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  • Tous ensemble mobilisé(e)s jusqu'au retrait !

    La mobilisation du Jeudi 6 Février doit être notre priorité pour démontrer que la lutte pour le retrait du projet de réforme des retraites ne faiblit pas.

    Si 70% des français expriment leur opposition à cette réforme, force est de constater que 70% ne sont pas dans la rue.

    Les salarié.e.s sont couvert.e.s par des préavis de grève pour cette journée.

    En grève ou pas, soyons nombreux ce jour là.

    Jeudi 6 Février - journée temps fort.

    Rendez-vous à 12h devant la Préfecture grillades et boissons.

    Nous avons prévu un temps d’expression, d’information.

    Départ Manif à 14h00. Parcours : rue du  11 nov, direction vers l’Hôpital, rd point de l’Europe, bd Pompidou, rd point de Valserres, rue Carnot, arrêt esplanade de la paix.

  • Mobilisé(e)s jusqu'au retrait !

    Alors que la mobilisation dure depuis 54 jours, alors que les manifestations du 24 janvier ont été, dans toute la France, puissantes et déterminées, alors que le rejet de la réforme des retraites est partagé par 62 % de la population, le projet vient de subir un nouveau désaveu, et pas des moindres : celui du Conseil d'Etat.

    Le rapport de celui-ci saisi par le gouvernement a été très sévère. Un projet incomplet, flou, voire carrément bâclé qui met en péril le contrat social établi en 1945 autour du programme du Conseil National de la Résistance avec la création de la sécurité sociale.

    Le Conseil d'Etat a également critiqué le choix de recourir à 29 ordonnances.

    Nous sommes aujourd'hui face à un gouvernement autoritaire qui méprise la population et la démocratie pour le bénéfice de quelques privilégiés du monde capitaliste français et/ou international.

    Le gouvernement doit entendre le mécontentement social sur son projet de réforme et le retirer.

    Le gouvernement est isolé et affaibli.

    Seuls 14 % des sondés disent soutenir la politique de Macron, cela devrait le faire réfléchir.

    Nous sommes désormais entrés dans le plus long conflit social qu'ait connu la Vème république !

    Notre détermination est totale, ce n'est pas le moment de lâcher !

    Toutes les générations se doivent d'être unies contre la réforme.

    En famille, manifestons toutes et tous ce mercredi 29 janvier 2020.

    L'intersyndicale CGT, CFE-CGC, FO, FSU, Solidaires et les Gilets Jaunes 05 vous donnent rendez vous le 29 janvier 2020 à Gap, à 14h00 devant la préfecture.

    Jeudi 30 janvier, rendez-vous à 18h00 devant la préfecture de Gap pour brûler CaraMacron.

  • Marche pour le Climat pas pour le rallye !

    Dans la continuité des marches nationales pour le climat, nous continuons à demander des engagements politiques à la hauteur des enjeux écologiques.

    A l'occasion de cette nouvelle marche pour le climat, nous souhaitons allier nos idées à des actes : demander l'arrêt du Rallye Monte Carlo.
    Les scientifiques demandent un "effort de guerre" pour diminuer notre empreinte carbone. Ces mots sont forts. Nous ne pouvons plus nous permettre des loisirs aussi polluants.

    C'est pourquoi nous allons manifester pacifiquement le samedi 25 janvier, dans un premier temps à côté du parc Fontreyne où se tiennent les stands du rallye, puis marcher jusqu'au centre ville, pour finir au Kiosque de la pépinière.

    RDV le 25 janvier :
    - 11h30 à 12h30 : RDV au parc Givaudan (à côté de la piscine Fontreyne) pour un repas chaleureux et partagé tiré du sac.
    - 12h30 : départ de la marche vers les stands du rallye et sit in.
    - 13h30 / 14h : départ vers le centre ville et le kiosque de la pépinière.

  • En l’absence des insoumis, treize organisations politiques de gauche et écologistes ont présenté, hier, à l’Assemblée nationale des propositions alternatives à la réforme du gouvernement.

    Un mois de travail et, au final, une « plateforme commune » : six mesures en faveur des retraites, accompagnées de six autres mesures destinées à les financer. Il sagit là du résultat d’un processus initié au mois de décembre à Saint-Denis, lors d’un meeting rassemblant les forces de gauche contre la réforme des retraites. Depuis, d’autres rencontres avaient eu lieu, non seulement entre les organisations politiques, mais aussi avec les salariés en lutte depuis le 5 décembre.

