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Conseil municipal de Gap - Page 91

  • Ville de Gap: communiqué à la presse de l'association Grenette

    Aménagement du square Dunant ?

     

     

    IMG00142-20110608-1039.JPGSuite au goûter du 9 septembre 2011 dans le square Henri Dunant, la pétition signée par la centaine d’adultes présents a été remise au Maire. Les 80 lettres signées par les participants (enfants et adultes) ont été postées régulièrement dans la boite aux lettres de la Mairie. Les dessins et les mots réalisés et affichés lors du goûter ont été rassemblés dans un livret offert à l’équipe municipale.

     

    Depuis, on dit qu’un peu plus de la moitié du square serait sauvé… on dit qu’il serait aménagé… on dit qu’il y aura des jeux d’enfants mais aucun plan projet officiel n’a été présenté.

     

    Bien que notre association fasse partie du comité de suivi des travaux du projet, nous ne savons pas où nous en sommes.

     

    Dans cette attente et pour appuyer notre volonté d’avoir un square aménagé et entretenu en cœur de ville, nous proposons à tous ceux qui le souhaitent de se retrouver pour un nouveau goûter dans le square : vendredi 30 septembre à 16h30.

     

    Association Grenette (association.grenette@hotmail.fr)

     


  • Accessibilité

    gap.jpgLIRE le document de synthése concernant l'accessibilité des ERP du 1er groupe (établissements recevant du public) de la ville de GAP.
    Bonne lecture.

  • APPEL CITOYEN: Extrait du Manifeste pour la protection du patrimoine arboré 19.09.2011

     

     

    SAUVONS LES ARBRES DE NOS VILLES EN CONCILIANT MODERNITE ET RESPECT DU VIVANT

     

    IMG00143-20110608-1040.JPGDes centaines d'années pour pousser, quelques heures pour disparaître...

    Actuellement, des milliers d'arbres sont abattus ou en passe de l’être dans de nombreuses villes de France (Nîmes, Tours, Metz, Besançon, Paris, Reims, Gap…)

    Ceci afin de réaliser des espaces de stationnement, réaménager certains quartiers ou permettre la circulation de Transports Collectifs...

     

    Des chantiers (dont il faudrait mesurer l’impact carbone) sont réalisés, parfois au nom du développement durable… ! Ils entraînent d'énormes travaux qui mettent en péril ou détruisent un patrimoine arboré déjà bien fragile : abattages, tranchées sectionnant les racines, engins blessants, élagages mal réalisés, transplantations sans respect des préconisations de saisons, arbres abîmés non soignés, jeunes sujets pas arrosés...

     

    Les arbres sont un patrimoine :

    Nous avons le devoir et la responsabilité de les préserver et de les transmettre aux futures générations.

     

    Les fonctions de l'arbre en ville sont fondamentales :

    L’arbre est un véritable épurateur atmosphérique : il capte le gaz carbonique, ainsi que de nombreux polluants, et libère de l’oxygène.

    Il est l’un des garants de la biodiversité (oiseaux, insectes, etc.). Sans elle nous ne pouvons pas vivre.

    Ses racines sont un frein au ruissellement des eaux – aspect trop souvent négligé dans la gestion du risque d’inondations.

    Il atténue les nuisances sonores.

    Il apporte une ombre fraîche, sans comparaison avec celle d’un bâtiment ou d’un parasol.

    Il contribue au bien-être dans nos villes.

    Sa suppression entraîne souvent la disparition de bancs, d'espaces de jeux, de lieux d’échanges informels. Il favorise le lien social.

     

    Or, que mettent en œuvre les politiques actuelles ?

    Le végétal est de plus en plus hors-sol et traité comme du mobilier urbain :

    v       arbres en pots, jardins sur dalles, verticaux ou suspendus,

    v       espèces inadaptées ou à développement limité.

    C’est une politique du jetable au coût exorbitant puisqu’il faut sans cesse renouveler ces « mobiliers urbains ». Ces aménagements standardisés uniformisent les espaces publics et nient l’identité propre à chaque ville.

    La minéralisation à outrance, que ce soit en milieu urbain ou rural, montre l'absence cruelle d'une vraie politique écologique...

    On constate le peu d'intérêt accordé aux défenseurs des arbres et de la nature lors des conseils municipaux ou d'agglomération et dans les enquêtes publiques.

    Ces outils démocratiques sont bafoués ou détournés et la population se plaint, de façon récurrente, de l'absence d'une réelle écoute de son opinion.

     

    La modernité et la technologie doivent être au service du Vivant et non l’inverse.

    Chacun(e) d’entre nous, citoyen, élu, décideur, doit considérer le patrimoine arboré comme précieux et primordial dans les projets élaborés pour nos cités.

    L’évolution des villes doit s'adapter aux besoins fondamentaux de l'être humain et à la présence des arbres.

