alpes), Jean Louis Fiole (Gard), Nicolas Flandrin (Bouches du Rhône), Jean-Marie Fouquer (Seine Maritime), Olivier Frachon (Val de Marne), Lucien Guinot (Bouches du Rhône), Vève Guinot (Bouches du Rhône), Marie-Claude Herboux (Calvados), Jean-Paul Gaschignard (Loire), Robert Hirsch (Loire - Atlantique), Pablo Krasnopolsky (Val-de-Marne), Jocelyne Lanneau (Seine Saint-Denis), Corinne Le Fustec (Côtes d’Armor), Christophe Lemasson (Côtes d’Armor), Gilles Lemée (Rhône), Cécile Leroux (Hautes - Alpes), Jean-Paul Leroux (Hautes – Alpes), Laurent Lévy (Bouches du Rhône), Paul Lévy (Paris XX), Jacqueline Madrennes (Isère), Jean-Claude Mamet (Val de Marne), Claude Martin (Hautes Pyrénées), Jean-Pierre Martin (Paris V-XIII), Françoise Martin Colas (Hautes - Alpes), Jérémy Martinez (Rhône), Denis Marx (Rhône), Margot Marx (Rhône), Roland Mérieux (Paris XIX), Isabelle Merle (Bouches du Rhône), Henri Mermé (Paris XI), Denise Milbergue (Rhône), Etienne Miossec (Côtes d’Armor), Michèle Moreau (Ardèche), Christine Moiselet (Loire - Atlantique), André Pacco (Yonne), Jean-François Pellissier (Paris XI), Francis Peretti (Corse), Pierre-Yves Pira (Nord), Jacques Pradel (Bouches du Rhône), François Préneau (Loire - Atlantique), Jean-Pierre Quillec (Hautes-Alpes), Yves Quintal (Lot), Michel Rousseau (Paris XX), Cécile Silhouette (Paris XI), Francis Sitel (Paris XVIII), Alain Touleron (Rhône), Stéphanie Treillet (Seine et Marne), 
    MILITANT.ES d’ENSEMBLE !
     

  • Le 24 avril, battre Marine Le Pen dans les urnes !


    logo.pngLe danger d’accession du Rassemblement National, au pouvoir n’a jamais été aussi grand. Malgré le bon score de Mélenchon, traduisant une volonté populaire d’en finir avec le libéralisme dont nous ne pouvons que nous réjouir, nous aurons une fois de plus droit à un duel Macron / Le Pen au second tour des présidentielles.

    Nous pouvons comprendre le désarroi de tous ceux et celles qui ont subi la politique anti-sociale et répressive de Macron tout au long de son quinquennat, et leur hésitation, voire leur refus, de mettre un bulletin « Macron » dans l’urne. Pourtant, avec Le Pen, ce serait bien pire ! Elle amènerait dans ses bagages des dizaines de groupes néo-nazis, les mêmes qui ont attaqué la semaine dernière les étudiants de sciences-po à Paris. Elle amènera la violence des soutiens et du programme de Zemmour.
    Elle utiliserait tout l’arsenal répressif que lui autorise la 5ème république et les lois liberticides récemment votées, pour accentuer encore les attaques contre tous ceux qu’elle déteste : les musulmans, les juifs, les migrants et les réfugiés, les LGBTQI, les exclu-e-s de la société. Elle mettra à bas les quelques mesures sociétales obtenues au long des années : le mariage pour tous, les droits des
    femmes, les organismes de contrôle, le défenseur des droits... Les plus démunis d’entre nous qui se seront laissé tenter par les quelques mesures « sociales » de son programme seront les premiers à s’en mordre les doigts car lorsqu’on est millionnaire, héritière des ciments Lambert, on ne défend que son camp : celui des riches. Au plan international, ce sera l’alignement inconditionnel avec Viktor Orban, Jair Bolsonaro, Poutine, Bachar Al Assad, et toutes les extrêmes-droites émergentes en Europe et dans le Monde.

    Afin que nous puissions encore défendre nos revendications dans la rue, nous organiser dans les entreprises, dans les syndicats ou associations. Afin que nous puissions défendre nos droits et ceux des plus faibles, il y a un préalable : refuser la possibilité du fascisme. Que cela nous plaise ou non, cela passe par mettre un bulletin « Macron » dans l’urne le 24, même en se bouchant le nez.

    Les 12 et 19 juin, imposer à Macron un gouvernement de luttes !

    Donner une majorité absolue à l’assemblée au camp anti-libéral !

    Les élections législatives nous offrent une possibilité de contrer ensuite la politique de Macron : lui imposer une cohabitation, en envoyant à l’assemblée une majorité absolue de député-e-s du camp anti-libéral. Les résultats de la gauche au premier tour, la première place de Mélenchon dans de nombreuses grandes villes et banlieues populaires le permettent ! C’est à ce moment qu’il faudra utiliser nos ressentiments contre Macron et sa politique !

    Certains nous diront : « pourquoi ne pourrions-nous pas imposer une cohabitation avec Le Pen présidente ? ». Pour plusieurs raisons : d’abord parce que dans l’Histoire récente, les présidents nouvellement élus ont toujours obtenu une majorité absolue à l’assemblée, une sorte de « prime » à la nouveauté. Et aussi surtout - car il n’est pas exclu qu’une présidente anti-républicaine ne change pas les règles du jeu dès son accession au pouvoir. On ne peut lui accorder aucune confiance.

    Alors les 12 et 19 juin, nous ferons tout pour que dans chaque circonscription, une candidature unique et unitaire de toute la gauche anti-libérale recueille tous nos suffrages ! En ce sens, nous ne pouvons que saluer la main tendue de l’Union Populaire aux autres forces : PCF, EELV, NPA. Même si, au vu des rapports de forces donnés par les urnes, il y aura sans doute des choix douloureux à faire pour ces partis, nous espérons qu’ils seront surmontés pour la satisfaction de l’intérêt commun.

    Ensemble ! , conformément à son ADN unitaire, fera tout pour qu’il en soit ainsi.

    Et bien entendu, les luttes et les mobilisations seront plus que jamais nécessaires, quel que soit le résultat, à commencer par le 1er mai dans la rue !

    ENSEMBLE LE HAVRE