    Une motion de censure est envisagée

    Ce processus a abouti à une plateforme de mesures en faveur des retraites sur lesquelles pas moins de treize organisations politiques de gauche ont réussi à se mettre d’accord. En présentant, hier, ce projet, seule la France insoumise était absente… Ce qui n’a pas empêché deux de ses députées, Clémentine Autain et Caroline Fiat, de participer à la conférence de presse aux côtés de Fabien Roussel, Olivier Faure (PS), Sandra Regol (EELV) et d’autres parlementaires de la gauche. « Nous ne sommes pas venues parler au nom de collègues », précisait Clémentine Autain, qui rappelait également que la France insoumise avait présenté son propre contre-projet de réforme des retraites. « Il s’agissait d’abord de voir ce qui nous rassemble », insistait Fabien Roussel. Olivier Faure, à l’intention des insoumis, soulignait que « nous restons ouverts à tous ceux qui le veulent ». Le même jour, le groupe GDR présentait ses vœux. La semaine dernière, les insoumis et les deux autres groupes de la gauche ne s’étaient pas entendus sur le dépôt d’une motion de censure contre le gouvernement. Pour autant, cette option est toujours envisagée. « Il y aura indéniablement une motion de censure, rappelait André Chassaigne, le président du groupe GDR. Mais nous le ferons en temps voulu. Pour l’instant, l’heure est à la mobilisation sociale. »

    L’absence de FI n’entamait donc pas la satisfaction de pouvoir présenter une plateforme commune. Avec celle-ci, les treize organisations signataires proposent « six piliers pour de nouveaux droits ». D’abord, « améliorer le système par répartition », en opposition à « la substitution, même partielle, de cette solidarité publique par des démarches de capitalisation ». Ensuite, « garantir un droit à la retraite en bonne santé pour toutes et tous », en posant comme « exigence préalable la fin des mesures consistant à allonger la durée de cotisation ». « Notre système de retraite n’est pas en faillite, son déficit est creusé par la politique du gouvernement », assurent les parlementaires. La gauche propose également une « règle d’or », assurant « la parité du niveau de vie entre les retraités et les travailleurs, dans le public comme dans le privé », ainsi qu’une « meilleure prise en compte de la pénibilité ». Cinquième pilier, les partis politiques entendent garantir « une retraite minimum au niveau du Smic pour une carrière complète ». Et, pour les carrières incomplètes, ils se sont mis d’accord pour une « réforme du minimum vieillesse, pour qu’il ne soit pas en deçà du seuil de pauvreté » (1 040 euros). Dernier axe, enfin, l’égalité femmes-hommes : les élus considèrent qu’elle « implique de réduire la fracture salariale entre les hommes et les femmes ».

    L’emploi des seniors « doit devenir une priorité »

    Le dispositif prévoit en outre six « pistes de financement » : « mobiliser les fonds de réserve des retraites ou une partie des fonds de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades) qui seront disponibles à compter de 2024, au moment de l’extinction de la dette de la Sécurité sociale ». La plateforme réaffirme aussi « le financement par la cotisation sociale » et veut « interroger » l’utilité et l’efficacité des politiques d’allégements de cotisations sociales. Les treize organisations chiffrent à 66 milliards le coût de ces allégements dans les finances publiques. « Réfléchir à des ressources nouvelles » est la troisième piste de financement, visant notamment les revenus financiers : « S’ils cotisaient à l’assurance-vieillesse à un taux égal à celui des employeurs du secteur privé, ce serait 30 milliards de recettes à la clé. »

    Les élus veulent également maintenir « la cotisation à 28,1 % jusqu’à 27 000 euros de revenus par mois ». « Le projet du gouvernement table sur la perspective d’un chômage élevé », rappelait le sénateur (PCF) Pierre Laurent. Or, la « création d’emplois, notamment dans les services publics », est la cinquième piste de financement du système de retraite de ce projet commun. L’emploi des seniors, notamment, « doit devenir une priorité ». Enfin, la gauche compte financer ses mesures grâce à l’augmentation des salaires et l’application réelle de l’égalité salariale entre les femmes et les hommes.

    Maintenant que ces propositions sont sur la table, les partis signataires de la plateforme déposeront des amendements pour les mettre en œuvre lors du débat parlementaire. Même si, ainsi que chacun l’a souligné devant la presse, chaque formation reste libre de proposer son propre projet.

    Journal l'Humanité : Diego Chauvet
  • Concert de soutien aux grévistes le 24 janvier 2020

    La détermination de l’intersyndicale et des grévistes ne fléchit pas face à l’intransigeance du gouvernement !

    Pour soutenir les grévistes et leurs familles après plusieurs semaines de mobilisation, l'intersyndicale CGT, CFE-CGC, FO, FSU Solidaires 05 et les Gilets Jaunes organisent un concert de soutien le vendredi 24 janvier 2020 Salle de L'Impro, immeuble Le Neptune, Bd Pompidou à GAP.

    Buvette et petite restauration sur place.

    Venez nombreux !