    Les déplacements urbains peuvent être reconsidérés avec de nouvelles contraintes en évitant cette politique généralisée de la table rase.

    Développons une ville humaine en refusant le bétonnage systématique et le rouleau compresseur de cette modernité froide.

     

    Exigeons :

    L'application des textes existants :

    v       La Charte Européenne de l'arbre d'agrément,

    v       Le plan du Grenelle: « Restaurer et valoriser la nature en ville », adopté en 2010.

    La création de réglementations plus protectrices :

    v       Le renforcement des mesures de protection des arbres dans les PSMV (Plans de Sauvegarde et de Mise en Valeur)

    v       Une Charte Nationale de l’Arbre Urbain qui réglementerait la protection des arbres existants par l'élaboration d’un statut juridique spécifique.

     

     



     

  • Communiqué à la presse du groupe G.A.U.CH.E. au conseil municipal de Gap :

    Le 24 septembre, avenue Foch, notre ville recevra Gap Motor Show.

    Notre groupe d’opposition au conseil municipal est intervenu à plusieurs reprises, depuis le début de la mandature, afin que le maire mette ses déclarations en accord avec ses actes.

    Nous avons toujours voté contre les subventions aux associations qui organisent des sports motorisés.

    Comment peut-on élaborer un agenda 21 qui a pour principe le développement durable, affirmer dans une des actions « la Ville souhaite développer les modes doux dans la capitale douce, non seulement pour réduire les engorgements et les nuisances, mais aussi pour favoriser la qualité de vie des habitants par une pratique régulière du sport » et organiser dans notre cité une road show urbain unique en France ?

    Comment déclarer vouloir lutter contre le changement climatique, promouvoir les énergies renouvelables, intégrer les principes du développement durable, s’inscrire dans la démarche « AGIR » pour l’énergie de la région PACA et organiser en pleine zone urbaine un programme SHOW MOTO et SHOW AUTO ?

    Gap le 20 septembre 2011

    Françoise Perroud et Jean-Claude Eyraud

    Conseillers municipaux du groupe G.A.U.C.H.E.

     

  • Les villes moyennes déplorent la réduction de leurs marges de manoeuvre

    Finances localesPublié le jeudi 15 septembre 2011

    La réforme de la fiscalité locale a rebattu les cartes, faisant des gagnants et des perdants. La majorité des villes moyennes et de leurs groupements se trouve dans ce dernier camp. La FMVM dénonce la "paralysie" qui les guette.

    Le président de la fédération des maires des villes moyennes (FMVM), Christian Pierret, est formel : une véritable "asphyxie" financière "menace" les 200 villes et intercommunalités dont la taille est comprise entre 20.000 et 100.000 habitants. Concrètement, ces collectivités et groupements ne pourront plus assumer les charges des services publics locaux. Résultat : ces services risquent le "délitement".
    La cause de l'inquiétude du président de la FMVM : les résultats d'une étude, réalisée par la fédération et le Forum pour la gestion des villes, sur l'impact de la réforme de la fiscalité locale (à télécharger ci-contre). Pour les 109 villes moyennes et leurs groupements constituant l'échantillon de l'étude, la taxe professionnelle est remplacée par la contribution économique territoriale et des impôts ménages, ainsi que par des dotations de compensation. Ces dernières ne sont pas marginales : leur part représente 17% du produit fiscal des intercommunalités des villes moyennes. Dans le détail, 39 villes et 61 groupements (plutôt des territoires industrialisés) touchent une enveloppe de dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP) et de Fonds national de garantie individuelle de ressources (FNGIR), alors que seulement 6 villes et 40 groupements (plutôt des territoires résidentiels) y contribuent.
    Dans un contexte de gel des dotations de l'Etat, les villes moyennes et leurs groupements n'auront d'autres choix que d'augmenter les impôts des ménages : le produit de ceux-ci constitue désormais 37% des ressources des groupements de villes moyennes, contre seulement 5% avant la réforme. Si les impôts des ménages ne progressent cette année que de 0,6% dans les agglomérations étudiées, celles-ci vont être forcées de les augmenter, à l'avenir, de manière plus significative.
    Dans ce contexte difficile, les collectivités pourront toutefois compter sur le dynamisme du produit de la cotisation foncière des entreprises (CFE). Selon l'étude, cet impôt progresse, entre 2010 et 2011, de 5,3%. Une hausse d'autant plus notable qu'elle s'explique presque exclusivement par la progression des bases (+ 4,8%).
    Ces bons chiffres ne semblent pas rassurer le président de la FMVM qui demande que soit revu d'urgence et en profondeur le système de répartition des dotations de l'État aux collectivités territoriales. Une meilleure prise en compte des charges subies par les villes moyennes ne déplairait pas non plus au maire de Saint-Dié.

    Thomas Beurey / Projets publics